"Rémi Garde entraîneur de l’OL ? Aujourd’hui ? Demain ? Après-demain ?"
J’aurais du m’arrêter là, mais je n’ai pas pu m’empêcher…
Garde espoir ! On finira bien par perdre…
« Garde espoir ! » « Garde espoir ! »… Qu’est-ce que tu nous chantes là ? Comme si nous jouions le maintien, comme si le club que nous supportons était en péril tel celui de la capitale ou l’autre historique du bord de Loire ! Non, nous devons subir bien pire : La terrible crise du sixième titre ! Terrible… Elle frappe le club qui a osé conquérir 6 fois de rang les lauriers du champion ! Et bien sûr, les « supporters » sont en colère ! Notez ici toute l’importance de la ponctuation ! Jamais je n’ai autant apprécié griffer les mots de ces chers guillemets. Que se passe-t-il ? Etrange paradoxe ! L’inertie règne ici quand l’OL vit son apogée… Nous devrions nous réjouir, vous vous affolez. Les joueurs sont démotivés ? Vous me parlez sûrement de Bursac et de Bouderbala ! L’entraîneur est contesté ! S’agit-il de Nouzaret ou de Papas ? Pardonnez mes atermoiements, à force de lire les vieux journaux…
L’esprit et le talent, l’impossible duo Cavéglia – Anderson ?
Trêve de plaisanteries nostalgiques, car moi aussi je suis en mal de l’OL ! Mes diatribes pompeuses contre le foot business, vous les connaissez ! Je ne le dirais jamais assez mais quel regret pour moi que l’OL ne soit pas parvenu à allier le folklore, le pittoresque et son esprit à son talent, à son ambition et à sa réussite. C’est le duo Cavéglia-Anderson qui restera impossible à jamais ! Il fallait que nous restions un club qui gagne nous sommes devenus une machine à gagner ! Dommage simplement d’avoir sacrifier l’esprit de famille sur l’autel du gain, mais l’individualisme, c’est l’air du temps… Alors, là où beaucoup pleurent sur les passements de jambes de Mancini, moi je regrette les poussées d’orgueil d’un Lyon-Bologne ! Quand certains maudissent le coup de tête d’Henrique, je compte les années qui nous séparent d’une finale de coupe, de la vraie ! Vous piaffer d’impatience, vous souhaitez avancer le temps pour vous asseoir à Décines, je remonte inlassablement l’horloge du virage Nord. Finalement personne n’est content ! D’un côté, l’OL grandit trop vite, de l’autre on aimerait bien qu’il prenne son temps. Sommes-nous définitivement opposés ? Peut-être pas…
Patience… On prend de la vitesse !
Même si je n’achèterai jamais la moindre action, je crois que le nostalgique que je suis finira par accepter d’aller râler à Décines les soirs de matchs… Alors il faudra que le supporter pressé apprenne la patience ! Vertu indéniablement liée à l’histoire de notre club… Il a fallu attendre 20 ans pour que le foot lyonnais se professionnalise et 50 années de plus pour le voir triompher au sommet du football français. Nous patienterons bien encore quelques décennies pour dominer l’Europe. En attendant, tâchons de ne pas trop faire chauffer la « Formule 1 », formule chère à JMA. Véhicule magnifique et impressionnant, certes, mais parfois bien éphémère si on oublie de passer les vitesses avec douceur et justement avec patience ! Finalement, donner le volant à quelqu’un qui a participé à la construction du bolide ne serait-il pas le meilleur moyen d’éviter la sortie de route ?
Remi ! Prends le volant !!
Remi Garde est le symbole de l’abnégation de 1989, mais il incarne également le talent indiscutable du footballeur. Wenger (on n’en pense ce qu’on veut, mais son avis vaut bien plus que le mien) avait déclaré en 1990 que notre Rémi était le meilleur joueur de sa génération. Des blessures à répétitions ont malheureusement eu raison d’une grande carrière internationale mais je reste persuadé qu’il n’avait rien à envier à un Guardiola, pour rester dans le même registre… Son sens tactique, l’aisance de sa communication, son expérience londonienne et surtout la maîtrise et la connaissance parfaite des arcanes et du fonctionnement de notre club en font le successeur désigné de l’actuel entraîneur et l’héritier évident des Louis Hon, Lucien Jasseron, Aimé Mignot et Raymond Domenech. Puis cela me ferait tellement plaisir ? Alors quand ? Là n’est pas la question. Je vous l’ai dit, patience… Mais à toi, supporter inquiet du café : « Garde espoir, Rémi arrive ! »
Qu’est-ce qu’il faut pas faire pour caser deux trois jeux de mots merdiques…:mdr: Mais n’oubliez pas, même un petit peu… vive le football libreeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
J’aurais du m’arrêter là, mais je n’ai pas pu m’empêcher…
Garde espoir ! On finira bien par perdre…
« Garde espoir ! » « Garde espoir ! »… Qu’est-ce que tu nous chantes là ? Comme si nous jouions le maintien, comme si le club que nous supportons était en péril tel celui de la capitale ou l’autre historique du bord de Loire ! Non, nous devons subir bien pire : La terrible crise du sixième titre ! Terrible… Elle frappe le club qui a osé conquérir 6 fois de rang les lauriers du champion ! Et bien sûr, les « supporters » sont en colère ! Notez ici toute l’importance de la ponctuation ! Jamais je n’ai autant apprécié griffer les mots de ces chers guillemets. Que se passe-t-il ? Etrange paradoxe ! L’inertie règne ici quand l’OL vit son apogée… Nous devrions nous réjouir, vous vous affolez. Les joueurs sont démotivés ? Vous me parlez sûrement de Bursac et de Bouderbala ! L’entraîneur est contesté ! S’agit-il de Nouzaret ou de Papas ? Pardonnez mes atermoiements, à force de lire les vieux journaux…
L’esprit et le talent, l’impossible duo Cavéglia – Anderson ?
Trêve de plaisanteries nostalgiques, car moi aussi je suis en mal de l’OL ! Mes diatribes pompeuses contre le foot business, vous les connaissez ! Je ne le dirais jamais assez mais quel regret pour moi que l’OL ne soit pas parvenu à allier le folklore, le pittoresque et son esprit à son talent, à son ambition et à sa réussite. C’est le duo Cavéglia-Anderson qui restera impossible à jamais ! Il fallait que nous restions un club qui gagne nous sommes devenus une machine à gagner ! Dommage simplement d’avoir sacrifier l’esprit de famille sur l’autel du gain, mais l’individualisme, c’est l’air du temps… Alors, là où beaucoup pleurent sur les passements de jambes de Mancini, moi je regrette les poussées d’orgueil d’un Lyon-Bologne ! Quand certains maudissent le coup de tête d’Henrique, je compte les années qui nous séparent d’une finale de coupe, de la vraie ! Vous piaffer d’impatience, vous souhaitez avancer le temps pour vous asseoir à Décines, je remonte inlassablement l’horloge du virage Nord. Finalement personne n’est content ! D’un côté, l’OL grandit trop vite, de l’autre on aimerait bien qu’il prenne son temps. Sommes-nous définitivement opposés ? Peut-être pas…
Patience… On prend de la vitesse !
Même si je n’achèterai jamais la moindre action, je crois que le nostalgique que je suis finira par accepter d’aller râler à Décines les soirs de matchs… Alors il faudra que le supporter pressé apprenne la patience ! Vertu indéniablement liée à l’histoire de notre club… Il a fallu attendre 20 ans pour que le foot lyonnais se professionnalise et 50 années de plus pour le voir triompher au sommet du football français. Nous patienterons bien encore quelques décennies pour dominer l’Europe. En attendant, tâchons de ne pas trop faire chauffer la « Formule 1 », formule chère à JMA. Véhicule magnifique et impressionnant, certes, mais parfois bien éphémère si on oublie de passer les vitesses avec douceur et justement avec patience ! Finalement, donner le volant à quelqu’un qui a participé à la construction du bolide ne serait-il pas le meilleur moyen d’éviter la sortie de route ?
Remi ! Prends le volant !!
Remi Garde est le symbole de l’abnégation de 1989, mais il incarne également le talent indiscutable du footballeur. Wenger (on n’en pense ce qu’on veut, mais son avis vaut bien plus que le mien) avait déclaré en 1990 que notre Rémi était le meilleur joueur de sa génération. Des blessures à répétitions ont malheureusement eu raison d’une grande carrière internationale mais je reste persuadé qu’il n’avait rien à envier à un Guardiola, pour rester dans le même registre… Son sens tactique, l’aisance de sa communication, son expérience londonienne et surtout la maîtrise et la connaissance parfaite des arcanes et du fonctionnement de notre club en font le successeur désigné de l’actuel entraîneur et l’héritier évident des Louis Hon, Lucien Jasseron, Aimé Mignot et Raymond Domenech. Puis cela me ferait tellement plaisir ? Alors quand ? Là n’est pas la question. Je vous l’ai dit, patience… Mais à toi, supporter inquiet du café : « Garde espoir, Rémi arrive ! »
Qu’est-ce qu’il faut pas faire pour caser deux trois jeux de mots merdiques…:mdr: Mais n’oubliez pas, même un petit peu… vive le football libreeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
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