Yves CHAUVEAU
Né le 14 avril 1945
Lieu de naissance : Bourg-en-Bresse (Ain)
Poste occupé : gardien
Nombre de sélections en A : 1 (France Roumanie le 30/4/89)
Nombre de buts marqués : 0
Palmarès
• Champion de France (1978 ) avec l'AS Monaco
• Vainqueur de la Coupe de France (1973) avec l'Olympique Lyonnais
Club(s) successifs
• Olympique Lyonnais
• Grenoble
• AS Monaco (1966-1978 )
• Olympique Lyonnais 1964-1965 à 1974-1975 et (1978-1982)
• Villefranche (1982-1984)
Qu'est-il devenu :
Comme il lui était naturel de faire de son mieux pour empêcher le ballon “d’aller au fond” (des cages de but, ndlr), Yves Chauveau a toujours vécu sa reconversion comme une étape “normale“ après le foot. Et le gardien de l’Olympique Lyonnais des années 70 s’est très vite préoccupé de l’après-football. « A notre époque, les footballeurs professionnels n’avaient rien à voir avec ceux d’aujourd’hui. Nous étions bien moins assistés, bien moins payés et nous savions pertinemment que nous devrions trouver un emploi pour vivre, une fois les crampons raccrochés. J’ai arrêté le foot en 1982. J’avais toujours joué en première division et mon plus gros salaire, à l’époque, était de 15 000 francs. Inutile de penser que cela pourrait suffire à toute une vie », commente Yves Chauveau.
Alors que la plupart de ses coéquipiers se tournent vers le commerce, d’articles de sport notamment, lui opte pour l’assurance. « Quand je suis rentré de Monaco en 1982, après y avoir joué deux saisons, mon statut de “promotionnel” m’imposait une activité professionnelle en plus du foot. J’ai rencontré Martial Leblond, mon associé aujourd’hui, qui avait un cabinet d’assurance. Il a bien voulu m’apprendre ce métier : le matin j’étais au stade et l’après-midi, en clientèle avec Martial », se souvient Yves Chauveau qui « ne regrette rien ». « C’est très difficile de laisser le foot et son environnement, mais j’ai toujours dit que, lorsque je raccrocherais ce serait pour voir autre chose. Si je devais refaire mon parcours je ne changerais rien. » Et puisqu’il fait “vivre sa famille”, Yves Chauveau estime tout simplement aujourd’hui avoir “réussi sa reconversion”.
Alors que la plupart de ses coéquipiers se tournent vers le commerce, d’articles de sport notamment, lui opte pour l’assurance. « Quand je suis rentré de Monaco en 1982, après y avoir joué deux saisons, mon statut de “promotionnel” m’imposait une activité professionnelle en plus du foot. J’ai rencontré Martial Leblond, mon associé aujourd’hui, qui avait un cabinet d’assurance. Il a bien voulu m’apprendre ce métier : le matin j’étais au stade et l’après-midi, en clientèle avec Martial », se souvient Yves Chauveau qui « ne regrette rien ». « C’est très difficile de laisser le foot et son environnement, mais j’ai toujours dit que, lorsque je raccrocherais ce serait pour voir autre chose. Si je devais refaire mon parcours je ne changerais rien. » Et puisqu’il fait “vivre sa famille”, Yves Chauveau estime tout simplement aujourd’hui avoir “réussi sa reconversion”.
Coupet peut revendiquer le titre de "gardien volant", trente et un ans après Yves Chauveau, surnommé ainsi après une partie héroïque dans la cage de l’OL durant un 8e de finale retour de Coupe des Coupes à Tottenham, qualifiant les Lyonnais (1-0, 3-4).


Le Topic de CHAUVEAU
Envoyé par Phanou Herko

Beau garçon cet ancien coiffeur pour dames (...) originaire de Bourg-en-Bresse est devenu l'un des meilleurs gardiens français grâce à sa détente de chat, ses réflexes éclairs, ses inspirations er
et sa spécialité de "stoppeur de pénalties"
et sa spécialité de "stoppeur de pénalties"
Sources:
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