C'est dingue ! plus le temps passe plus cette défaite me fout la gerbe !
Je suis de ceux qui ont vécu les anciennes humiliations, l'époque de Roger Rocher qui se gargarisait d'enfin voir Lyon devenir la banale banlieue d'une ville moche et fade comme sainté parce qu'il s'agissait de foot. Alors quand a commencé cette fabuleuse période où par un coup de baguette magique les rôles ont été inversé je me suis dit que je vivais un rêve. D'abord ce n'était pas un miracle et en plus ce n'était pas un rêve, et je me suis habitué à la victoire absolue. C'est facile de s'y habituer, simple comme bonjour et ça rentre comme une lettre à la poste au bout d'un certain temps. Et j'espérais bien ne plus revivre une certaine jeunesse synonyme de chant des verts, vous savez, "qui c'est les plus :malade:" 20 ans, c'est trop bon, on a l'impression que ça ne s'arrêtera plus, que c'est gravé à jamais qu'on gagnera toujours, parce que c'est nous, l'OL, qu'on est le club du XXI°s et que eux c'est les années 70, les pattes d'éléphants, les cheveux longs, la 2CV verte, la suprême loose des champs Élysées, la France qui perd.
Alors bonjour le choc du 100° derby, ce holdup misérable à Gerland, arrivés et repartis tels des renards à 2 pattes qui vous ont dépouillé le poulailler dans votre dos. On se dit qu'ils nous l'on fait comme des pouilleux, en traitre, 1000 fois pas mérités parce que sur le terrain ils étaient restés des cafards sans talents. L'honneur était sauf, et il allait être vengé au match retour.
Par contre, dimanche dernier, ça a été ZE cauchemar. Retour dans le passé. Le traumatisme absolu. 3-0 et rien à redire. 200 000 pouilleux qui se remettent à chanter leur vieux 45 tour dans leur ville infâme, c'est juste pas possible, absolument insupportable. Et plus le temps passe plus je refuse de retourner dans ces années 70 de merde, Niet, neni ! quedalle !
Au début j'ai accepté vu la physionomie du match, j'ai même été sport en toute sincérité. Mais aujourd'hui, 4 jours après, je n'ai plus le même état d'esprit, c'est le rejet complet, ça me sort par tous les pores de la peau. Il va falloir que nos p'tits agneaux se défoncent tant qu'il faudra pour laisser à distance ce club du passé et surtout leur mettre la branlée formidable au match retour. Je veux le beurre, l'argent du beurre et la crémière donc je veux un score sans équivoque avec la forme et une totale déconfiture de ce club misérable. Déjà ça commence pas ce soir, par mettre une branlée aux remois, juste pour se dire qu'ils n'ont rien perdu et surtout pour s'entrainer au carton en vue du match du mois d'avril prochain. Je veux une guerre totale, je veux que nos gones s'arrachent sur le terrain à en mourir jusqu'à la fin de la saison, pour se racheter de leur misère de dimanche dernier et se faire pardonner auprès des supps, parce que ce sont les supps qui ont le plus souffert.:dt:
Je suis de ceux qui ont vécu les anciennes humiliations, l'époque de Roger Rocher qui se gargarisait d'enfin voir Lyon devenir la banale banlieue d'une ville moche et fade comme sainté parce qu'il s'agissait de foot. Alors quand a commencé cette fabuleuse période où par un coup de baguette magique les rôles ont été inversé je me suis dit que je vivais un rêve. D'abord ce n'était pas un miracle et en plus ce n'était pas un rêve, et je me suis habitué à la victoire absolue. C'est facile de s'y habituer, simple comme bonjour et ça rentre comme une lettre à la poste au bout d'un certain temps. Et j'espérais bien ne plus revivre une certaine jeunesse synonyme de chant des verts, vous savez, "qui c'est les plus :malade:" 20 ans, c'est trop bon, on a l'impression que ça ne s'arrêtera plus, que c'est gravé à jamais qu'on gagnera toujours, parce que c'est nous, l'OL, qu'on est le club du XXI°s et que eux c'est les années 70, les pattes d'éléphants, les cheveux longs, la 2CV verte, la suprême loose des champs Élysées, la France qui perd.
Alors bonjour le choc du 100° derby, ce holdup misérable à Gerland, arrivés et repartis tels des renards à 2 pattes qui vous ont dépouillé le poulailler dans votre dos. On se dit qu'ils nous l'on fait comme des pouilleux, en traitre, 1000 fois pas mérités parce que sur le terrain ils étaient restés des cafards sans talents. L'honneur était sauf, et il allait être vengé au match retour.
Par contre, dimanche dernier, ça a été ZE cauchemar. Retour dans le passé. Le traumatisme absolu. 3-0 et rien à redire. 200 000 pouilleux qui se remettent à chanter leur vieux 45 tour dans leur ville infâme, c'est juste pas possible, absolument insupportable. Et plus le temps passe plus je refuse de retourner dans ces années 70 de merde, Niet, neni ! quedalle !
Au début j'ai accepté vu la physionomie du match, j'ai même été sport en toute sincérité. Mais aujourd'hui, 4 jours après, je n'ai plus le même état d'esprit, c'est le rejet complet, ça me sort par tous les pores de la peau. Il va falloir que nos p'tits agneaux se défoncent tant qu'il faudra pour laisser à distance ce club du passé et surtout leur mettre la branlée formidable au match retour. Je veux le beurre, l'argent du beurre et la crémière donc je veux un score sans équivoque avec la forme et une totale déconfiture de ce club misérable. Déjà ça commence pas ce soir, par mettre une branlée aux remois, juste pour se dire qu'ils n'ont rien perdu et surtout pour s'entrainer au carton en vue du match du mois d'avril prochain. Je veux une guerre totale, je veux que nos gones s'arrachent sur le terrain à en mourir jusqu'à la fin de la saison, pour se racheter de leur misère de dimanche dernier et se faire pardonner auprès des supps, parce que ce sont les supps qui ont le plus souffert.:dt:
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