Incroyable le scénario de votre saison.Je me souviens d'un article sur l'équipe le jour du match PSG-Benfica au parc.Si je ne dis pas de bêtises,il y avait un problème etre le coach la direction et les joueurs à l'époque.N'oublions pas que Benfica avait tout perdu (de façon relative) en fin de saison la saison passée
Chaque année,Benfica est présent.Je suis bluffé :shock:
En danger, déjà...
mercredi 2 octobre 2013 LISBONNE
Des débuts difficiles en Championnat, un président qui met la pression : Jorge Jesus, qui a prolongé cet été, n'est pas sûr d'être encore entraîneur de Benfica lorsque le stade de la Luz accueillera la finale de la C 1, le 24 mai.
À BENFICA, il y aura eu un avant et un après Jorge Jesus (voir chiffres), mais l'après pourrait commencer plus tôt que prévu. La faute à un début de saison très moyen selon les canons locaux. Après six journées, Benfica a déjà concédé deux nuls et une défaite en Championnat, soit sept points égarés (contre treize sur l'ensemble de la saison passée). Si on y ajoute la dernière fin de saison, dramatique, des Aigles avec trois « finales » perdues (voir interview), cela commence à ternir fortement le bilan de Jorge Jesus. En juin dernier, l'entraîneur lisboète, en fin de contrat, avait signé un nouveau bail de deux ans qui en fait le technicien le mieux payé du pays (4 M€ brut par saison). Un joli cadeau du président, Luis Filipe Vieira, qui, depuis, ne manque pas une occasion d'y agréger une pression à l'avenant : « Benfica possède le meilleur effectif des trente dernières années, je ne suis pas le seul à le dire », a-t-il répété la semaine passée, affirmant qu'il a préféré renforcer son effectif (avec Fejsa, Djuricic, Markovic, Sulejmani, Bruno Cortez et Siqueira) sans vendre, alors qu'il aurait pu céder « pour 120 M€ » ses trois éléments les plus convoités (Matic, Garay, Gaitan). Pour l'instant, ce sont surtout les déséquilibres d'un groupe bondé d'éléments offensifs et de joueurs de couloir qui sautent aux yeux. D'autant qu'avec la blessure de Salvio (rupture du ligament croisé antérieur du genou droit), Jesus a sans doute perdu son meilleur élément dans ce secteur. Une défaite à Paris ne condamnerait pas l'entraîneur lisboète (59 ans). Mais, fragilisé par son esclandre avec Oscar Cardozo après la finale de la dernière Coupe du Portugal (1-2 contre Guimaraes, le 26 mai) et par son intervention musclée sur la pelouse de Guimaraes pour repousser un policier sur le point d'arrêter un supporter de Benfica (1-0, le 22 septembre), il sait sa marge infime. Et dépendant du réveil de recrues qui, pour le moment, n'apportent pas la plus-value espérée.
Chaque année,Benfica est présent.Je suis bluffé :shock:
En danger, déjà...
mercredi 2 octobre 2013 LISBONNE
Des débuts difficiles en Championnat, un président qui met la pression : Jorge Jesus, qui a prolongé cet été, n'est pas sûr d'être encore entraîneur de Benfica lorsque le stade de la Luz accueillera la finale de la C 1, le 24 mai.
À BENFICA, il y aura eu un avant et un après Jorge Jesus (voir chiffres), mais l'après pourrait commencer plus tôt que prévu. La faute à un début de saison très moyen selon les canons locaux. Après six journées, Benfica a déjà concédé deux nuls et une défaite en Championnat, soit sept points égarés (contre treize sur l'ensemble de la saison passée). Si on y ajoute la dernière fin de saison, dramatique, des Aigles avec trois « finales » perdues (voir interview), cela commence à ternir fortement le bilan de Jorge Jesus. En juin dernier, l'entraîneur lisboète, en fin de contrat, avait signé un nouveau bail de deux ans qui en fait le technicien le mieux payé du pays (4 M€ brut par saison). Un joli cadeau du président, Luis Filipe Vieira, qui, depuis, ne manque pas une occasion d'y agréger une pression à l'avenant : « Benfica possède le meilleur effectif des trente dernières années, je ne suis pas le seul à le dire », a-t-il répété la semaine passée, affirmant qu'il a préféré renforcer son effectif (avec Fejsa, Djuricic, Markovic, Sulejmani, Bruno Cortez et Siqueira) sans vendre, alors qu'il aurait pu céder « pour 120 M€ » ses trois éléments les plus convoités (Matic, Garay, Gaitan). Pour l'instant, ce sont surtout les déséquilibres d'un groupe bondé d'éléments offensifs et de joueurs de couloir qui sautent aux yeux. D'autant qu'avec la blessure de Salvio (rupture du ligament croisé antérieur du genou droit), Jesus a sans doute perdu son meilleur élément dans ce secteur. Une défaite à Paris ne condamnerait pas l'entraîneur lisboète (59 ans). Mais, fragilisé par son esclandre avec Oscar Cardozo après la finale de la dernière Coupe du Portugal (1-2 contre Guimaraes, le 26 mai) et par son intervention musclée sur la pelouse de Guimaraes pour repousser un policier sur le point d'arrêter un supporter de Benfica (1-0, le 22 septembre), il sait sa marge infime. Et dépendant du réveil de recrues qui, pour le moment, n'apportent pas la plus-value espérée.
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