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UEFA, fair-play financier

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  • Mdr, maintenant qu'ils ont détruit le Fair-play financier, le Qatar va s'auto-financer avec un contrat record Qatar Arways ( ps; ça changera pas grand chose niveau
    magouille, puisque le Qatar est le 2ème actionnaire d'Accor et Sébastien Bazin pdg et ancien Prez du Psg est le pion du Qatar"parachutage") c'est juste que dorénavant c'est officiel


    Qatar Airways à la place d'Accor sur le maillot du PSG ?



    Le sponsor Accor est présent sur le maillot du PSG cette saison. (B. Papon/L'Équipe)Le PSG devrait changer de sponsor maillot la saison prochaine. Accor, présent sur l'avant du maillot parisien depuis 2019, va arrêter ce partenariat. Qatar Arways pourrait le remplacer.

    A. H.06 avril 2022 à 21h48
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    Il n'y a pas que dans le domaine sportif que des changements majeurs doivent intervenir dans les prochaines semaines au PSG. Le club de la capitale devrait aussi changer de sponsor maillot. En effet Accor, qui s'affiche sur les tuniques parisiennes sous la marque de son programme de fidélité All depuis 2019, va arrêter ce partenariat qui rapportait entre 60 et 70 M€ au PSG par saison. Sébastien Bazin, le président du groupe hôtelier, l'a laissé entendre officiellement récemment.

    Accor devrait tout de même demeurer partenaire du très probable champion de France 2022 mais sous une autre forme et surtout à un tarif moindre. Son remplaçant figure déjà très probablement parmi les sponsors du club de Lionel Messi, puisqu'il pourrait s'agir de Qatar Airways avec lequel des discussions sont en cours. La compagnie aérienne du Qatar était déjà liée à la section foot homme et femme et hand depuis février 2020. Qatar Airways devrait payer une somme conséquente, de plusieurs dizaines de millions d'euros, à peu près dans les eaux de ce que versait Accor.

    Qatar Airways à la place d'Accor sur le maillot du PSG ? - L'Équipe (lequipe.fr)

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    • Le Barça, la Juventus et Arsenal visés par le fair-play financier


      Selon le « Times », le Barça, la Juventus Turin, Arsenal, l'Inter Milan et l'AS Rome figureraient parmi les clubs européens visés par le fair-play financier, tout comme le PSG et l'OM.


      Les sanctions tomberont le mois prochain. Selon le Times, l'UEFA se préparerait à délivrer amendes et restrictions de transferts pour des clubs européens qui auraient enfreint les règles du fair-play financier. Il existerait deux listes : l'une avec dix clubs hors du cadre imposé sur la saison 2020-2021, l'autre en compterait vingt en infraction lors de l'exercice 2021-2022.


      Sur cette première liste figureraient la Juventus, l'Inter Milan, l'AS Rome et le FC Barcelone, en plus du PSG et de l'OM. Comme nous le révélions dans nos colonnes, les deux équipes françaises seraient uniquement sous le coup de sanctions financières, à l'inverse de Milan et de Rome qui devraient subir, en plus d'amendes, des restrictions pour les prochaines périodes de transferts.


      Toujours selon le journal anglais, la Juve et le Barça auraient refusé d'entamer les négociations avec l'instance dirigeante, dans l'idée de mettre en place une Super Ligue européenne.

      L'analyse économique a également signalé des problèmes lors de la saison passée pour vingt clubs, bien que leurs comptes définitifs n'aient pas encore été déposés auprès de l'UEFA et leur situation financière pourrait encore changer. Arsenal, qui a enregistré l'une des pertes les plus importantes de la Premier League au cours des trois dernières années, ferait partie de ces vingt équipes.


      Sur cette même durée, les Gunners ont également enregistré les dépenses nettes les plus élevées en termes de transferts (258 M€). Pourtant, selon le blogueur économique Swiss Ramble, les prochains résultats comptables du club se conformeront aux règles du fair-play financier.


      publié le 23 août 2022 à 13h06

      Selon le « Times », le Barça, la Juventus Turin, Arsenal, l'Inter Milan et l'AS Rome figureraient parmi les clubs européens visés par le fair-play financier, tout comme le PSG et l'OM.


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      • Fair-play financier : le PSG, l'OM et Monaco sanctionnés par l'UEFA


        En dehors des clous du fair-play financier, huit clubs européens, dont les trois français, écopent d'amendes. Ils ont trois ans pour redresser progressivement la barre sous peine d'être plus durement pénalisés, voire exclus des Coupes d'Europe.


        L'UEFA a officialisé, ce vendredi après-midi, ce que L'Équipe a révélé le 19 août : Le PSG, l'OM, mais aussi Monaco font l'objet de sanctions de la part de l'instance de contrôle financier des clubs (ICFC) de la Confédération européenne pour avoir dépassé le déficit autorisé de 30 millions sur trois exercices comptables. Ils sont sanctionnés au même titre que cinq autres clubs : l'AC Milan, Besiktas, la Juventus, l'AS Rome et l'Inter.


        Parmi tous les clubs concernés, c'est le PSG qui écope de la plus forte amende, car il est celui qui a le plus dépassé le déficit admis par l'UEFA : elle s'élève à 65 millions en tout, dont 55 millions d'euros avec sursis. Ce qui veut dire que Paris doit payer immédiatement 10 millions d'euros. Pour leur part, l'OM et Monaco écopent de la pénalité financière la plus faible. Elle est de 2 millions d'euros chacun, dont 1,7 million avec sursis, soit 300 000 euros chacun payables immédiatement.


        Paris, Marseille et l'ASM ont trois ans pour se mettre en conformité

        À la suite de procédures ouvertes en février ou mars, ces sanctions s'appliquent dès à présent en vertu de « l'accord de règlement » que les huit clubs en question ont signé. Ils ont ensuite trois ans (le PSG, l'OM et Monaco sont dans ce cas) ou quatre ans pour se mettre progressivement en conformité avec les règlements du fair-play financier sous peine de sanctions revues nettement à la hausse. Les amendes avec sursis doivent être payées progressivement.


        Il est également question de « restriction du nombre de joueurs ». En clair, comme le détaille l'instance européenne, « le club ne peut inscrire plus de 23 joueurs sur sa liste A par rapport au maximum de 25 joueurs prévu dans le règlement des compétitions ». Cette mesure pourrait s'appliquer lors de la saison 2023-2024 et être prolongée en 2024-2025 et/ou 2025-2026. S'ils ne rentrent pas dans les clous, le PSG, l'OM, Monaco et les cinq autres risquent également une « interdiction d'inscription de nouveaux joueurs sur sa liste A lors des compétitions interclubs de l'UEFA. »


        Enfin, la sanction ultime pour ceux qui ne suivraient pas l'accord passé avec l'UEFA est radicale : « Exclusion de la prochaine compétition interclubs de l'UEFA pour laquelle ils se qualifieraient. Cette mesure s'applique, sous condition, aux saisons 2024-25 et/ou 2025-26. »

        En dehors des clous du fair-play financier, huit clubs européens, dont les trois français, écopent d'amendes. Ils ont trois ans pour redresser progressivement la barre sous peine d'être plus durement pénalisés, voire exclus des Coupes d'Europe.




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        • Envoyé par gamouch
          Fair-play financier : le PSG, l'OM et Monaco sanctionnés par l'UEFA


          En dehors des clous du fair-play financier, huit clubs européens, dont les trois français, écopent d'amendes. Ils ont trois ans pour redresser progressivement la barre sous peine d'être plus durement pénalisés, voire exclus des Coupes d'Europe.


          L'UEFA a officialisé, ce vendredi après-midi, ce que L'Équipe a révélé le 19 août : Le PSG, l'OM, mais aussi Monaco font l'objet de sanctions de la part de l'instance de contrôle financier des clubs (ICFC) de la Confédération européenne pour avoir dépassé le déficit autorisé de 30 millions sur trois exercices comptables. Ils sont sanctionnés au même titre que cinq autres clubs : l'AC Milan, Besiktas, la Juventus, l'AS Rome et l'Inter.


          Parmi tous les clubs concernés, c'est le PSG qui écope de la plus forte amende, car il est celui qui a le plus dépassé le déficit admis par l'UEFA : elle s'élève à 65 millions en tout, dont 55 millions d'euros avec sursis. Ce qui veut dire que Paris doit payer immédiatement 10 millions d'euros. Pour leur part, l'OM et Monaco écopent de la pénalité financière la plus faible. Elle est de 2 millions d'euros chacun, dont 1,7 million avec sursis, soit 300 000 euros chacun payables immédiatement.


          Paris, Marseille et l'ASM ont trois ans pour se mettre en conformité

          À la suite de procédures ouvertes en février ou mars, ces sanctions s'appliquent dès à présent en vertu de « l'accord de règlement » que les huit clubs en question ont signé. Ils ont ensuite trois ans (le PSG, l'OM et Monaco sont dans ce cas) ou quatre ans pour se mettre progressivement en conformité avec les règlements du fair-play financier sous peine de sanctions revues nettement à la hausse. Les amendes avec sursis doivent être payées progressivement.


          Il est également question de « restriction du nombre de joueurs ». En clair, comme le détaille l'instance européenne, « le club ne peut inscrire plus de 23 joueurs sur sa liste A par rapport au maximum de 25 joueurs prévu dans le règlement des compétitions ». Cette mesure pourrait s'appliquer lors de la saison 2023-2024 et être prolongée en 2024-2025 et/ou 2025-2026. S'ils ne rentrent pas dans les clous, le PSG, l'OM, Monaco et les cinq autres risquent également une « interdiction d'inscription de nouveaux joueurs sur sa liste A lors des compétitions interclubs de l'UEFA. »


          Enfin, la sanction ultime pour ceux qui ne suivraient pas l'accord passé avec l'UEFA est radicale : « Exclusion de la prochaine compétition interclubs de l'UEFA pour laquelle ils se qualifieraient. Cette mesure s'applique, sous condition, aux saisons 2024-25 et/ou 2025-26. »

          En dehors des clous du fair-play financier, huit clubs européens, dont les trois français, écopent d'amendes. Ils ont trois ans pour redresser progressivement la barre sous peine d'être plus durement pénalisés, voire exclus des Coupes d'Europe.



          La vidéo de la conférence avec les mesures annoncées.

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          • L’OM 300k€!
            ils sont hors des clous depuis des années (même en ayant Mc Court), ont pu engranger grâce à la triche des dizaines et des dizaines de millions grâce aux qualifications en LDC (+ revenus annexes comme la billetterie…), et…… 300K€!
            les 2 autres pareils.
            Si l’UEFA ou l’UE ne réglementent pas tout ça, on est cuit à Lyon.

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            • Envoyé par gamouch
              L’OM 300k€!
              ils sont hors des clous depuis des années (même en ayant Mc Court), ont pu engranger grâce à la triche des dizaines et des dizaines de millions grâce aux qualifications en LDC (+ revenus annexes comme la billetterie…), et…… 300K€!
              les 2 autres pareils.
              Si l’UEFA ou l’UE ne réglementent pas tout ça, on est cuit à Lyon.
              Si c'est moi qui affiche cette vérité ... à peine 2 mn après Yanloup rapplique et chiale comme une pucelle. On ne touche pas à son club fétiche.

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              • Mercato - Les entourloupes comptables de la Premier League

                MERCATO - La Premier League a une nouvelle fois la pluie et le beau temps sur le marché des transferts cet été. Mais comment Manchester United et Chelsea font-ils pour dépenser autant, et passer sous les fourches caudines de l'UEFA et de son fair play financier ? La réponse est simple. Et très efficace. Voici comme la ligue la plus riche du monde s'y prend.


                Par Philippe Auclair

                Comment la Premier League peut-elle avoir les moyens de dépenser plus de 1,2 milliard d'euros net en ce mercato estival, alors que quasiment tous ses clubs ont affiché des pertes record pendant les deux saisons affectées par la pandémie ? Ce 1,2 millard net constitue un nouveau record du monde. Nul besoin de préciser que ce record lui appartenait déjà. La Liga n'est qu'un très lointain second dans cette course aux armements, avec 85 millions de dépenses en net, soit 5% de ce que les clubs de Premier League ont sorti de leurs comptes en banque depuis trois mois.

                Ce ne sont pas que les géants du football anglais qui ont mis la main à la poche. En fait, Liverpool n'a dépensé qu'une quinzaine de millions, les ventes de Mané, Neco Williams et Takumi Minamino équilibrant plus ou moins le débours consenti pour faire venir Darwin Nuñez de Benfica. Manchester City s'est montré encore plus vertueux : les Cityzens affichent un solde positif de plus de vingt millions sur ce mercato. Erling Haaland et Kalvin Phillips sont bien arrivés, mais les transferts de Raheem Sterling, Gabriel Jesus, Oleksandr Zinchenko et de quelques autres noms moins ronflants (Porro, Itakura, Muric) ont plus que compensé l'effort consenti par le champion d'Angleterre.


                Les folies, ce sont d'autres qu'eux qui y sont succombé, comme le promu Nottingham Forest, qui a vu débarquer vingt-et-un nouveaux joueurs à l'intersaison, ce qui aura coûté 154 millions d'euros (net, of course) à leur propriétaire Evangelos Marinakis, soit dix-sept fois ce qu'il a dépensé pour son autre club, Olimpiacos, dont il se dit un fan de toujours. Forest avait pourtant enregistré des pertes d'exploitation de 36,8 et de 39,2 millions sur les deux dernières saisons pour lesquelles on dispose de comptes à jour, 2019-20 et 2020-21. Cela n'a en rien tempéré l'enthousiasme du très controversé milliardaire du Pirée.

                Comparé à Chelsea, on dira d'ailleurs que ces 75 millions et quelques, ce n'est presque rien, puisque les Blues avaient bouclé l'exercice 2020-21 avec un déficit de 177 millions d'euros, eux. Roman Abramovitch avait colmaté la brèche, comme de coutume. Abramovitch n'est plus là, mais rien n'a changé : Clearlake Capital, Todd Boehly et leurs associés ont pris le relais, et sont demeurés fidèles à l'esprit maison en dépensant 228 millions cet été. Oui - net. Comment est-ce possible ?

                Sept ans de contrat ? C'est possible


                Et comment Manchester United, dont le dernier titre remonte à 2017, et qui est désormais devancé par Manchester City, le Real Madrid, le Bayern et le FC Barcelone (et talonné par le PSG) dans la Rich List du cabinet comptable Deloitte, peut-il se permettre de dépenser lui aussi presque 230 millions d'euros net sur ce mercato estival ? Comment ceci peut-il être compatible avec les réglementations du fair-play financier, que ce soit au niveau anglais ou européen ?

                La réponse à ces questions tient en partie en une autre : pourquoi Wesley Fofana vient-il de signer un contrat de sept ans avec Chelsea ?

                Sept ans, oui, c'est possible. Le règlement du statut du joueur de la FIFA spécifie pourtant bien que “un contrat est établi pour une durée minimale allant de la date de son entrée en vigueur jusqu’à la fin de la saison et au maximum pour une durée de cinq ans".

                Chelsea et Fofana ont néanmoins opté pour une rallonge de deux saisons sur ce “maximum”. C'est que la réglementation de la FIFA stipule : "les contrats d’une durée différente [..] sont autorisés [...] s’ils sont conformes au droit national en vigueur". Or, comme le droit national anglais ne voit aucune raison de s'opposer à un septennat en la matière, le jeune défenseur français sera donc un “Blues” jusqu'en juin 2029. En principe.



                En principe, car Chelsea n'avait pas pour seul objectif de s'accrocher à sa recrue aussi longtemps que la loi le leur permettrait, et de protéger ainsi plus longtemps sa valeur marchande. Chelsea entendait aussi rester dans les clous du fair-play financier en se servant d'un tour de passe-passe comptable sans lequel presque aucun club - anglais ou pas - ne pourrait présenter de comptes à l'équilibre aux contrôleurs de leur ligue ou de l'UEFA : l'amortissement.



                Fofana aura coûté 80 millions d'euros à Chelsea. Cela ne signifie pas que 80 millions seront portés au passif du club, qui a le droit d'amortir le coût du transfert sur la durée totale du contrat signé par le joueur et qui, dans le cas de Fofana, est de sept ans. 80 divisé par 7 égale 11,43; ce seront donc 11,43 millions qui seront portés au compte des dépenses de Chelsea en 2022, 23, 24...et ainsi de suite jusqu'à 2029, quand ce contrat sera parvenu à son terme ne vaudra plus un centime.

                La clé, c'est l'amortissement


                Présenté ainsi, la chose a un certain sens, le problème étant que les revenus perçus par le club, lorsqu'il vend un joueur, peuvent être aussitôt portés à son crédit, et en intégralité, quand bien même la plupart de ces paiements sont effectués par tranches, le plus souvent sur trois ans.

                En vendant dans le même temps Billy Gilmour un peu plus de 10 millions à Brighton, Chelsea avait donc quasiment absorbé le passif généré par le recrutement de Fofana, à tout le moins pour une saison. Astucieux, non ?

                Considérés de la sorte, les transferts a priori exorbitants de Manchester United n'auront pas été si onéreux que cela aux yeux des comptables.
                • Antony, 95 millions, cinq ans de contrat : 19 millions par an.
                • Casemiro, 70 millions, quatre ans : 17,5 millions par an.
                • Lisandro Martinez, 53,4 millions, cinq ans : 10,7 millions par an.
                • Tyrell Malacia, 15 millions, quatre ans : 3,75 millions par an.

                Si vous faites l'addition, c'est un peu moins de 51 millions en prenant en compte les amortissements sur les durées de contrat, et comme Manchester United a récupéré 11 millions pour la vente d'Andreas Pereira à Fulham et le prêt payant d'Eric Bailly à l'OM, ce ne sont 'que' quarante millions qui grèvent les comptes du club; et vu que, dans le même temps, MU s'est séparé de Paul Pogba, Edinson Cavani, Jesse Lingard, Nemanja Matić et Juan Mata, et n'aura plus à payer leurs salaires… eh bien, il est probable que la situation financière du club se sera améliorée, 230 millions de débours net ou pas. Demeurer dans les clous du fair-play financier? Easy!

                Le problème est que ce mécanisme comptable profite d'abord aux riches, en ce qu'eux ont bien davantage à gagner en s'en servant. Ces riches, ce sont les clubs de Premier League, dont dix figurent parmi les treize les plus dépensiers au monde cet été.

                Ces riches savent aussi que, si toute l'Europe se serre la ceinture et tâche à parer au pire, et malgré une inflation qui, au Royaume-Uni, dépasse déjà 10% (et pourrait atteindre 22% en janvier, selon les analystes de Goldman-Sachs), plus une livre sterling qui chute à nouveau sur les marchés des changes, la Premier League, elle, sera épargnée. Plus populaire que jamais, elle recevra 12 milliards d'euros au titre des droits TV (désormais, et pour la première fois, plus profitables à l'étranger qu'en Grande-Bretagne) sur l'exercice 2022/2025, soit une augmentation de 16% sur le triennat précédent.

                Elle n'a pas que les meilleurs joueurs. Elle a aussi les meilleurs vendeurs, et les meilleurs comptables.

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                • Très intéressant.

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                  • PSG : plus de 300 millions d’euros de pertes sur l’exercice 2021-2022, très au-delà des prévisions

                    INFO LE PARISIEN. Selon nos informations, le club de la capitale a enregistré 300 à 350 millions d’euros de pertes sur l’exercice 2021-2022. Il semble toutefois confiant pour redresser la barre dans les prochains mois.



                    ​ Pour la troisième fois de suite, les pertes enregistrées par le PSG sur la saison se mesurent en dizaines de millions d’euros. Après les moins 124 millions d’euros de la saison 2019-2020, les moins 224 millions d’euros de la saison 2020-2021, le total grimpe à plus de 300 millions pour l’exercice 2021-2022. Un chiffre qui sera confirmé par les rapports publics de la DNCG d’ici plusieurs mois mais qui, selon certaines sources, s’approchent même des 350 millions de déficit. Ce qui dépasserait largement les prévisions présentées devant le gendarme financier du foot français en juin 2021.

                    Concrètement, le PSG paye encore les conséquences de la pandémie de Covid-19 et la baisse des recettes de billetterie, qui se cumulent année après année. Mais le club paye également sa masse salariale et sa politique sportive : le trop grand nombre de joueurs sous contrat et des émoluments trop importants. Des points à corriger sur la saison en cours pour ne pas risquer de nouvelles sanctions.​

                    800 millions d’euros de budget pour 2022-2023

                    Début septembre, le PSG a écopé d’une amende de 10 millions d’euros de la part de l’UEFA après avoir été condamné à une amende de 65M€ dont 55M€ avec sursis pour non-respect des règles du fair-play financier sur la saison 2021-2022. Un accord a été signé avec l’instance européenne en preuve de la bonne foi du club et de sa volonté d’améliorer au plus vite la situation. Les pertes supérieures à 300 millions d’euros ne sont donc pas un nouveau sujet pour le club de la capitale.​

                    Parmi les points positifs : le dégraissage de joueurs entamé cet été sur le marché des transferts. Beaucoup de prêts (Icardi, Paredes, Herrera, Diallo…), certes, mais 55 millions d’euros de ventes (Kehrer, Areola, Gueye) ou départs libres (Di Maria, Rafinha), aussi. Le PSG sait que la masse salariale doit encore s’alléger et estime être sur la bonne voie. Et se dit même serein quant à sa capacité à respecter l’accord signé avec l’UEFA.

                    Pour compenser ses nouvelles dépenses et, notamment, le nouveau contrat signé par Kylian Mbappé jusqu’en juin 2024 (plus une année en option), les dirigeants parisiens tablent sur un budget de 800 millions d’euros pour l’exercice 2022-2023. Si ce chiffre est atteint, il permettra d’abaisser le total des pertes de la saison passée.

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                    • Un nouveau sponsor qatari, une malette et tout ira bien.
                      Envoyé par Eomer

                      T'aimes ca hein petite trainée

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