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[OL] mercato estival 2020 : Topic de discussion
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Envoyé par tsar1 Voir le message
Il serait capable d'être chieur jusqu'à décider de rester à Lyon.
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Envoyé par embla Voir le message
bizarr, j'ai vu pas mal de match de lyon, quasiment tous je crois ou presque depuis son arrivée
ca correspond pas avec ce que j'ai vu pourtant
j'avais plus l'impression de le voir faire des bouts de match à chaq fois
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Envoyé par stadier Voir le message
Vous avez tous les 2 raison en fait, il etait souvent sur le terrain mais sa contribution etait celle d'un type faisant des bouts de match.
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Envoyé par 69FAJA Voir le message
Si il reste à Lyon....cela pourrait être difficile pour lui....Nono : "Qui parle de sportif?"
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Le final 8 a été à double tranchant.
Beaucoup de joueurs se sont vus très beaux et voulaient jouer (en sachant en plus que pas de C1 cette année), dont JRA, Dembélé...
Et finalement ils n'ont pas réellement été dans les plans (mais là encore, JRA revient des croisés), du coup mentalement ils ont snap.
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Envoyé par Nono Red Devils Voir le message
outch....pas loin du carton pour gros tacle
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JRA il préfère Rennes pour la Ligue des Champions donc il joue la montre et espère encore Rennes.
Or y'a 99% de chances qu'il n'aille pas à Rennes qui ne propose pas ce que veut l'OL (d'autant qu'on préfère le vendre hors L1 e qu'on ne lui fera aucun cadeau).
Donc même si ça lui plait pas, il préfèrera toujours aller au Hertha Berlin plutôt que rester chez nous où il est blacklisté.
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Envoyé par tsar1 Voir le message
Il serait capable d'être chieur jusqu'à décider de rester à Lyon.
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Envoyé par Hybrid Soldier Voir le message
Clair !
On dirait mes intérimaires "Maiiiiiis heuuuuuuuuuu la mission de l'autre elle est mieuuuuuuuuux pourquoi lui il est là bas et pas moiiiiiiiiiiiiiii."
Bah parce que lui il est pas absent ou en retard tous les 3 jours.
Et que dire, je te comprends pleinement.
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C'était une évidence, Reine Adelaide à un accord oral depuis le début avec Rennes , ce qui explique sa sortie lunaire dans la presse.
Rennes est le Club à la mode , il va jouer la C1 entouré de Camavinga et Nzonzi au milieu tout est réuni pour s'éclater à ses yeux sans oublier FloMaurice le nouveau boss du stade rennais qui a ete à l'origine de sa venue à Lyon.
Le Herta pourra remporter la mise uniquement au niveau du salaire. Il faudra faire un effort conséquent pour se démarquer.
Bon debarras, je crois qu'il restera comme la pire signature de l'histoire de l'OL.
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Envoyé par Nono Red Devils Voir le message
rudi arrive mi octobre, il se blesse mi décembre 2019
en ldc sans final 8 : 191 minutes jouées sur 360
en ligue 1 : 496 minutes sur 540
coupe de france et de la ligue: 0 car ça commencait après sa blessure
je pose ça là, juste pour info
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Envoyé par nikosty99 Voir le messageJRA il préfère Rennes pour la Ligue des Champions donc il joue la montre et espère encore Rennes.
Or y'a 99% de chances qu'il n'aille pas à Rennes qui ne propose pas ce que veut l'OL (d'autant qu'on préfère le vendre hors L1 e qu'on ne lui fera aucun cadeau).
Donc même si ça lui plait pas, il préfèrera toujours aller au Hertha Berlin plutôt que rester chez nous où il est blacklisté.
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Foot,
Série (1/3)
exclusivité abonnésSérie « La success story de la formation lyonnaise » (1/3) : un inépuisable vivier de talents
(Maxime Malécot/L'Équipe)Depuis des décennies, l'académie de l'OL fournit en continu son équipe première avec des joueurs de haut niveau, qui bénéficient également aux grosses écuries européennes et à différentes sélections.
Simon Bolle30 septembre 2020 à 16h05
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Le making-of de notre série
C'était il y a quelques jours. Le 18 septembre, Lyon recevait Nîmes dans son Groupama Stadium pour un nul sans but ni saveur. Un match qui ne restera pas dans les annales, certes, mais qui illustre le renouvellement permanent de la formation lyonnaise. Ce soir-là, un joueur représentait l'académie à chaque ligne du onze de départ : Anthony Lopes dans la cage, Melvin Bard en défense, Maxence Caqueret au milieu et Rayan Cherki en attaque. Et, encore, Houssem Aouar était suspendu...
« C'est un message puissant pour notre continuité, admet Jean-François Vulliez, directeur du centre de formation de l'OL depuis 2017 et présent au club depuis 2011. Le travail de fond mené au quotidien est récompensé. Quand on a des jeunes qui, je l'espère, vont s'installer en équipe première, cela montre que nous continuons à relever le défi de sortir des joueurs de haut niveau sur la durée, quelle que soit la stratégie des pros. C'est aussi un signal fort pour tous les pensionnaires actuels. »
Cercles vertueux et cycles
Ce sentiment s'apparente toutefois plus à une habitude qu'à une surprise, tant le centre rhodanien s'est démarqué depuis longtemps dans ce domaine. Bard, Caqueret et Cherki, donc, incarnent les prototypes dernier cri, mais « l'usine OL » a réellement accéléré sa production dès le tournant des années 2000. « Tout était déjà très en place quand j'y jouais (1998-2000), témoigne Hubert Fournier. (Sidney) Govou arrivait et plein de jeunes, comme (Frédéric) Kanouté, émergeaient. Ils étaient prêts à éclore dans le monde professionnel. Et c'était encore plus le cas quand je suis revenu en tant qu'entraîneur (2014-2015). »
Aujourd'hui Directeur technique national (DTN), Fournier avait été nommé à la tête de l'Olympique Lyonnais dans un contexte particulier, il y a six ans. « Il y avait moins de moyens (seuls Christophe Jallet et Lindsay Rose avaient été recrutés) et donc une obligation de piocher dans notre vivier. D'une difficulté, on en a finalement fait une opportunité pour lancer une nouvelle génération. L'équipe était très jeune. Parfois, j'avais 80 % de ma composition qui était formée au club. »
Citons Anthony Lopes, Samuel Umtiti, Maxime Gonalons, Jordan Ferri, Clément Grenier, Corentin Tolisso, Nabil Fekir, Alexandre Lacazette... « La meilleure reconnaissance qu'on peut avoir, c'est quand des entraîneurs viennent piocher à l'OL en fermant les yeux, parce qu'ils savent que les joueurs qui sortent ont un bagage technique élevé et une réelle éthique de travail », expliquait Armand Garrido, ancien formateur historique à Lyon, dans France Football, cet été.
(Maxime Malécot/L'Équipe)
À observer de plus près l'intégration de « baby Gones » dans l'effectif de l'équipe première depuis vingt ans, on se rend vite compte que l'apport est incessant mais parfois très variable d'une année à l'autre. Une histoire de cycles, et d'hommes en place. « Tout dépend des coaches, de la stratégie économique... Beaucoup de facteurs entrent en jeu. Mais, au-delà de la situation de la A, notre première mission est de préparer des jeunes continuellement, précise Vulliez. Même quand le club était champion de France dans les années 2000, l'académie ne s'est pas relâchée, et, quand il y a plus de difficultés chez les pros, des jeunes étaient prêts pour prendre le relais. Mais la formation ne s'arrête pas à la sortie du centre. Derrière, le staff pro a aussi sa part de travail, en les intégrant progressivement. »
« On entretient un savoir-faire qui existe depuis quarante ans et qui se transmet à la manière des artisans »
Jean-François Vulliez, directeur du centre de formation de l'OL
Au commencement des années 2000, synonyme de début de règne pour l'OL, le contingent de locaux était déjà très important (d'abord Florent Laville, Jérémie Bréchet, David Linarès, Steed Malbranque, Florent Balmont, Govou... puis Bryan Bergougnoux, Jérémy Berthod, François Clerc - pour les plus connus). Même s'il s'agissait surtout de joueurs de complément, Jacques Santini (2000-2002) et Paul Le Guen (2002-2005) n'ont pas hésité à puiser dans ces ressources internes. Un constat un peu moins vrai sous Gérard Houiller (2005-2007) et Alain Perrin (2007-2008).
(Maxime Malécot/L'Équipe)
Ensuite, Claude Puel (2008-2011), qui le reproduit actuellement chez le voisin stéphanois, et Rémi Garde (2011-2014) ont renoué avec cette tradition. Avant que Bruno Genesio (2015-2019), pourtant un historique de la maison, n'enraye un peu la dynamique, récemment relancée sous Rudi Garcia. Bref, vous l'aurez compris : à Lyon, les jeunes de l'académie, de Tola-Vologe hier à Meyzieu aujourd'hui, constituent un réservoir abondant et leur utilisation demeure au centre de l'attention. Un aspect qui entre d'ailleurs dans la réflexion lors de la nomination des entraîneurs.
« La formation fait partie de l'ADN du club, c'est un outil inscrit dans le temps, apprécie Fournier. Cela n'a pas été qu'une petite génération spontanée. Il y a un vrai processus ». « On entretient un savoir-faire qui existe depuis quarante ans et qui se transmet à la manière des artisans », renchérit Vulliez.
Une identité géographique et technique
Pour un technicien, pouvoir compter sur une telle offre de formation, en quantité et en qualité, est forcément bénéfique. Fournier reprend : « Ça apporte beaucoup de fraîcheur et d'enthousiasme, et, sur le terrain, il y a un code déjà gravé en eux, des automatismes dans les déplacements... Car ce sont des jeunes qui se connaissent et se côtoient depuis l'adolescence. »
« Comme certains avaient changé de statut à mon époque, on a dû traverser des périodes de turbulences. Ça faisait partie de leur apprentissage »
Hubert Fournier, ancien entraîneur de l'OL (2014-2015)
Ce qui peut aussi être source d'inconvénients. « Il faut veiller à éviter qu'il y ait un repli sur soi, un refus de s'ouvrir aux nouveaux. Il faut également savoir supporter la pression et assumer de nouvelles responsabilités. Comme certains avaient changé de statut à mon époque, on a dû traverser des périodes de turbulences. Ça faisait partie de leur apprentissage. Mais ce n'était pas simple à gérer car cela ne concernait pas un ou deux joueurs, mais plutôt sept ou huit. »
La particularité de l'OL réside aussi dans le fait qu'il forme des joueurs avant tout pour les conserver et leur offrir du temps de jeu en A, le rêve de tout Gone à son entrée à l'académie, quand d'autres clubs préfèrent les vendre plus tôt. « À Lyon, il y a une forme d'appartenance ancrée en eux. Ils seront tous heureux de revenir au club, car ils sont conscients qu'ils lui doivent beaucoup, raconte le DTN. C'est aussi le cas pour le territoire, la plupart des jeunes venant du bassin lyonnais. Ils ne sont pas déracinés de leur cocon familial. »
Une identité géographique, mais pas que. « Sportivement, le fil conducteur de génération en génération, c'est cette volonté d'asseoir le profil sur les qualités techniques, l'intelligence de jeu et la force collective. Cette culture et ces principes perdurent. Les éducateurs insistent dès le plus jeune âge et focalisent le recrutement sur ces aspects, ce pour quoi ils sortent surtout des joueurs à vocation offensive et très créatifs. » Alors que le PSG s'est en majorité signalé sur des défenseurs récemment (Sakho, Sabaly, Kimpembe, Ballo-Touré, Kouassi, Zagre, Dagba...).
« À l'image d'une grande école, on forme à un métier, alors c'est aussi normal que tous ne s'expriment pas ici »
Jean-François Vulliez, directeur du centre de formation de l'OL
Les joueurs « made in OL » ne profitent pas seulement à leur club formateur. Au 1er octobre 2019, ils étaient 30 à évoluer un peu partout parmi les cinq grands Championnats européens, le troisième meilleur total, derrière le Real (39) et le Barça (34)*. Et ils tiennent bien souvent des rôles majeurs dans des grosses écuries, entre Benzema au Real, Lacazette à Arsenal, Anthony Martial à United, Tolisso au Bayern, Fekir au Betis... Une preuve supplémentaire que l'oeuvre lyonnaise s'exporte au-delà des frontières.
« J'aime comparer notre centre à une grande école, comme HEC, Centrale ou Polytechnique, image Vuillez. L'idée est de maintenir un niveau d'excellence, d'exigence et d'innovation pour que les joueurs excellent dans tous les Championnats européens. On forme à un métier, alors c'est aussi normal que tous ne s'expriment pas ici. » L'académie rhodanienne alimente également de nombreuses sélections, à commencer par l'équipe de France. Umtiti, Tolisso et Fekir ont notamment eu une part notable dans la conquête mondiale des Bleus en Russie en 2018. Lopes a, lui, été champion d'Europe avec le Portugal en 2016, tandis que Clinton Njie et Mehdi Zeffane ont respectivement remporté la Coupe d'Afrique des nations avec le Cameroun en 2017 et l'Algérie en 2019.
(M. Malécot/L'Equipe)
Toutes ces belles histoires ne doivent pas, pour autant, dissimuler d'autres réalités : des dizaines de jeunes repartent bredouille du centre chaque année. Entre 50 et 60 joueurs composent chaque génération, des moins de 8 aux moins de 20 ans, et seuls 10 % d'entre eux signent un contrat pro. Qui n'est pas non plus une garantie de temps de jeu avec l'OL. Le rendement est tel que le club n'a pas toujours la possibilité de conserver chaque promesse. De nombreux joueurs formés à Lyon ont su rebondir ailleurs et être encore aujourd'hui des acteurs importants en France.
De Julien Faussurier (Brest) à Samuel Moutoussamy (Nantes), en passant par Yoann Court (Caen, L2), Xavier Chavalerin (Reims) ou Anthony Briançon (Nîmes). Finalement, la formation lyonnaise profite également aux autres clubs français. « Lyon a davantage un effet de locomotive qu'un poids écrasant », souligne Fournier, avec sa casquette de DTN. La concurrence s'est accrue, mais la science et l'expérience de l'OL lui maintiennent une longueur d'avance. Notamment quand il s'agit de valoriser et vendre ses jeunes du cru...
(Maxime Malécot/L'Equipe)
*Les clubs ayant formé le plus de joueurs dans le Big 5 (au 1er octobre 2019) :
1. Real Madrid : 39 (+3 par rapport à 2018) ;
2. FC Barcelone : 34 (idem) ;
3. Olympique Lyonnais : 30 (-5) ;
4. Manchester United : 28 (+4) ;
5. Valence CF : 24 (+6) ;
6. Chelsea : 23 (+11) ;
7. PSG : 23 (-1) ;
8. Athletic Bilbao : 23 (-3) ;
9. Monaco : 22 (+1) ;
10. Real Sociedad : 22 (-1).
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Envoyé par Nono Red Devils Voir le message
rudi arrive mi octobre, il se blesse mi décembre 2019
en ldc sans final 8 : 191 minutes jouées sur 360
en ligue 1 : 496 minutes sur 540
coupe de france et de la ligue: 0 car ça commencait après sa blessure
je pose ça là, juste pour info
jeff arrivé à lyon le 14 aout 2019
il a joué 90 mn à la 15è et 16è journée
à partir de la 19è journée il est blesséSeptembre 2019 (+) 79 85 72 15 61 13/09/2019 Ligue 1, 5e j. Amiens 2-2 Lyon Nul Titulaire 79' 17/09/2019 1er tour, grp G, 1e j. Lyon 1-1 Zenit St Petersbourg Nul Titulaire 85' 22/09/2019 Ligue 1, 6e j. Lyon 0-1 Paris SG Déf. Titulaire 72' 25/09/2019 Ligue 1, 7e j. Brest 2-2 Lyon Nul Remplaçant 15' 28/09/2019 Ligue 1, 8e j. Lyon 0-1 Nantes Déf. Titulaire 61' Octobre 2019 (+) 0 0 28 2 82 02/10/2019 1er tour, grp G, 2e j. RB Leipzig 0-2 Lyon Vict. Remplaçant 0' 06/10/2019 Ligue 1, 9e j. St Etienne 1-0 Lyon Déf. Remplaçant 0' 19/10/2019 Ligue 1, 10e j. Lyon 0-0 Dijon Nul Remplaçant 28' 23/10/2019 1er tour, grp G, 3e j. Benfica Lisbonne 2-1 Lyon Déf. Remplaçant 2' 26/10/2019 Ligue 1, 11e j. Lyon 2-0 Metz Vict. Titulaire 82' désolé si c'est un peu bordel10 19/10/2019 D (14.) Dijon (19.) 0:0 28' 11 26/10/2019 D (17.) FC Metz (16.) 2:0 Mdr 82' 12 02/11/2019 E (13.) Toulouse (17.) 2:3 Mdr 2 75' 13 10/11/2019 E (11.) Marseille (4.) 2:1 MO 45' 14 23/11/2019 D (14.) OGC Nice (13.) 2:1 MO 1 33' 37' 15 30/11/2019 E (10.) R. Strasbourg (12.) 1:2 MO 1 90' 16 03/12/2019 D (8.) LOSC Lille (9.) 0:1 MO 90' 17 06/12/2019 E (10.) Nîmes Olympique (19.) 0:4 14' 18 15/12/2019 D (7.) Rennes (3.) 0:1 Mdr 35'
total joué en minutes 1065 / 1980
je pensai qu'il avait joué moins, en regardant les matchs
parcontre on est loin de ce qu'a écrit nono avec ces 496/540
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Envoyé par nikosty99 Voir le messageJRA il préfère Rennes pour la Ligue des Champions donc il joue la montre et espère encore Rennes.
Or y'a 99% de chances qu'il n'aille pas à Rennes qui ne propose pas ce que veut l'OL (d'autant qu'on préfère le vendre hors L1 e qu'on ne lui fera aucun cadeau).
Donc même si ça lui plait pas, il préfèrera toujours aller au Hertha Berlin plutôt que rester chez nous où il est blacklisté.
- devoir au final aussi se battre pour etre titu en ldc
- que 6 matchs
- rennes est chapeau 4, se qualifier en EL serait déjà un exploit. marquer 3 points serait déjà un exploit
m'enfin...si il veut se griller, passer pour une sal.ope dans le monde du foot, libre à lui
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Envoyé par embla Voir le messageparcontre on est loin de ce qu'a écrit nono avec ces 496/540
Garcia n'a pas fait joué JRA, c'est un gros méchant....
Garcia est arrivé le 14 octobre
JRA s'est blessé le 15 décembre
voilà voila
Garcia l'a fait joué les trois quarts du temps en ligue 1, et la moitié en ldc.
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Envoyé par Nono Red Devils Voir le message
le débat c'est :
Garcia n'a pas fait joué JRA, c'est un gros méchant....
Garcia est arrivé le 14 octobre
JRA s'est blessé le 15 décembre
voilà voila
Garcia l'a fait joué les trois quarts du temps en ligue 1, et la moitié en ldc.
il faisait à chaque fois des rentrées intéressantes
s'il avait été nul j'aurais rien dit, mais c'était pas le cas
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Je pense que JRA en effet se plaint de n'avoir jamais été utilisé en relayeur (et ça je peux le comprendre, car on s'est tous posé la question de pourquoi on le teste pas au moins une fois, même si le fait qu'on a toujours été en urgence de résultat n'a pas aidé), et ce qui l'a marqué c'est quand Garcia le fait sortir plusieurs fois de suite tôt dans le match (mi temps contre Marseille, une autre fois en première mi temps après un carton rouge...).
Après, ce qui énerve les supporters, c'est pas qu'il ait raison ou non, car qu'il se plaigne de son utilisation tout le monde peut le comprendre, mais c'est le timing et son melon le problème. Le timing car après une rupture des ligaments, c'est pas étonnant qu'il ne soit pas titulaire dans des matchs de haute intensité en LDC, déjà qu'on faisait jouer Memphis, on allait pas mettre 2 éclopés sur la pelouse au même moment. Et son melon, car le mec est certain d'être meilleur que les autres et de mériter une place au milieu, alors qu'il n'a aucun match référence avec nous, et qu'il a régulièrement traversé des matchs comme un fantome.
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Envoyé par embla Voir le message
on ne parle de cornet !! on parle d'un joueur qui avait du football
il faisait à chaque fois des rentrées intéressantes
s'il avait été nul j'aurais rien dit, mais c'était pas le cas
à quel moment j'ai dit qu'il était nul ?
faut bien lire hein :
garcia l'a fait joué, et pas qu'un peu
à quel moment on parle de son niveau là ?
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Envoyé par embla Voir le message
on ne parle de cornet !! on parle d'un joueur qui avait du football
il faisait à chaque fois des rentrées intéressantes
s'il avait été nul j'aurais rien dit, mais c'était pas le cas
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Envoyé par Nono Red Devils Voir le message
hum....
à quel moment j'ai dit qu'il était nul ?
faut bien lire hein :
garcia l'a fait joué, et pas qu'un peu
à quel moment on parle de son niveau là ?
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Pour l'heure.
Exfiltration des insuffisants au caractère parfois suffisant.
Arrivée de paris pas dégueulasse.
Pour la fin, je rejoins ce qu'a pointé Yanloup, je ne vois pas assez le mec qui tient la baraque pour soulager une perle mentale comme Caqueret.
La réhabilitation possible de Marcela en Grand Frère sud-am me semble peu à se mettre sous la dent.
Un violeau qui fait faute à 40 m du but avec un tel métier que t'as même pas idée de lui mettre un jaune alors qu'il vient d'empêcher une passe laser dans le dos des centraux en plaquant littéralement le mec comme un rugbyman....
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je dis pas que j'ai raison
je dis que j'ai vu bcp de matchs de lyon, presque tous en championnat je crois, et que moi je le trouvais bon
et je le trouvais pas assez utilisé
c'est que mon jugement, c'est tout
mais je réagissais juste aux chiffres que tu as donné en grosses lettres majuscules que j'ai pas retrouvés sur le lien que tu as donné !!
c'est tout !!Dernière modification par WebAnimOL (Tyrion), 30/09/2020, 17h43.
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