De retour à Bordeaux après des passages en Italie et en Allemagne, Johan Micoud s’est très vite intégré au groupe de Ricardo. Le meneur de jeu entend désormais aider les Girondins dans leur lutte face à l’Olympique Lyonnais.
Johan Micoud, comment se passent vos premières semaines bordelaises au niveau du jeu et du groupe ?
Très bien. J'essaye de voir un peu les qualités de chacun. Comment ils se déplacent et comment ils aiment recevoir le ballon. Ce sont des semaines d'analyse et on se cherche un peu. J'essaye de me fondre dans le moule, dans ce qui a été fait l'an dernier pour exploiter au mieux les possibilités. L'équipe, en finissant deuxième, a démontré qu'elle avait d'énormes qualités. C'est à moi de m'intégrer en apportant mon expérience.
Vous quittez la Bundesliga pour retrouver une L1 fermée. En tant que vrai numéro dix, ça va vous changer…
En France, on est moins tourné vers l'avant. Le jeu est beaucoup plus posé. En Allemagne, on entend beaucoup de choses assez négatives sur le championnat français. A Brême, c'était différent. On avait des problèmes défensifs parce que notre jeu était trop tourné vers l'avant et on manquait un peu de réalisme défensif. Ici, c'est la base de l'équipe : c'est plus solide. Je vais essayer d'amener ce que je connais, ce que je sais faire. Je préfère avoir des joueurs qui jouent au ballon, qui essayent de créer du jeu, qui font marquer des buts et qui donnent du spectacle. C'est la base du football, il faut qu'on se fasse plaisir. J'espère qu'on va s'orienter à l'avenir dans ce sens plutôt que vers un jeu stéréotypé et défensif comme on l'a un peu trop vu en Coupe du Monde. Il faut avoir la mentalité d'aller de l'avant.
Quelles sont vos ambitions avec Bordeaux ?
J'ai envie de réussir quelque chose de bien. L'an dernier, ils ont construit de belles choses. Il faut essayer de tout faire pour rester sur cette constance même si on sait que cela va être très dur. Confirmer, c'est ce qu'il y a de plus difficile mais on a les moyens et les qualités pour : ça serait dommage de passer à côté. Il faut qu'on en soit tous conscients et avoir l'idée d'embêter Lyon le plus possible. Quand je suis arrivé à Brême, c'est un peu ce qui se passait avec le Bayern. Lyon, aujourd'hui, a une grosse emprise sur le championnat. Ils ont une marche d'avance sur les autres mais c'est un beau challenge à relever. Ils ne sont pas intouchables ni imbattables. Bordeaux a montré qu'on pouvait les gêner. L'important est d'avoir cet état d'esprit tout le long.
Johan Micoud, comment se passent vos premières semaines bordelaises au niveau du jeu et du groupe ?
Très bien. J'essaye de voir un peu les qualités de chacun. Comment ils se déplacent et comment ils aiment recevoir le ballon. Ce sont des semaines d'analyse et on se cherche un peu. J'essaye de me fondre dans le moule, dans ce qui a été fait l'an dernier pour exploiter au mieux les possibilités. L'équipe, en finissant deuxième, a démontré qu'elle avait d'énormes qualités. C'est à moi de m'intégrer en apportant mon expérience.
Vous quittez la Bundesliga pour retrouver une L1 fermée. En tant que vrai numéro dix, ça va vous changer…
En France, on est moins tourné vers l'avant. Le jeu est beaucoup plus posé. En Allemagne, on entend beaucoup de choses assez négatives sur le championnat français. A Brême, c'était différent. On avait des problèmes défensifs parce que notre jeu était trop tourné vers l'avant et on manquait un peu de réalisme défensif. Ici, c'est la base de l'équipe : c'est plus solide. Je vais essayer d'amener ce que je connais, ce que je sais faire. Je préfère avoir des joueurs qui jouent au ballon, qui essayent de créer du jeu, qui font marquer des buts et qui donnent du spectacle. C'est la base du football, il faut qu'on se fasse plaisir. J'espère qu'on va s'orienter à l'avenir dans ce sens plutôt que vers un jeu stéréotypé et défensif comme on l'a un peu trop vu en Coupe du Monde. Il faut avoir la mentalité d'aller de l'avant.
Quelles sont vos ambitions avec Bordeaux ?
J'ai envie de réussir quelque chose de bien. L'an dernier, ils ont construit de belles choses. Il faut essayer de tout faire pour rester sur cette constance même si on sait que cela va être très dur. Confirmer, c'est ce qu'il y a de plus difficile mais on a les moyens et les qualités pour : ça serait dommage de passer à côté. Il faut qu'on en soit tous conscients et avoir l'idée d'embêter Lyon le plus possible. Quand je suis arrivé à Brême, c'est un peu ce qui se passait avec le Bayern. Lyon, aujourd'hui, a une grosse emprise sur le championnat. Ils ont une marche d'avance sur les autres mais c'est un beau challenge à relever. Ils ne sont pas intouchables ni imbattables. Bordeaux a montré qu'on pouvait les gêner. L'important est d'avoir cet état d'esprit tout le long.
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