Transféré du Paris Saint-Germain à l’Olympique Lyonnais où il est devenu le nouveau responsable du Pôle performance du club, Alexandre Marles a fait le point sur son travail au sein du club rhodanien dans les colonnes du mensuel Lyon Capitale. Parmi les grands défis du nouveau préparateur physique : remettre sur pied Yoann Gourcuff.
Marles sait déjà comment s’y prendre : « On me parle de défi, d’une mission… Franchement, je ne vois pas les choses de cette manière (…) Sa problématique, c’est qu’il a disputé une centaine de matchs sur les trois dernières saisons, c’est sûr que ce n’est pas suffisant. Il a enchaîné les pépins, les récidives. Il a peut-être repris trop vite, s’est mal préparé et il est rentré dans un cercle vicieux. Cela arrive à d’autres sportifs. Aujourd’hui, il va beaucoup mieux, on est sur un tracé progressif, on a fait énormément de travail de renforcement et de prévention. On a fait des examens médicaux pour être clair sur ce qu’il avait. On est revenu très en arrière sur les deux dernières années pour bien comprendre ce qui s’est passé (…) Avec un peu de recul, sur les dix premiers jours, si je devais trouver une cause, l’alimentation, je la mettrais en une. C’est pour ça qu’on se doit de rectifier le tir, car, à ce niveau-là, ce n’est pas possible. »
Marles sait déjà comment s’y prendre : « On me parle de défi, d’une mission… Franchement, je ne vois pas les choses de cette manière (…) Sa problématique, c’est qu’il a disputé une centaine de matchs sur les trois dernières saisons, c’est sûr que ce n’est pas suffisant. Il a enchaîné les pépins, les récidives. Il a peut-être repris trop vite, s’est mal préparé et il est rentré dans un cercle vicieux. Cela arrive à d’autres sportifs. Aujourd’hui, il va beaucoup mieux, on est sur un tracé progressif, on a fait énormément de travail de renforcement et de prévention. On a fait des examens médicaux pour être clair sur ce qu’il avait. On est revenu très en arrière sur les deux dernières années pour bien comprendre ce qui s’est passé (…) Avec un peu de recul, sur les dix premiers jours, si je devais trouver une cause, l’alimentation, je la mettrais en une. C’est pour ça qu’on se doit de rectifier le tir, car, à ce niveau-là, ce n’est pas possible. »
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