Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les Saisons de l'OL

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
Ceci est une discussion importante.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les Saisons de l'OL

    A l'identique du Who's Who, voici un topic pour récapituler les saisons de notre Olympique Lyonnais ..Ouvrez vos albums et vos archives !!!

    NB : cette présentation n'est pas l'émanation de l'Olympique Lyonnais mais seulement de simples forumeurs. Merci de bien vouloir nous signaler toute erreur, omission ou inexactitude.


    1. 1951 - 1952
    2. 1954 - 1955
    3. 1955 - 1956
    4. 1959 - 1960
    5. 1963 - 1964
    6. 1966 - 1967
    7. 1967 - 1968
    8. 1972 - 1973
    9. 1973 - 1974
    10. 1975 - 1976
    11. 1976 - 1977
    12. 1979 - 1980
    13. 1980 - 1981
    14. 1988 - 1989
    15. 1989 - 1990
    16. 1990 - 1991
    17. 1992 - 1993
    18. 1994 - 1995
    19. 2000 - 2001
    Dernière modification par MuM_, 25/03/2007, 13h51.

  • #2
    SAISON 1972 - 1973

    Entraineur : Aimé MIGNOT






    debout : Mihajlovic, Chauveau, Baeza, Domenech, Valette, Lhomme
    accroupi : Chiesa, Lacombe, Di Nallo, Prost, Ravier

    Envoyé par OLWEB
    En championnat, la saison est moyenne. Alternant le bon (match nul à Nice 2-2 contre les Aiglons, alors leader avec 6 points d’avance) et le mauvais (défaite 4-2 à Gerland contre Nantes), l’OL finit 13ème du championnat.

    En Coupe de France, c’est encore une année victorieuse, avec de nombreux exploits. En effet, l’OL va se qualifier pour la finale en éliminant l’OM et Avignon, sur les mêmes scores aller(défaite1-0) et retour(victoire 4-1). L’OL gagnera la finale 2-1 contre Nantes grâce à un but inscrit de la main par Lacombe et un but inscrit sur penalty de Trivic. En outre, deux affaires marquent cette saison :
    - Serge Chiesa ne se rend pas au stage national de Saint-Malo : il sera suspendu 2 matchs.
    - Les joueurs du championnat de France décident de faire grève le 1er décembre : ce jour-là, seulement 2 matchs sont joués par les pros (Rennes - Nice et Nantes - Nîmes).

    L'effectif : Baeza, Chauveau, Chiesa, Di Nallo, Mihajlovic, Lacombe, Prost, Felix, Ravier, R. Domenech, A. Domenech, Trivic, Maillard, Cacchioni, Berger, Chemier, Thiry, L'Homme, Valette.

    Meilleurs buteurs : Lacombe (23) - Di Nallo (14).
    Championnat : 13 ème sur 20, avec 35 points en 38 matchs.
    Coupe de France : Victoire face à Nantes.
    Envoyé par Phanou Herko
    3. Troisième coupe
    Mais ces soubresauts n'empêcheront pas notre olympique d'aller, une fois de plus, au bout dans la plus belle des compétitions. Après Noeux-les-Mines (3-1) et le Racing Club de France (2-1), l'OL élimine les girondins de Bordeaux en huitième de finale. Au match aller, les gones ont survolé les débats (3-0). Au retour, l’OL s’en sort grâce à un but de Di Nallo (1-3). Au tour suivant, en quart, l'OL affronte le tenant du titre, l'OM. Lors de la première manche au Vélodrome, les gones ne s'inclinent que 1-0. A Gerland, il n'y a qu'un olympique et il est lyonnais. Après que Skoblar ait pété un plomb et donné un coup de poing à l'innocent Domenech, les marseillais sont réduits à 10 et vont subir une belle humiliation (4-1): Lacombe deux fois, Chiesa et Baeza). En Demi-finale, l'OL passe sans trop de difficultés Avignon, malgré une défaite 1-0 au match aller. Les Lyonnais retrouveront le FC Nantes en finale au Parc des Princes. Contre les champions nantais, l'OL prend le match... en mains! Trivic inscrit le premier but sur penalty. Puis Bernard Lacombe qui s'aide, léééééégèrement de la mimine, inscrit le second but. Couecou, le nantais, lui, envoie un direct du droit dans la balle pour réduire le score. Ces petits incidents n'influent pas sur le résultat final d'un match entièrement dominé pas les lyonnais. La coupe s’invite à Lyon pour la troisième fois de son histoire. Et les très nombreux supporters qui sont venus accueillir les héros à Perrache ont raison d’acclamer tout particulièrement le trio Chiesa, Di Nallo, Lacombe auteurs à eux trois de 13 buts lors de cette campagne victorieuse. Nanard en a inscrit 8 à lui seul

    A lire aussi :
    http://fcnhisto.free.fr/scanbonus8.htm
    http://fcnhisto.free.fr/scan12_cdf73.htm
    http://www.fff.fr/www/coup/historiqu...hist1973.shtml
    http://olympiquelyonnaiscollection.chez-alice.fr/


    Sources :
    http://perso.numericable.fr/~pperrus...h19721973.html
    Dernière modification par MuM_, 25/03/2007, 12h59.

    Commentaire


    • #3
      Saison 1975 - 1976




      Entraineur : Aimé MIGNOT puis Aimé JACQUET



      Envoyé par OLWEB
      1975-1976 : Une nouvelle année mi-figue mi-raisin.

      En championnat, malgré un excellent départ, l'OL se bat une bonne partie de la saison pour assurer son maintien.

      En Coupe d'Europe, l'OL n'a une nouvelle fois pas de chance au tirage au sort, tombant sur une des meilleures formations de l'époque, le FC Bruges, futur finaliste de la compétition, malgré une défaite 4-3 à Gerland compensée par un 3-0 au match retour. Au milieu de la saison, Aimé Mignot cède sa place à Aimé Jacquet, qui, après avoir joué à l'OL, termine sa carrière lyonnaise comme entraîneur, de 1976 à 1980.

      C'est donc avec lui que l'OL disputera sa 6ème finale de la Coupe de France, contre Marseille. L'OL tentera bien de réaliser la passe de 4, mais le duo Chiesa-Lacombe ne sera pas celui des grands jours, et l’OM inscrira deux buts. La Coupe ne veut pas sourire à l'OL cette saison, et repart à Marseille.

      L'effectif : Baldassara, Chiesa, Delestre, De Rocco, Mihajlovic, Lacombe, R. Domenech, Cacchioni, Chemier, L'homme, Valette, Maillard, Maneiro, Marais, Mariot, Bernad, Ferrigno, Garrigues, Genet, Jodar, Lanthier, Paillot.

      Meilleurs buteurs : Chiésa (18 ) - Maillard (11).
      Championnat : 16ème sur 20, avec 37 points en 38 matchs.
      Coupe de France : Finaliste face à Marseille : 0 - 2.



      Sources :
      http://www.lfp.fr/ligue1/historique/...ison=1975/1976
      http://www.ligue1.net
      http://www.lequipe.fr/Football/Footb...302_BUT_1.html
      Dernière modification par MuM_, 15/01/2007, 20h48.

      Commentaire


      • #4
        Saison 1990-1991








        Entraineur Raymond DOMENECH




        De gauche à droite en haut: Rousset, Bouafia, Ngotty, Knapp, Ferez, Corian, Baré, Forêt, Perret (Kiné)


        Au milieu: Ferret (doc) Maillard (kiné (pas sûr)) Lassagne, Fugier, Colin, Garde, Bouderbala, Cabanas, Roche, Garcia, Gayraud (intendant (je crois))
        En bas: Bes, Génésio, Lacombe, Aulas, Domenech, Masson et Billong.









        Envoyé par OLWEB
        1990-1991 : L'Europe retrouvée !
        Envoyé par OLWEB


        Comme l'a promis Jean-Michel Aulas, l'OL va retrouver l'Europe dans les 4 ans suivant son arrivée. Pour leur deuxième saison en D1, les Lyonnais se qualifient en terminant 5ème du championnat, après une ultime victoire à Gerland face à Bordeaux, où Bouderbala fait chavirer un stade de Gerland plein comme un œuf.


        L'OL n'apprend en fait sa qualification en Coupe UEFA, que quelques jours plus tard, après la victoire de l'AS Monaco en Coupe de France, libérant une place.

        La Coupe de France suscite encore une désillusion, avec une nouvelle élimination en 1/32 de finale par Angers.

        L'effectif : Rousset, Billong, Fugier, N'Gotty, Lassagne, Corian, Colin, Genesio, Masson, Bouderbala, Debrosse, Cabanas, Bouafia, Bès, Knapp, Ferez, Roche, Bursac, Taborda, Garde, Chavrondier.

        Buteurs : Cabanas (9) - Masson (5) - Bouafia - Bouderbala (4).
        Championnat : 5ème sur 20 avec 41 points (Qualification en Coupe d'Europe).
        Affluence moyenne de la saison : 21142 (2nd derrière Marseille).
        Coupe de France : Éliminé en 1/32 de finale par Angers (2-0).





        Dernière modification par MuM_, 21/01/2007, 08h50.

        Commentaire


        • #5
          Saison 1980 -1981







          Envoyé par Phanou Herko
          http://forum.olweb.fr/showpost.php?p...0&postcount=40
          1. Le feu d’artifices offensif
          Qui pouvait imaginer, à la veille de cette saison 1980-1981, que l'OL allait offrir durant toute la saison le plus beau spectacle offensif de son histoire? Les Lyonnais vont inscrire pas moins de 70 buts! Tout commence avec un changement d'entraîneur, Aimé Jacquet parti vers les sommets à Bordeaux et... est remplacé par Jean-Pierre Destrumelle, ancien entraîneur de Valenciennes. Fleury Di Nallo, devenu directeur sportif, est en charge du recrutement. Débarquent aussi entre Rhône et Saône, Alain Moizan, Jean-Marc Furlan et Sima NiKolic, attaquant de pointe. C'est donc avec une équipe qui a fière allure que l’OL débute le championnat.
          Et les promesses sont tenues! Lyon développe un jeu de haute facture, et marque, marque beaucoup de buts! 2ème à la trêve, l'OL finit à La 6ème place du classement définitif, véritable miracle pour ce club au bord de la D2 un an auparavant. Mais le véritable exploit est le nombre de buts inscrits: pas moins de 70 buts, ce qui constitue la meilleure attaque de la saison et la meilleure de l'histoire de l'OL. Puis le spectacle séduit les lyonnais, qui reviennent en masse à Gerland! Avec 22000 spectateurs de moyenne, l'OL est en 1981, le club qui attire le plus de monde en France, devant les verts et les parisiens! (Alors l'OL, un club sans histoire et sans âme??)

          Envoyé par OLWEB
          Entraîneur : Jean-Pierre Destrumelle 1980 à 1981

          1980-1981 : "La saison extraordinaire qui fait illusion".

          Grâce à l'aide la Mairie de Lyon, l'OL peut reconstruire un effectif digne de ce nom. Destrumelle, accompagné de Di Nallo achètent Furlan, Alain Moizan, André Ferri et surtout Nikolic, un inconnu yougoslave qui fera un malheur entre Rhône et Saône. Avec cette nouvelle équipe, et notamment un brillant milieu de terrain Moizan - Chiesa - Tigana (qui vient de faire son entrée en équipe de France), Lyon devient rapidement la bonne surprise du championnat, en terminant avec la seconde meilleure attaque.

          On enregistre aussi cette année-là le record de fréquentation du stade de Gerland, qui accueille 48 852 spectateurs face à Saint-Étienne (ce chiffre constituera également le record de France pendant 10 ans).

          En Coupe de France, le parcours est de nouveau peu brillant, avec une élimination en 1/32 de finale.

          En championnat, L'OL sera leader jusqu'à la troisième journée, et 4ème à la trêve. Le Club manquera tout de même la qualification européenne, alors qu'en milieu de saison, le Président Michaux se voit obliger de se retirer pour laisser sa place à Jean Perrot.

          L'effectif : Chauveau, Ferri, Chiesa, Olio, Marais, Muller, Lubin, Xuereb, Bruno, Desbouillons, Tigana, Monteilh, Furlan, Vargoz, Fournier, Moizan, Maroc, N'dioro, Nikolic, Solemenko, De Rocco.

          Meilleurs buteurs : Nikolic (21) - Chiésa (9) - Maroc (9).
          Championnat : 6ème sur 20, avec 41 points en 38 matchs.
          Coupe de France : Éliminé par Martigues en 1/32 de finale.

          Sources :
          http://www.ligue1.net/
          http://www.lequipe.fr/Football/Footb...297_BUT_1.html
          Dernière modification par MuM_, 21/01/2007, 08h52.

          Commentaire


          • #6
            Saison 1963 - 1964





            Debout : Djorkaeff, Leborgne, Aubour, Polak, Desgeorges, Mignot
            Accroupi : Dumas, Di nallo,Combin, x , Rambert

            Envoyé par OLWEB
            1963-1964 : Et une...

            Faute de moyens financiers, Lyon ne recrutera aucun joueur. Mais début octobre, l'arrivée de Taberner, ex-monégasque, permet à l'OL de décoller vers une saison qui restera une des meilleures de son histoire.
            Mis en appétit par leur parcours de la saison précédente en Coupe de France, les joueurs lyonnais en seront vainqueurs cette année-là : c’est le premier trophée de l’OL.
            En coupe d’Europe, l’OL réalise le plus brillant parcours de son histoire, accédant aux demi-finales, en éliminant tour à tour : Odense, l’Olympiakos et Hambourg.
            Mais l'équipe perd le match d’appui face à Lisbonne 1-0.

            L'effectif : Aubour, Beetschen, Combin, Hatchi, Desgeorges, Di Nallo, Djorkaeff, Mignot, Le Borgne, Rivoire, Rambert, Polak, Dumas, Taberner, Duffez

            Meilleurs buteurs : Combin (23) - Di Nallo (10).
            Championnat : 4ème sur 18, avec 39 points en 34 matchs.
            Coupe de France : Victoire en finale face à Bordeaux (2-0).
            Coupes des Vainqueurs de Coupes : demi-finale, perdue au match d’appui face au Sporting Lisbonne
            Le topic de la Coupe d'Europe de 1964


            Envoyé par Phanou Herko
            Histoire de l'OL
            2. En route vers un triplé historique
            L'espoir est grand à l'orée de la saison 63-64, et les supporters lyonnais ne seront pas déçus! Pourtant les débuts ne sont pas glorieux. Faute de moyens, le recrutement est... inexistant! Jasseron s'appuie donc sur le groupe de la saison précédente, sans renfort. Le début du championnat semble prouver la stagnation, l'OL est irrégulier et alterne le bon et le moins bon. Mais la science de Lucien Jasseron finit par faire merveille de nouveau. Entre le mois de novembre et le mois de janvier, l'OL effectue une spectaculaire remontée de la 10ème à la 2ème place du championnat, juste derrière Saint-Etienne! Cette formidable série met en lumière une nouvelle génération de joueurs, Dumas, Rivoire, Hatchi en sont les porte-drapeaux! Parallèlement, l'OL progresse tour après tour en coupe de France et en coupe d'Europe. Le 1er mars 1964 les Lyonnais sont seconds du championnat, qualifiés pour les huitièmes de la coupe de France et les quarts de la coupe d'Europe! Ce parcours est exceptionnel pour un club français, même s’il n’était pas forcement préparé.

            3. L'OL est arrivé trop tôt
            Confronté à un calendrier infernal, les Lyonnais abandonnent le championnat, pour finir finalement à une quatrième place (la meilleure de son histoire tout de même). En C2, l'OL doit affronter Hambourg en quarts de finale. On ne donne pas chère de la peau des gones dans l'enfer du Volksparkstadion avec ses 70000 personnes. Mais les lyonnais réalisent l'exploit d'arracher le nul 1-1 avant de battre sans appel les Allemands 2-0 grâce à la Foudre et à Fleury dans un Gerland déchaîné… L'Europe est rouge et bleue. Malheureusement les lyonnais doivent s'incliner au tour suivant face au sporting de Lisbonne. Mais quelle injustice de l'Histoire! L'OL concède un 0-0 à Gerland puis obtient un 1-1 au Portugal... L'OL est qualifié pour la finale, le but à l'extérieur fait la différence !! Et bien non! Cette règle n'existe pas encore, l'OL est arrivé trop tôt et les protagonistes doivent jouer un match d'appui, que l'OL perd 1-0... Tristesse! Mais l'OL ne dit pas son dernier mot et c'est vers son premier amour qu'il se tourne: la Coupe de France. Et cette fois, la belle ne résiste pas, elle se laisse séduire! Nîmes, Forbach, Cherbourg, Lens et Valenciennes passent à la moulinette, et c'est enfin les girondins qui boivent la tasse en finale. C’est Combin qui leur enfonce la tête sous l’eau !

            sources :
            Dernière modification par MuM_, 05/01/2007, 21h11.

            Commentaire


            • #7
              SAISON 1976 - 1977



















              Debout : Delestre, Domenech, Mariot, Viskaino, Jodar, Mihajlovic, Spiegel, Broissart


              Assis: Marais, Olio, Paillot, Maroc, Bernad, Chiesa, Lacombe





              Envoyé par Phanou Herko
              Envoyé par Phanou Herko

              1. Hiver 77, l’OL se noie…
              Le début de saison 76-77 fait naître l'espoir du côté de Gerland, l'OL est premier du classement après une victoire sur Nantes le 23 octobre (2-0 deux buts de Chiesa), et l'OL n'est qu'à un point des canaris à la trêve... Serait-ce l'année de l'OL! Malheureusement, et une fois de plus, l'OL ne passe pas l'hiver et quand nos artistes Chiesa et Lacombe éternuent, c'est toute l'équipe qui s'enrhume! L'OL finit le championnat à une honorable 6ème place, mais reste loin des espoirs nés en début de saison! Espoirs qui se sont noyés dans un Gerland inondé en mars 1977, quand les gones furent vaincus 2-0 par les verts sous des trombes d’eau… En coupe, l'OL disparaît en 32ème contre Gueugnon!

              Envoyé par OLWEB
              1976-1977 : Première saison complète de l'entraîneur Aimé Jacquet.
              Envoyé par OLWEB


              Elle se terminera par une 6ème place en Championnat privant l'équipe d'une qualification en Coupe UEFA, alors qu’elle était classée 2ème à la trêve, à 1 point du leader.

              En raison d'une fin de championnat chaotique, l'OL ne retrouvera pas les routes européennes.

              Le parcours en Coupe de France a été ponctué d'une amère défaite en 1/32 de finale.

              L'effectif : Chiesa, Delestre, De Rocco, Cornet, Mihajlovic, Lacombe, R. Domenech, Cacchioni, Olio, Maillard, Marais, Mariot, Bernad, Garrigues, Genet, Jodar, Lanthier, Paillot, Broissard, Spiegel, Maroc, Pilloud.

              Meilleurs buteurs : Lacombe (21) - Chiésa (12).
              Championnat : 6ème sur 20, avec 44 points en 38 matchs.
              Coupe de France : Éliminé par Gueugnon en 1/32.





              Dernière modification par MuM_, 25/03/2007, 19h36.

              Commentaire


              • #8
                SAISON 1988 - 1989





                Debout : Lacombe, Garde, Lemasson, Frechet, Zago ,Ngotty, Knapp ,Bouafia, Domenech


                Accroupi : Guichard , Benstiti , Fugier , Colin , Génesio , Lassagne, Garcia


                Envoyé par OLWEB
                Pour sa seconde saison seulement, J.M. Aulas donne carte blanche à Bernard Lacombe (nouveau directeur sportif) et à Raymond Domenech (nouvel entraîneur) pour recruter, en bénéficiant d'une enveloppe financière importante. Les techniciens renforcent l'effectif avec des joueurs confirmés, tout en les mélangeant avec des jeunes du centre de formation.

                Le résultat est éclatant, l'OL prend rapidement la tête de son groupe et ne la lâchera jamais. L'équipe, par son football offensif, écrase tout sur son passage avec notamment son buteur Kabongo, qui explose.

                L'accession se fera lors du match contre Alès. L'OL, par son match nul 0-0, met fin à 6 saisons en D2 dans une ambiance surréaliste : Rémi Garde, jeune joueur, déclarera à l'issue du match "Je me suis parfois arrêté de jouer pour regarder les tribunes qui se soulevaient".

                Le second objectif, "OL - Europe", plus ambitieux encore, sera-t-il réalisé dans les temps ?

                L'effectif 1988/1989: Francois Lemasson, Jean Marc Knapp, Pascal Fugier, Bruno N'Gotty, Frederic Zago, Bruno Genesio, Remy Garde, Stephane Roche, Ali Bouafia, Claudio Garcia, Eugene Kabongo, Oumrane Benyahia, Joel Fréchet, Patrice Cabanel, Farid Benstiti, Eric Guichard, Franck Durix, Mario Corian, Christophe Breton.

                Buteurs : Kabongo (22).C.Garcia (12).
                Championnat : 1er du Groupe B sur 18 avec 68 points en 34 matches
                Champion de France de D2 grâce à une victoire face à Mulhouse (2-1 aux deux matches).
                Coupe de France : Éliminé en 1/8 de finale par Sochaux (1-0).






                Envoyé par Blackcat
                Envoyé par Blackcat

                .....C'était le 22 Avril 1989, ah je vois que tu dresses l'oreille, Phanou, parce que toi aussi et des dizaines d'autres n'ont pas oublié cette date, de même que celle de 1983 qui...
                Ca faisait donc pratiquement six ans qu'on croupissait en enfer, on ne peut qualifier ça autrement. L'odeur de la D2, des immondes barrages qui provoquaient des arrêts cardiaques (si si), des Mulhouse, des Gueugnon et même des Villefranche (ah, Capaldini, Paillot...).
                Ce jour-là donc on savait qu'il nous suffisait d'un seul point, le NUL le plus cher du monde. UN SEUL POINT POUR MONTER.
                Je ne me souviens pas du match, je sais qu'on a chanté, crié, dansé, sauté pendant TOUT le match, que même pour un derby il n'y avait pas eu de telles ambiances. Ah oui, on a tapé dans nos mains à s'en faire mal, non, il n'y avait pas de tifos, de maillots géants et de tous ces trucs-là, il n'y avait que la JOIE, une joie brute, énorme, éternelle comme j'en souhaite à ceux qui ne connaissent que les titres de champion, parce que c'était ENCORE PIRE que pour le premier titre. Ca ne s'imagine pas, ça se vit.
                .......


                Envoyé par Maleante
                Envoyé par Maleante

                ......mon 1er match, c'était le dernier match de l'OL à Gerland lors de la saison 1988-89 (et le dernier match à Gerland en D2 à fortiori)
                Lyon - Cuiseaux Louhans

                j'avais 8 piges, la foule aux alentours du stade et l'odeur des saucisses venant des stands m'impressionnaient déjà...
                je prends place à jean Bouin, les bad gones (qui à l'époque créchaient à JB) chantaient déjà, le stade était quasi plein, seul le virage sud était fermé (feu d'artifice oblige)
                avant le match, 1 ola interminable secouait Gerland, accompagné d'un chant lo, lo, lololo, lololo, lololo (sous l'air de messier on t'enc...des guignols de canal) à l'approche de la vague la foule tapait des pieds, de plus en + fort que la vague approchait (oooooooooooolllllléééééééééé) la ola est passée et on attend le prochain tour...j'étais déjà sous le charme ! ca durait jusqu'à la rentrée des joueurs sur le terrain... et puis le match commence, ça chante, je demande à mon oncle à chaque fois
                "qu'est ce qu'ils chantent, qu'est ce qu'ils chantent ???"
                .......







                Sources :
                OL COLLECTIONS
                LFP



                Dernière modification par MuM_, 21/01/2007, 08h53.

                Commentaire


                • #9
                  SAISON 1994 - 1995







                  Debouts : Ngotty, Marcelo, Roy, Paille, Anselmini, Olmetta
                  Accroupis : Flachez, Delamontagne, Deplace, Gava, Amoros


                  Envoyé par OLWEB
                  1994-1995 : un bien bon championnat !

                  Cette saison correspond à l'apogée d'un certain nombre de joueurs au sein de l'effectif lyonnais. Parmi ceux formés au Club, N'Gotty et Maurice explosent, de même que Deplace ou Laville, qui réalisent une de leurs meilleures saisons. Enfin, avec Roy, Amoros et Gava, l'OL compte dans ses rangs de nombreux éléments de talents, qui, additionnés à la fougue et à l'envie de vaincre véhiculées par Pascal Olmeta font de cette équipe une des plus belles de l'histoire de l'Olympique Lyonnais.

                  Seule l’équipe d'Angers viendra s'imposer à Gerland (3-1 en 1/16 de finale de la Coupe de France). Mais l'OL réalisera cette saison son meilleur parcours en Championnat, terminant 2ème après avoir rêvé de pouvoir lutter jusqu'au bout pour le titre avec le FC Nantes.

                  Tigana venait de laisser, quelques années après sa première empreinte en tant que joueur, une empreinte indélébile dans le cœur de tous les supporters lyonnais. Malheureusement, il partira pour Monaco, et avec lui, N'Gotty posera ses valises à Paris, et Amoros retournera à Marseille en D2. L'OL parvient cependant à garder sa star montante, Florian Maurice, qui avec 15 réalisations terminait 3ème buteur du championnat. Pour la première édition de la Coupe de la Ligue nouvelle formule, l'OL s'incline avec les honneurs au Parc des Princes face au PSG, qui va emporter quelques mois plus tard la compétition face à Bastia.

                  L'effectif : Olmeta, N'Gotty, Amoros, Billong, Sassus, Roy, Laville, Deplace, Gava, Maurice, Debbah, Delamontagne, Rivenet, Flachez, Breton, Bardon, Anselmini, Roche, Marcelo, Paille, Giuly, Abou, Génésio.

                  Buteurs : Maurice (15) - Gava (9).
                  Championnat : 2ème sur 20 (Qualifié en Coupe d'Europe).
                  Coupe de France : Éliminé en 1/16 de finale par Angers (1-3 à Gerland).
                  Coupe de la Ligue : Éliminé en 1/8 de finale par PSG (2-1 aux Parc des Princes).
                  Dernière modification par MuM_, 21/01/2007, 08h54.

                  Commentaire


                  • #10
                    SAISON 1979 - 1980











                    Debout : Chauveau-Müller-Zivalzevic-OLIO-Paillot-Tigana





                    Accroupi : Amouret - Martinez-Lubin-Valadier-Chiesa


                    Envoyé par OLWEB
                    1979-1980 : Une nouvelle saison très difficile pour l'OL.

                    L'équipe évite la descente directe grâce à une précieuse victoire 1-0 (but sur penalty d’Olio) à domicile, en fin de saison face à Marseille, 19ème. L'Olympique Lyonnais joue donc les barrages face à Avignon.

                    Aimé Jacquet, qui avait annoncé qu'il quitterait l'OL, tient à laisser à Lyon une équipe de D1. Grâce à son professionnalisme et à celui des joueurs, l’OL assure son maintien au sein de l’élite notamment grâce à sa victoire 6-0 en match aller contre Avignon.

                    Cette année là, l'OL est champion de France cadet avec au sein de l'équipe un certain Laurent Fournier, dont on reparlera un peu plus tard...

                    L'effectif : Chauveau, Chiesa, De Rocco, Amouret, Olio, Marais, Genet, Muller, Paillot, Lubin, Xuereb, Aleksic, Desbouillons, Martinez, Carrié, Tigana, Valadier, Ferrigno, Banderan, Zivaljevic, Bruno, Monteilh.

                    Meilleurs buteurs : Xuereb (10) - Valadier (8 ).
                    Championnat : 18 ème sur 20, avec 29 points en 38 matchs.
                    Coupe de France : Éliminé par Angoulème en 1/32 de finale.
                    Envoyé par Phanou Herko
                    http://forum.olweb.fr/showpost.php?p...2&postcount=37
                    La déception que cette saison 79-80 sera à la hauteur des espoirs placée en cette équipe.
                    Durant tout l’exercice, l'OL flirte avec l'enfer... Chiesa et Tigana (néo-international) sauvent les meubles comme ils peuvent, mais notre club, dans les trois derniers dès la troisième journée, restera dans la zone de relégation durant toute la saison.. L'OL encaisse 65 buts, et perd à 19 reprises! Nos gones sont éliminés par Angoulême en 16 ème de finale de la coupe de France... Décidément les temps changent. A la veille de la 33ème journée, celle du 18 avril 1980, l’OL et l’OM, avant de s’affronter à Gerland, partgagent la 18ème place, celle du purgatoire, celle qui assure une place de barragiste, celle de l’espoir. Les deux olympiques ne sont séparés que par deux buts de goal average à la faveur des lyonnais. Ce jour là, les 6000 spectateurs perdus dans l’immensité de Gerland, assistèrent à un des matchs les plus dramatiques de l’histoire du championnat de France. Apre, douloureux, tendu et angoissant, le match se joue sur un penalty d’ Alain Olio suite à une faute de Trésor sur Lubin en début de match. L’OL l’emporte 1-0 et obtient un sursis, celui des barrages, qu’il devra remporter contre Avignon pour sauver une place en D1 vieille de 27 ans. Les lyonnais n’en font qu’une formalité, l’affaire est dans le sac dès le match aller, grâce à une écrasante victoire 6-0 sur les avignonnais.

                    Les gones s'en sortent mais pour combien de temps ? La chute semble irrémédiable… et Aimé Jacquet s'en va réussir à Bordeaux, laissant l'Olympique lyonnais dans l'incertitude de son destin.


                    Sources :http://www.ligue1.net/

                    Commentaire


                    • #11
                      SAISON 1973 - 1974




                      Envoyé par OLWEB
                      1973-1974 : Encore une belle saison, et, fait rare, sur les trois tableaux.

                      En Coupe d'Europe, l'OL est certes éliminé au second tour (1/8 de finale), mais face à une grande équipe, le PAOK Salonique. En championnat, Lyon termine à son meilleur classement depuis la création du club, en 3ème position, ne subissant qu'une seule défaite à domicile face à Monaco.

                      En Coupe de France, le club est éliminé en 1/4 de finale aux tirs au but par Sochaux. Cette belle saison est ponctuée d'une qualification pour la Coupe de l'UEFA, épreuve remplaçant la Coupe des Villes de Foires.

                      L'effectif : Baeza, Chauveau, Chiesa, Di Nallo, Mihajlovic, Lacombe, Ravier, R. Domenech, A. Domenech, Cacchioni, Berger, Chemier, Thiry, L'homme, Valette, Jacquet, Maneiro, Mariot.

                      Meilleurs buteurs : Chiesa (15) - Di Nallo (14) - Lacombe (13).
                      Championnat : 3ème sur 20, avec 55 points en 38 matchs.
                      Coupe de France : Éliminé en 1/4 de finale par Sochaux.
                      Vainqueur de la Coupe des Champions en 1973


                      Envoyé par Phanou Herko
                      http://forum.olweb.fr/showpost.php?p...7&postcount=28
                      1. Une première…
                      En 1973-1974, l'OL est engagé dans trois compétitions: La coupe des coupes, le championnat et SA coupe de France. L'OL parviendra-t-il à jouer sur trois tableaux? Malheureusement non! L'OL est sèchement éliminé en huitième de finale de coupe d'Europe par les Grecs du Paok salonique. Après un match fou à l'aller (3-3), on perd la trace des lyonnais en Grèce, certains diront les avoir vus sombrer... 4-0! En coupe de France, l'OL est sorti en quart par Sochaux, après un parcours plutôt correct! En fait c'est en championnat que brillent les lyonnais! Leur jeu ultra offensif, emmené par messieurs Di Nallo, Lacombe et Chiesa, permet à l'OL d'empocher de nombreux points de bonus (un point de plus quand une équipe marque au moins 3 buts dans un match)! L'OL reste en tête plusieurs semaines de suite, avant de céder sa place à Saint-Etienne... et de finir troisième du championnat, le meilleur classement du club jusqu’alors. Cette saison 73-74 est une réussite. Même si l’OL ne remporte rien.
                      Envoyé par Phanou Herko
                      En 1973-1974 puis en 1974-1975, l’OL occupait, pour la première fois de son histoire, une place sur le podium du championnat de France, derrière l’ASSE double champion et Nantes en 74 et Marseille en 75. Même si les stéphanois en patte d’ef étaient difficilement atteignables, notre OL avait eu le mérite de bien résister grâce notamment au talent offensif du trident Di Nallo – Lacombe - Chiesa et de l’efficacité défensive de Chauveau, Mihajlovic et Domenech. Malheureusement sur ces quelques derbies au sommet, l’OL n’en remportait qu’un. Le 4 avril 1974, l’OL (6ème) battait les verts (1er) un but à zéro grâce à Yves Mariot.



                      sources : http://perso.numericable.fr/~pperruss/ol/index.htm
                      Dernière modification par MuM_, 31/12/2006, 16h07.

                      Commentaire


                      • #12
                        SAISON 1954 - 1955


                        Debouts: Heisserer, Bonvin, Lerond, Duval, Novak, Knayer, Nungé
                        Assis: Farmanian, Jensen, Hjalmarsson, Ninell, Fatton

                        Envoyé par OLWEB
                        Entraîneur : Julien Darui 1954 (6 mois), puis Lucien Troupel (55-59)

                        1954-1955 : construire l'avenir en D1

                        Cette seconde saison en D1 sera plus bénéfique que la première. C'est le début d'un long séjour (plus de 25 ans) parmi l'élite. Malgré un changement d'entraîneur en cours de saison, l'OL réalise quelques bonnes performances, grâce notamment à de nouveaux joueurs d'expérience, tel que l'international Suisse Fatton, mais aussi Farmanian, Mouynet, Kermali, Cossou, Dalla Cieca, qui encadrent les jeunes talents prometteurs que sont Le Borgne, Gardon, Djorkaeff ou Sabathier.
                        Lors de cette saison, L'OL termine à une honorable 12ème place du championnat, et accède aux demi-finales de la Coupe de France.

                        L'effectif : Bonvin, Duval, Dutto, Farmanian, Fatton, Lerond, Hjalmarsson, Ninel, Jensen, Novak, Knayer, Nunge, Genet, Schultz, Sarin, Konrady, Sinibaldi, Mouynet, Kermali.
                        L'histoire de l'OL
                        Nous sommes au commencement de la saison 1954-1955 et l'OL, en quatre ans
                        d'existence, a déjà réussi l'exploit de monter deux fois en première division. Pour cette
                        deuxième expérience notre club ne semble pas vouloir commettre les erreurs de la
                        saison 51-52.

                        A Lyon, on veut désormais miser sur la stabilité. Mais la réalité s’éloigne étrangement du discours.

                        Dès l’intersaison 54, le club tombe dans le piège du recrutement spectaculaire. Trente-huit avant Torben Frank, l'OL recrute l'attaquant rémois Pierre SiniBaldi. Le transfert fait grand bruit, mais blessé au genou droit ce monsieur ne jouera qu'un seul match avec l'OL. ( On dit que l'histoire se répète, nan??).Ensuite l’OL changera 2 fois d’entraîneur en moins d’un an. C’est d’abord Oscar Heisserer qui quitte le club en cours de saison. Figure emblématique de l’OL, il est critiqué et en désaccord avec le président Groslevin. Il est remplacé dans un premier temps par Julien Darui (ex-international), puis par Lucien Troupel, l’ancien entraîneur de Lerond à Cannes. Troupel impose sa marque et ses principes, il fait appel à de nombreux jeunes issus du centre de formation et limite un recrutement hasardeux.

                        A son terme, la saison 54-55 est un succès puisque le club, qui termine 12ème de première division, assure son maintien pour la première fois de son histoire. L'équipe s'appuie sur les mêmes cadres qui lui ont permis de monter. Bonvin et Lerond rassurent en défense, nos vikings Hjalmarsson et Jensen maintiennent leur efficacité offensive, Ninel est toujours aussi précieux et l'attaquant suisse Fatton, transfuge du Servette, finit meilleur buteur de l'équipe avec 13 buts. Antonio, Nowak et Alberto apportent leur expérience et consolident le groupe. L'objectif est atteint et l'OL se paye même le luxe de battre Marseille trois buts à un.

                        Sources : http://perso.numericable.fr/~pperruss/ol/index.htm
                        Dernière modification par MuM_, 22/03/2007, 22h07.

                        Commentaire


                        • #13
                          SAISON 1966 - 1967


                          Envoyé par OLWEB
                          1966-1967 : Et deux...
                          C'est une saison de transition pour l'OL qui enregistre les départs de Jasseron, Djorkaeff, Aubour, Bruey, Traba, Margottin et...Aimé Mignot, qui prend la direction de la section amateur.Le parcours en championnat est chaotique, mais la Coupe de France permet une fois de plus de faire briller le club de la capitale des Gaules. Le 21 mai au Parc des Princes, lors de la finale célébrant le cinquantenaire de la coupe de France, le Général De Gaulle, alors Président de la République, et auteur quelques minutes avant la fin du match d’une passe historique à Hector Maison, remet le précieux trophée à Fleury Di Nallo, jeune capitaine de 23 ans.Les Lyonnais effectueront un retour triomphant à Lyon, où 100 000 personnes les accueillent dans la rue.

                          L'effectif : Chauveau, Desgeorges, L'homme, Di Nallo, Maison, Perrin, Kuffer, Pin, Polak, Le Borgne, Rocco, Rambert, Schwinn, Zewulko, Navacchi, Beetschen, Glizinski, Nouzaret, Prost, Mondi, Palka, Pinalty, Pistilly.Meilleurs buteurs : Di Nallo (14) - Perrin (8 ).
                          Championnat : 15 ème sur 20, avec 34 points en 38 matchs.
                          Coupe de France : Victoire 3-1 face à Sochaux
                          Envoyé par Phanou Herko
                          Histoire de l'OL
                          2. L’OL change pour gagner
                          La saison 66-67, est celle des changements et du retour sur le devant de la scène. En 1965, Edouard Rochet (un des fondateurs du club) succède à Ferdinand Maillet. Lucien Jasseron quitte le club et laisse sa place à l'expérimenté Louis Hon. Jasseron restera à jamais comme l’entraîneur qui a ouvert le palmarès lyonnais. Toute la ville et tous les passionnés de notre club lui en sont reconnaissant. Son remplaçant, Louis Hon, est un technicien expérimenté. Il a joué au Real Madrid et a entraîné plusieurs clubs espagnols. Mais les perspectives sont un peu floues : Aubour est parti à Nice, Djorkaeff n’est plus lyonnais et Rambert, déçu que son club n’ait pas embauché son jeune frère, mange son pain noir. C’est pourquoi cette saison 66-67 s’annonce comme une transition dans la jeune histoire olympienne. Rapidement l'OL abandonne le championnat qu’il finira à une modeste 15ème place. En cette année du « love power » l’Olympique Lyonnais retrouve son premier amour: La Coupe de France. Adepte du 4-3-3, Hon construit une équipe offensive et séduisante! Malgré les départs de plusieurs joueurs cadres, les lyonnais réussissent un magnifique parcours. En 32ème de finale ils éliminent Saint-Nizier modeste club amateur. C’est au tour suivant que commencent les choses sérieuses : En seizième de finale l'OL retrouve une vieille connaissance : l’ASSE. Sur terrain neutre, à Annecy, les lyonnais s'offrent le luxe de battre les futurs champions de France deux buts à zéro grâce à Di Nallo et Rambert. Ils enchaînent en éliminant Rouen puis Angers.

                          3. Le hasard + une pièce + le Général = Une seconde coupe de France
                          En demi- finale, l'OL doit affronter Angoulême, cette confrontation donnera lieu à l'une des plus belles pages de l'histoire de l'OL et de la coupe de France. A Limoges Angoulême, club de deuxième division, et l'OL se séparent sur un score nul de trois partout, alors que les lyonnais menaient 3 buts à un à la mi-temps. Au terme d’une partie hachée pour ne pas dire violente, lyonnais et charentais se donnent rendez-vous pour un match d’appui. Cette rencontre a lieu à… Geoffroy Guichard devant 30000 personnes "Atmosphère! Atmosphère!" En effet les 6000 lyonnais doivent tenir tête aux 20000 gagas qui ont pris fait et cause pour les Angoumoisins. L’ambiance est électrique et le speaker est obligé de lancer des appels au calme à plusieurs reprises. Mais il en faut plus pour impressionner les gones, et les rouges ouvrent le score rapidement par Rambert qui a toujours aimé faire taire les stéphanois. Malheureusement Angoulême égalise 5 minutes plus tard. Les duels sont rudes et l’OL se retrouve en supériorité numérique à un quart d’heure de la fin, mais rien n'y fait le score en reste à 1-1, le match est rejoué une nouvelle fois à Marseille. Ce sera la dernière, puisque la fédération, de peur d’être obligé de repousser la finale, ressort un vieux point de règlement qui stipule qu’en cas de nouvelle égalité, un tirage au sort décidera du finaliste. Et cela ne rate pas, au terme des 90 minutes lyonnais et charentais sont encore dos à dos, c’est donc le hasard qui en décidera. Dans une confusion totale le destin des deux équipes se joue alors sur la chute d'une pièce de 5 francs en bronze qui choisit face, le choix de Di Nallo, l'OL est en finale! Au Parc des Princes, en finale, les lyonnais retrouvent les sochaliens. Mis à part les nombreux gones qui ont pris le train bleu pour monter dans la capitale, le public est en majorité favorable aux francs-comtois. Peu importe, l’inévitable Angel Rambert ouvre la marque avant que Leclerc pour Sochaux égalise à la demi-heure de jeu. Il faudra attendre les 10 dernières minutes d’une partie assez fermée pour que l’OL par André Perrin et Di Nallo offrent définitivement la deuxième coupe de France à Lyon. L’histoire retiendra que ce soir là, rien ne pouvait arriver à l’OL, puisque même le Général De Gaulle renvoyait les passes lyonnaises. En effet à l’heure de jeu, Hector Maison réalise un magnifique Une-deux avec le Chef de l’Etat… Le lendemain ces ont plus de 100000 lyonnais qui fêtent leurs héros !



                          Sources : http://perso.numericable.fr/~pperruss/ol/index.htm
                          Dernière modification par MuM_, 16/01/2007, 21h09.

                          Commentaire


                          • #14
                            SAISON 1989 - 1990



                            Effectifs :
                            Baré, Bès, Billong, Bouafia, Brisson, Colin, Corian, Debrosse, Ferez, Fugier, Garcia, Garde, Génésio, Kabongo, Knapp, Lassagne, Lemasson, Mc Carthy, N'Gotty, Roche, Sutter.

                            Envoyé par OLWEB
                            1989 - 1990 : Retour en Division 1.

                            Après un début difficile, les Lyonnais se reprennent bien, et réalisent un bon parcours général en championnat, terminant à une méritoire 8ème place.

                            En Coupe de France, l’OL s'incline peu glorieusement en 1/32 de finale face à un Club de D2, Nîmes.

                            Buteurs : Kabongo (12) - Brisson (7).
                            Championnat : 8 ème sur 20.
                            Coupe de France : Éliminé en 1/32 de finale par Nîmes (1-0).
                            Envoyé par Phanou Herko
                            Histoire de l'OL
                            1. Revenir sur la pointe des pieds…
                            La remontée assurée, l’objectif du club est clair : Se maintenir et retrouver l’Europe au plus vite. Pour cela les trois mousquetaires Aulas, Domenech et Lacombe s’appuient sur un groupe jeune, sortis du centre de formation et fiers de porter les couleurs du club. Quelques anciens entourent la jeune garde : Garcia, Kabongo et Colin. L’OL se renforce en défense avec l’arrivée de Mick McCarthy, capitaine de la sélection irlandaise et en attaque avec François Brisson, ancien champion olympique 1984. L’OL ne veut pas faire de bruit et souhaite réussir son retour avec discrétion…. Raté ! Après un quart d’heure de jeu en D1, nos lyonnais sont déjà menés 3-0 à Gerland. Devant 30000 personnes, dont 10000 marseillais, l’OM déroule et manifeste toute sa force ! Génésio sauvera bien l’honneur mais l’OL s’inclinera finalement 4-1 ! Après la rencontre et les quelques vitrines brisées, ils sont rares ceux qui osent parier sur les chances de l’OL en D1… Le fossé semble si grand à combler ! Cependant, avec sérieux, fierté et combativité l’OL intègre la première partie du classement et finit à une honorable 8ème place. Il s’offre même quelques coups dont nous avons tous le souvenir… Rappelez-vous : Les deux victoires à Paris contre le PSG et le Racing, la passe à dix contre Bordeaux et que dire de cette victoire au vélodrome lors de la dernière journée :
                            Radio Blanchard : Buuuuuuuut d’Eugène KaBoNGoooooooOOOOooo..!!!!????
                            Juste pour gâcher la fête au Vélodrome ! Que du bonheur !

                            Commentaire


                            • #15
                              SAISON 1955 - 1956


                              Debouts: Lerond, Ninel, Novak, Alberto, Mouynet, Knayer
                              Assis: Farmanian , Kermaly, Schultz, Antonio, Fatton

                              Envoyé par OLWEB
                              1955-1956 : une saison de rodage

                              L'OL finira dans la première partie du tableau en championnat, malgré un parcours moyen, et brillera surtout en Coupe de France. Ainsi, après avoir éliminé D'elle, Le Red Star et Brest, les Lyonnais battent les redoutables Aiglons Niçois aux prolongations en 1/4 de finale. Un penalty en faveur de l'OL oublié par l'arbitre les contraindra à s'incliner face à Sedan (1-0) en demi-finale.

                              L'effectif : Alberto, Antonio, Beveragi, Beetschen, Dutto, Farmanian, Fatton, Lerond, Ninel, Missana, Knayer, Genet, Schultz, Mignot, Novak, Konrady, Sinibaldi, Mouynet, Kermali, Ramon, Rocci.
                              Envoyé par Phanou Herko
                              http://forum.olweb.fr/showpost.php?p=666961&postcount=8
                              Lors de la saison suivante, les lyonnais, conduits par Lucien Troupel, assurent le maintien de manière similaire. Le groupe est renforcé par l’arrivée de Robert Mouynet En championnat, le parcours est moyen, 8ème avec 37 points (en 34 matchs) et serait même resté anecdotique si Ninel n'avait pas marqué le but de la première victoire lyonnaise à... Saint-Etienne (0-1, 30000 spectateurs).
                              Mais en cette année 1956, l'OL tombe amoureux d'une vieille dame, la coupe de France se laisse déjà séduire par ces couleurs rouge et bleu. Peut-être, n'avait-elle pas oublié que ses premiers amours avaient été lyonnais, ces magnifiques perdants de la finale de 1918, Lucien Ebrard et les autres du FC Lyon.
                              Après avoir sorti Delle, le Red Star et Brest, l’OL retrouve, en avril 1956 , le grand OGC Nice (futur champion) en quart de finale au Vélodrome de Marseille. Quatre-vingt-dix minutes de résistance acharnée aux assauts niçois n'ont pas éprouvé la lucidité des lyonnais qui ouvrent la marque, par Kermali dans les premières secondes de la prolongation. L'OL inscrira deux autres buts en fin de match par Kerbali qui récidive et par Schultz. Cette magnifique victoire, fruit du premier exploit de son histoire, ouvre les portes des demis finales aux olympiens, mais reste malheureusement sans lendemain puisque l'OL chute à Colombes face à Sedan. C’est une stupide erreur d'arbitrage prive l'OL d'une première finale.
                              Dernière modification par MuM_, 15/03/2007, 20h58.

                              Commentaire


                              • #16
                                SAISON 1967- 1967



                                Debout : Chauveau, Kuffer, Lhomme, Flohic, Desgorges, Nouzaret, Leborgne, Rocco, Schwinn, Glyzinski, Zewulko
                                Assis : Lekkak, Maison, Guy, Di Nallo, Pin, Perrin, Bouassa, Rambert, Louis Hon (Entraineur)


                                Envoyé par OLWEB
                                1967-1968 : Heureusement l'Europe

                                Cette saison sera peu prolifique en Championnat et en Coupe de France, avec une élimination peu glorieuse par un Club amateur, Quevilly. Par contre, c'est de nouveau une grande saison en Coupe des vainqueurs de Coupe où l'OL se qualifie pour les quarts de finale en Angleterre contre Tottenham, avec un grand Yves Chauveau dans les cages qui réalise des prouesses. Malheureusement, en quart, L’OL retrouve une vieille connaissance : Hambourg, mais ne perd, cette fois-ci, que lors du match d’appui (2-0).

                                L'effectif : Chauveau, Desgeorges, L'homme, Di Nallo, Maison, Flohic, Guy, Kuffer, Lekkak, Pin, Polak, Le Borgne, Rocco, Rambert, Schwin, Zewulko, Glyzinski, Nouzaret

                                Meilleurs buteurs : Di Nallo (18 ) - Guy (16)
                                Championnat : 12ème sur 20, avec 36 points en 38 matchs
                                Coupe de France : Éliminé en 1/8 de finale par Quevilly
                                Coupe de Vainqueur des Coupes : Éliminé en quart de finale par Hambourg (match d’appui)
                                Envoyé par Phanou Herko
                                http://forum.olweb.fr/showpost.php?p...1&postcount=23
                                1. L’OL écrit son histoire à White Hart Lane
                                Lors de cette saison 67-68, l'OL abandonne rapidement ses chances en championnat, ces compétitions sur la durée ne sont pas le fort des lyonnais, qui préfèrent entretenir l'idylle avec les coupes! La coupe de France, intransigeante, fait la nique à l'OL en huitième de finale pour embrasser les modestes amateurs normands de Quivilly! Alors notre olympique se tourne vers la coupe des coupes, sa plus fidèle maîtresse!

                                Après avoir battu Aris Bonnevoie au 1er tour, les lyonnais doivent affronter les londoniens de Tottenham en huitième de finale. Le match aller est un massacre de football! L’OL l'emporte 1-0 (Di Nallo), mais ce match illustre à lui seul les relations footballistiques entre la France et la perfide Albion! Vous avez dit entente cordiale? Pas moins de deux expulsés et une pléiade de mauvais gestes... Le flegme britannique s'est perdu sur la route des amabilités! Ca promet pour le match retour!

                                On promet l'enfer aux lyonnais, et c'est bien le monde de Lucifer qui attend les gones. 60000 britishs déchaînés autour de la pelouse de White Hart Lane, muée en champ de bataille! Chauveau est fantastique et il multiplie les exploits. L'OL résiste et supporte l'énorme et légendaire poussée des spurs. « Messieurs les anglais, tirez les premiers ! » Les londoniens ouvrent la marque par Greaves. C'est terrible, que peuvent nos lyonnais ? Ils sont 11 contre... 60 000!
                                L'OL ne peut résister, l'OL ne résiste pas, à la mi-temps les lyonnais sont menés 2-0, ils sont battus... NON! A la 60ème minute Fleury le gone, le petit prince, refroidit à lui seul les flammes de l'enfer anglais ! 2-1 ! On y croit, l'OL est qualifié! Non 3-1, puis 3-2 grâce à Rambert, puis 4-2 et enfin 4-3 par Bouassa, l'OL a tué l'enfer de Tottenham! L'OL est historique!

                                En quart de finale, l'OL retrouve une vieille connaissance de 1964 : Hambourg. L'ambiance du nord allemand est aussi chaude que la mer du Nord est froide! Mais cette fois-ci l'OL ne résiste pas, il est battu 2-0 au match aller, et de manière assez logique. Mais grâce à la belle présence de public lyonnais à Gerland, l'OL refait son retard grâce à son prince, toujours aussi grand! L'OL obtient le match d'appui, et comme il est de coutume, les dirigeant des deux clubs se rencontrent t pour décider du lieu de ce match! On espère, du côté des supporters lyonnais, que le match se jouera sur terrain neutre! Mais c'est sans compter sur le nerf de la guerre: l'argent! La recette est en effet susceptible d'être plus importante à Hambourg, alors, on joue… à Hambourg. L'OL gagne beaucoup d'argent (la moitié de la recette du match) mais perd la qualification pour les demi-finales! L'OL 1968 reste cependant un grand cru...


                                Source :http://perso.numericable.fr/~pperruss/ol/index.htm
                                Dernière modification par MuM_, 22/03/2007, 22h09.

                                Commentaire


                                • #17
                                  SAISON 2000 - 2001


                                  Coupet, Hugues, Bak, Blanc, Carteron, Delmotte
                                  Devaux, Fournier,Laville, Chanelet, Dhorasoo, Laigle
                                  Linarès, Violeau, Anderson,Caveglia, Kanouté, Vairelles


                                  Debouts : Laville, Anderson, Coupet, Linarès, Deflandre, Foe
                                  Accroupis : Dhorasoo, Laigle, Muller,Blanc, Vairelles


                                  Debouts : Hugues, Foe, Govou,Delmotte, Carteron, Brechet
                                  Accroupis : Vairelles, Hauw, Linarès, Deflandre, Muller


                                  Envoyé par OLWEB
                                  Entraîneur : Jacques Santini de 2000 à 2002

                                  2000/2001 : L'OL dans la cour des grands

                                  Le 5 mai 2001 restera à jamais gravé dans la mémoire collective lyonnaise. Ce jour là, en effet, l'OL remporte la Coupe de la Ligue, premier trophée depuis la Coupe de France de 1973. Mais, plus impressionnant encore, pour cette occasion, plus de 40 000 supporters lyonnais se déplacent au Stade de France, qui du coup, prend les airs d'un grand Gerland !

                                  Mais cette victoire, si elle constitue le point d'orgue de cette saison 2000/2001, n'est pas, et de loin, le seul fait d'arme de l'OL, qui a disputé, cette année là, la bagatelle de 57 matchs toutes compétitions confondues (étant ainsi, juste derrière Liverpool, la deuxième équipe européenne à jouer le plus de matchs) !

                                  Malgré une première partie de saison difficile en championnat (l'OL n'est que 9e à l'issue des matchs allers) marquée par quelques coups d'éclats (victoire 3-0 face à Lens, alors leader, lors de la 7ème journée) mais aussi par quelques couacs (défaites à domicile face à Guingamp et Lille), les Gones terminent tout de même deuxièmes, échouant d'un rien derrière Nantes. L'OL effectue, en effet, une phase retour en boulet de canon : 17 matchs, 12 victoires et 4 nuls pour une seule défaite, avec notamment 7 succès consécutifs lors des 7 dernières journées ! Sonny Anderson, symbole de cette dynamique lyonnaise, en profite pour inscrire son 100e but en D1 (lors d'une victoire olympienne 3-2 à Guingamp) et termine meilleur buteur du championnat pour la deuxième fois d'affilée avec 22 buts, après en avoir marqué 12 lors des 10 dernières journées !

                                  Mais cette saison est aussi marquée par la formidable épopée européenne des hommes de Jacques Santini. Tout commence d'ailleurs très bien pour l'OL qui, au cœur du mois d'août, dispose de l'Inter Bratislava (2-1 ; 2-1) au tour préliminaire de la Ligue des Champions et se qualifie ainsi, pour la première fois de son histoire, pour la prestigieuse C1. Et malgré un tirage au sort peu clément (la poule de l'OL est composée de Valence, l'Olympiakos et Heerenveen), les Gones, au terme d'un match électrique face à l'Olympiakos (victoire 1-0), passent l'obstacle du premier tour. L'OL doit alors affronter des adversaires de renom : le Spartak Moscou, Arsenal et le Bayern de Munich. En terrassant le Spartak (3-0) et surtout le Bayern (3-0), pourtant futur vainqueur de l'épreuve, les coéquipiers de Sonny Anderson, dont le grand espoir Sidney Govou, se révèlent à l'Europe entière. Malheureusement, la belle aventure s'achève sur les bords de la Volga, à Moscou, où, malgré son match nul 1-1, l'OL est éliminé de la Ligue des Champions.

                                  Le parcours en Coupe de France restera aussi comme une grande frustration. Après avoir passé l'obstacle Caen (3-2 à Gerland), puis Saint Etienne (victoire au tirs au buts, dans un derby toujours aussi indécis) et Fontenay le Comte (au tirs aux buts également), l'OL sombre à Strasbourg (3-0), en quart de finale.
                                  L'aventure en Coupe de la Ligue est, elle, beaucoup plus joyeuse pour les Gones. Les victoires successives à Sedan (2-1), à Lens (3-1), à Amiens (2-0) et face à Nantes (3-2) ouvrent à l'OL les portes du mythique Stade de France. Disposants de Monaco 2 buts à 1 aux prolongations grâce à un ultime but de Müller, les olympiens y soulèvent donc leur premier trophée depuis 28 ans. Le retour à Lyon est triomphal ! L'aventure lyonnaise est en marche…

                                  L'effectif : Coupet, Hugues, Delmotte, Laville, Blanc, Deflandre, Chanelet, Bak, Caçapa, Bréchet, Violeau, Edmilson, Müller, Dhorasoo, Foé, Laigle, Linarès, Ribeiro, Malbranque, Vairelles (puis Loko), Govou, Anderson, Marlet

                                  Buteurs : Anderson (22).
                                  Championnat : 2ème sur 18 (Qualifié pour la Champion's League).
                                  Coupe de France : éliminé en 1/4 de finale par Strasbourg (0-3 à Strasbourg).
                                  Coupe de la Ligue : vainqueur (2-1 aux prolongations face à Monaco en finale)
                                  Champion's League : éliminé au deuxième tour


                                  Voir aussi :
                                  http://fr.wikipedia.org/wiki/Saison_2000-2001_de_l'Olympique_lyonnais
                                  http://www.lequipe.fr/Football/OL_Joueurs.html
                                  La feuille de match de la Coupe de la Ligue
                                  Dernière modification par MuM_, 24/02/2007, 15h03.

                                  Commentaire


                                  • #18
                                    SAISON 1951 - 1952


                                    Envoyé par OLWEB
                                    1951-1952 : Révélation de l'année : Gilbert Bonvin

                                    Ce solide défenseur deviendra d'ailleurs l'un des meilleurs français quelques années plus tard. Cependant les affaires tournent vite mal pour l'OL. Et devant l'inexpérience du groupe, l'entraîneur rechausse les crampons à l'âge de 38 ans. Malgré toutes ces bonnes volontés, l'OL ne parviendra pas à assurer son maintien.

                                    L'effectif : Bonvin, Calligaris, Dutto, Friedrich, Juillard, Jurilli, Lergenmuller, Ninel, Marin, Flamion, Rodriguez, Grillon, Rolland, Tichy, Woehl, Dupraz, Genet, Heisserer
                                    Envoyé par Phanou Herko
                                    http://forum.olweb.fr/showpost.php?p=642091&postcount=5

                                    L’OL fait donc preuve d’audace. Les internationaux Flamion et Grillon sont recrutés, et leurs venues doivent, en principe, renforcer un effectif en pleine confiance. Malheureusement, le niveau de la première division est encore trop élevé pour des joueurs jeunes et sans expérience. C'est finalement, sans surprise et après seulement 7 victoires, que l'OL retrouve la D2 au terme de la saison 51-52. Mais le combat a été héroïque! Pour preuve Heisserer, à 38 ans, reprends, une fois de plus, du service contre Sète. Il étonne tout son monde par sa disponibilité, et clin de l’œil de l'histoire, c'est lui qui ouvre le score! (Vous imaginez Houllier? Nan, on imagine pas). Le constat est cruel, mais bien réel ! L’OL est peut-être monté trop vite. Cette année là, il lui a manqué l’expérience et peut-être la maturité d’un leader sportif… que deviendra quelques années plus tard André Lerond, débarqué entre Rhône et Saône au cours de cette saison 51-52. Sa venue est la preuve que l’ambition des dirigeants lyonnais, Groslevin en tête, reste intacte. L’idée de la jeunesse et de l’avenir anime tout un club qui aspire enfin à la stabilité dans l’élite

                                    Sources : http://perso.numericable.fr/~pperrus...h19511952.html

                                    Commentaire


                                    • #19
                                      SAISON 1992 - 1993



                                      Envoyé par OLWEB
                                      1992-1993 : l'irrégularité...

                                      Malgré un très léger mieux en championnat, les Lyonnais ne parviennent pas à se montrer régulier. Si la première partie de championnat est encourageante (14 matchs sans défaite), la deuxième partie du championnat sera ratée…L’OL se maintient juste en se classent 14ème.

                                      En Coupe de France, l’élimination au premier tour à Pont St Esprit, club de 3ème division, est une nouvelle désillusion.

                                      L'effectif : Fugier, N'gotty, Fernandez Leal, Rousset, Genesio, Billong, Debrosse, Garde, Masson, Deplace, Gava, Maurice, Debbah, Delamontagne, Rivenet, Abou, Ferri, Flachez, Péan, Moulin, Colacicco, Bardon, Breton, Bes, Chavrondier, Anselmini.

                                      Buteurs : Garde (9) - Gava (8 ).
                                      Championnat : 14ème sur 20.
                                      Coupe de France : Éliminé en 1/32 de finale par Pont Saint Esprit (1-0).
                                      Envoyé par Phanou Herko
                                      http://forum.olweb.fr/showpost.php?p...7&postcount=60
                                      La saison suivante, l'OL veut reprendre une dynamique positive et fournit un gros effort de recrutement! Les Cabanas, les Bourdeballa et les Ben Mabrouk s'en vont! Arrivent les Gava, Delamontagne et Debbah. Les joueurs changent mais les carences persistent. Les résultats ne décollent pas, et l'OL termine la saison à une décevante 14ème place. Au terme de cette période difficile, durant laquelle les relations Domenech-Lacombe se sont considérablement détériorées, Jean-Michel Aulas souhaite tourner la page et donner un nouveau souffle à l'OL. Domenech quitte un club qui attend Tigana comme le messie.


                                      Sources : http://dboireau.club.fr/index.htm
                                      Dernière modification par MuM_, 22/03/2007, 20h27.

                                      Commentaire


                                      • #20
                                        SAISON 1959 - 1960

                                        Debout : Ninel, Grobarcik, Mignot, Hugues, Bossy, Sbroglia
                                        Accroupis : Daniel, Antonio, Djorkaeff, Dalla Cieca, Salen

                                        Envoyé par OLWEB

                                        1959-1960 : Changement complet d'effectif

                                        Le club enregistre en ce début de saison les départs du Président, de l'entraîneur et de 4 des principaux joueurs : les défenseurs internationaux Mouynet et Lerond, les attaquants Cossou et Constantino. Eugène Njo Léa et Jules Sbroglia sont les deux principales recrues, auxquelles viennent s'ajouter la "révélation naissante", Jean Djorkaeff, et Nestor Combin, venu d'Argentine. Cet inconnu, qui a quitté l'Amérique du Sud pour Lyon presque par hasard, va faire le bonheur de l'OL. Mais commence en cette année 59 une période de 3 années difficiles pour l'Olympique Lyonnais.

                                        L'effectif : Antonio, Beetschen, Combin, Dalla Cieca, Daniel, Devlaminck, Dutto, Djorkaeff, Salen, Hugues, Ninel, Mignot, Marteleur, Le Borgne, Njo Léa, Sbroglia, Grobarcik, Gardon.

                                        Meilleurs buteurs : Njo Léa (9) - Salen (8 ).
                                        Championnat : 16ème sur 20, avec 31 points en 38 matchs.
                                        Coupe de France : Eliminé en 1/16 de finale par Monaco
                                        Envoyé par Phanou Herko
                                        http://forum.olweb.fr/showpost.php?p=718409&postcount=13

                                        En 1959, le président Grosvelin passe la main à un autre fondateur de l’OL, Ferdinand Maillet. Grosvelin a passé 10 ans à la tête du club qu'il a contribué à fonder. Son bilan est largement positif. Le club est bien installé en division 1 et se forge même une réputation grâce à quelques bons coups en coupe, parlez-en aux Niçois et aux Rémois. Cependant les dernières années de son mandat coïncident avec une certaine stagnation des résultats et avec quelques difficultés financières, le club peine à grandir. Mais les dirigeants, tout en respectant le bon esprit lyonnais, assurent le changement dans la continuité, c'est donc Maillet, le bras droit de Grosvelin, qui prend le relais. Ces modifications à la tête du club s'accompagnent d'une refonte de l'effectif et du staff technique. Lucien Troupel laisse sa place à Gaby Robert. Des joueurs qui étaient les symboles de l’Olympique Lyonnais des années 50 quittent le club. Le charismatique André Lerond est cédé au Stade Français, Mouynet s’en va du côté de Toulouse et Lucien Cossou s’installe en Principauté, c'est bien la fin d'une époque.

                                        Parallèlement, de nouveaux joueurs font de plus en plus parler d'eux. Autour des anciens Ninel et Mignot, les jeunes Djorkaeff et Leborgne se font progressivement une place. En janvier 1960, l'OL recrute un jeune argentin dont le nom résonne déjà comme le tonnerre: Nestor Combin. Un autre de ses compatriotes débarque entre Rhône et Saône : Un classieux, un ange : Angel Rambert. Enfin un gone du coin, tellement du coin qu'il pouvait voir le stade Gerland de sa fenêtre, commence à pointer le bout de son nez... le nez d’un prince paraît-il. Ce petit gerlandais de Fleury Di Nallo!

                                        Sous la conduite successive de Gaby Robert (1959-1961) et Manu Fernandez (1961-1963), ce mélange de jeunes prodiges et d'anciens chevronnés a tout pour réussir. Malheureusement les résultats ne suivent pas. Le club fréquente les profondeurs du classement durant trois saisons de suite (de 1959 à 1962: 16ème, 15ème et 16ème

                                        Dernière modification par MuM_, 25/03/2007, 13h55.

                                        Commentaire


                                        • #21
                                          Saison 1950 1951

                                          http://perso.numericable.fr/~pperruss/ol/



                                          (source : L'OL d'hier et d'aujourd'hui de Serge Bonner Edition BELLIER)
                                          Dernière modification par WebAnimOL (Nemo), 12/02/2011, 16h45.
                                          Merci l'OL

                                          Commentaire

                                          Chargement...
                                          X