Envoyé par jerome87
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Juninho
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Envoyé par Gilles6975 Voir le message
Très belle une, je crois qu'elle est collector et que je vais acheter L'EQUIPE rien que pour ça...
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Envoyé par Gilles6975 Voir le messageMoi je vais attendre de la lire avant de l'acheter .. j'ai peur que ce soit un numéro spécial pont de l'Ascension avec quedal a lire dedans si ce n'est un article sur Juni :dead:
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Vous le voulez l'article , le voila :
Gerland va fêter son idole Après huit saisons et sept titres de champion, Juninho pourrait faire ses adieux à l’OL, samedi. L’ovation s’annonce immense.
À trente-quatre ans,
Juninho entoure l’heure
de sa sortie d’un ultime
mystère. Lyon-Caen,
samedi, à Gerland,
sera-t-il son dernier
match sous le maillot
de l’OL ? Suspendu
à Toulouse lors de la
dernière journée, il ne
portera plus les couleurs
lyonnaises cette saison.
Et plus jamais, peut-être.
À tout hasard, le public
lyonnais lui rendra
un énorme hommage.
TOUSCEUXQUELEURSPASramènent
régulièrement à Gerland sentent,
depuis quelques semaines, que
le moment approche. C’est une scène
que les amoureux de l’OL se passent
en boucle, sans savoir s’ils doivent
l’attendre ou la craindre : au soir de
son dernier match avec l’Olympique
Lyonnais, lorsque Augusto Antonio
Ribeiro Reis, dit Juninho, sera remplacé
à quelques minutes de la fin, juste
pour que le match s’arrête et que
l’hommage commence, 40 000 personnes
se lèveront, agitant des drapeaux
qui seront des mouchoirs,
vibrant d’une standing ovation qui
fera vaciller, là-haut sur la colline, la
flamme des cierges de la cathédrale
de Fourvière. Ce moment-là est pour
samedi, peut-être.
Tout a une fin, mais les belles histoires,
dans le football moderne, sont
rarement aussi longues. Lorsque
Juninho est arrivé à Lyon, en juillet
2001, l’OL n’avait jamais été champion
de France. Huit ans et sept titres
plus tard, Lyon est devenu une puissance
européenne et l’on parlera
encore, dans vingt ans, dans trente
ans, des années Juninho. Ilne sera pas
qu’un symbole : il est, à ce jour, le
meilleur joueur de l’histoire du club.
Depuis deux ans, environ, sans que
l’on puisse dater exactement cet élan
nourri de l’admiration et de l’amour
accumulés, chaque sortie en cours de
jeu de Juninho, àGerland, suscite une
ovation particulière qui est l’hommage
d’une ville et traduit la
conscience du temps qui passe. C’est
un message avant qu’il ne soit trop
tard, avant qu’il ne soit parti. Une
répétition avant les véritables adieux,
samedi soir ?
Juninho a toujours
eu envie qu’on l’aime
un peu plus…
Dire que personne ne sait si Lyon-
Caen, samedi soir, Ligue des champions
en jeu, sera ou non le dernier
match lyonnais de la carrière de
Juninho est avant tout une manière
de rappeler que le Brésilien n’a pas
fait publiquement connaître sa décision,
à un an de la fin d’un contrat que
son club le laisse libre d’honorer. Souvent
pressé de questions sur le sujet, il
ne s’est jamais trahi : en dix jours, à
dix micros, il est capable de répéter
exactement la même phrase, avec la
mêmeintonation de sincérité,comme
une pensée qui viendrait de surgir.
S’est-il trahi en écopant d’un carton
jaune à Marseille, après son 99e but,
qui le prive du dernier match de la saison
à Toulouse et ferait de Gerland sa
dernière scène ? C’est une extrapolation
que l’attitude passée de Juninho
suscite. Il a si souvent mené le jeu
qu’on ne l’imagine pas subir sa sortie.
On le voit au Qatar la saison prochaine,
peut-être à Vasco de Gama
pour finir, ensuite, avant de renouer le
lien avec l’Olympique Lyonnais, dans
un autre rôle. À trente-quatre ans,
Juninho a le droit d’avoir des envies
d’ailleurs et de ne pas sentir suffisamment
de signes d’amour de la part de
son club et de son entraîneur. Et les
critiques ne glissent pas sur lui
comme l’eau sur les plumes d’un
cygne. Elles l’imprègnent et ressortent
plus tard, beaucoup plus tard :
« Je suis moins décisif, mais j’ai fait
une meilleure saison que l’an passé,
lançait-il, il y a deux semaines. Les critiques
sont exagérées.Ona beaucoup
fait gagner l’équipe, mais les gens
parlent de vieillissement et cela
tombe sur Cris et moi. » Tout cela fait
penser qu’il est plus près d’un dernier
tour d’honneur que d’un autre tour de
piste. Juninho a toujours eu envie
qu’on l’aime un peu plus. Samedi soir,
il ne devrait pas être déçu.
VINCENT DULUCJuni is back
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La suite :
Ils en parlent si bien…
De Di Nallo à Houllier, en passant par Chiesa ou Lacombe,
le capitaine de l’OL suscite les louanges.
LYON –
de notre envoyé spécial permanent
ÀL’HEUREOÙLALIGUE 1sedemandesi Juninho sera
encore lyonnais la saison prochaine, le capitaine de l’OL
fait l’unanimité. Juninho est un drôle de joueur, qui n’a
pas toujours su perdre, mais qui a si souvent gagné, dont
Bernard Lacombe a dit un jour, une fois pour toutes :
« Dans sa démarche, c’est le joueur le plus professionnel
que j’ai vu depuis vingt ans et il restera le joueur qui a
marqué l’histoire du club. En plus, c’est le meilleur rapport
qualité-prix qu’on puisse trouver. En 2001, il faut se
souvenir qu’il était libre ! Il y a eu un avant-Juninho. Il y
aura un après-Juninho. »
Parti au Real Madrid depuis trois ans, Mahamadou
Diarra poursuit l’hommage : « C’est le joueur le plus
important de Lyon », tranche le Malien, quandMarcelo,
qui fut à l’origine de l’arrivée de son compatriote,
en 2001, évoque l’homme autant que le joueur : « C’est
un super joueur et un très bon caractère. On peut vraiment
avoir confiance en lui. Et bien sûr, il y a ses coups
francs. Je peux vous en parler : c’est comme cela qu’il
nous avait éliminés en demi-finales du Championnat
brésilien quand je jouais aux Corinthians ! »
Les coups francs, encore, toujours. Gérard Houllier, qui a
entraîné « Juni » durant deux saisons (2005-2007) :
« C’est un grand compétiteur et le meilleur tireur de
coups francs que j’aie jamais vu, car il est capable de
varier ses frappes sans perdre de son efficacité. Mais
“Juni”, c’est aussi la classe, sur le terrain et en dehors,
un garçon respectueux, agréable à vivre. Unemine d’or.
C’est une star, une vraie star, capable de vous faire
gagner un match. Il faut se rendre compte : depuis son
arrivée, il a été directement impliqué dans 40 % des
buts de Lyon ! Sur la durée, c’est impressionnant. Mais
une star, ça peut être fragile et c’est pour cela qu’il faut
la protéger. C’est d’autant plus vrai avec lui : j’avais vite
été frappé par ce sentiment qui anime toutes les vraies
stars, dans le sport et ailleurs, leur faisant toujours
craindre de ne pas y arriver, de ne pas être à la hauteur.
Du moins jusqu’à l’entrée en scène. Juni, c’est le
contraire de l’arrogance et de la suffisance. Il marche
beaucoup à l’affectif. Il faut savoir le prendre, car il a
besoin de sentir qu’on lui fait confiance. Si c’est le cas, il
vous le rend au centuple. »
De plus loin, Guy Roux parle d’« un vrai phénomène,
capable de marquer à tout moment grâce à une magnifique
frappe de balle », Daniel Moreira, le Grenoblois,
évoque « un magicien » qui fait croire que « les coups
francs sont des penalties ». Serge Chiesa, une autre
grande figure de l’OL, est, comme les autres, admiratif
du joueur : « Il joue milieu de terrain et réussit à faire la
décision par ses coups francs et ses frappes. Du coup, il
ose des trucs impensables, comme ce coup franc qu’il a
mis à Gerland face au Barça (1-1, le 24 février, en huitièmes
de finale aller de la C 1), dans un angle impossible.
Ce gars-là, il est au bout du monde et il frappe
quand même ! J’aurais vraiment aimé jouer avec lui. Je
ne vois pas comment on peut ne pas s’entendre sur le
terrain avec un gars comme lui ! »
Alain Caveglia, ancien capitaine de l’OL, ancien brillant
frappeur de coups de pied arrêtés, n’aurait pas osé lui
contester sa supériorité dans sa spécialité : « Moi aussi,
je me serais bien vu évoluer à ses côtés. Mais je vous
rassure : je lui aurais laissé tirer les coups francs ! »
Fleury Di Nallo, autre légende lyonnaise, ne s’arrête
toutefois pas à cela : « Il a un style de jeu particulier.
Disons que c’est un 8 à l’ancienne, avec lequel j’aurais
bien aimé jouer, moi aussi, car il sait aussi mettre le pied
quand il faut, tout en étant capable de débrider
n’importe quel match quand ça pinaille ! Mais je
constate surtout qu’il a non seulement de l’influence sur
le terrain, mais aussi dans le vestiaire. Ça ajoute encore
à son aura. »
CLAUDE CHEVALLYJuni is back
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Envoyé par Gilles6975 Voir le message
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Hélas, je ne pourrai être à Gerland pour le dernier match.
Moi qui ai vu ses premiers pas à Gerland, je ne serai là pour voir le stade trembler lorsque le speaker annoncera son changement à la 89 ème minute après avoir marqué son 100ème but sous le blason des Canuts.
Donnez une ovation à la hauteur du meilleur joueur que l'OL n'ai jamais connu!Le Lion rugira...
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ca commence a sentir la fin pour juni oh la la jcrois qu'on va en avoir gros sur le coeur samedi si il part vraiment mais bon si il devait rester il l'aurait dit depuis longtemps ( gerets , leguen a lyon ) bon sang juni jarrive pas a croire que tu partes , enfin bon c'est pas plus mal jen pouvais plus de me retenir de respirer le temps que tu frappes les coup francs mdr !!!!!
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Envoyé par guignol Voir le messagejuni je t'aime ,juni je t'adore a tout jamais tu resteras dans mon coeur
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Envoyé par akwababak Voir le messageDans celui de tous les Lyonnais, je pense...
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Envoyé par HDD Voir le messageC'est une chanson. "Mustafa" des allumettes. :grn:
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Envoyé par poq Voir le messageMon dieu, que tu vas nous manquer.:-(:-(:-(:-(:-(
poq, ca me fait toujours penser a une formule mathematique...
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Une standing ovation demain à Gerland pour lui demander de rester un an de plus à la maison. J'ai du mal à nous imaginer sans lui la saison prochaine. Faites vibrer tout Lyon pour les gones qui sont trop loin de Gerland !
Merci au forumeur pour l'avatar, trouvé sur google images. ;)Dernière modification par Roger Hanin, 22/05/2009, 02h59.In Juninho we trust
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Envoyé par Roger Hanin Voir le messageUne standing ovation demain à Gerland pour lui demander de rester un an de plus à la maison. J'ai du mal à nous imaginer sans lui la saison prochaine. Faites vibrer tout Lyon pour les gones qui sont trop loin de Gerland !
Merci au forumeur pour l'avatar, trouvé sur google images. ;)
Il va partir aux Emirats pour toucher de gros sous en ne se fatiguant pas trop et puis il reviendra au club pour occuper un poste dans l'équipe dirigeante.
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