https://www.mediapart.fr/journal/fra...u-foot-feminin
Ces accusations sont examinées par la justice depuis septembre 2018 contre un entraîneur des U16 féminines, "Yohan D". Il a démissionné, l'OL a saisi le procureur de la République en juin 2018, mais est à son tour actionné par une des victimes qui a quitté le club "pour des raisons sportives" selon le club, plus ou moins en en rapport avec cette affaire selon la famille de la victime.
Extrait de l'article pour les non abonnés :
"En effet, l'’entraîneur envoie à la jeune fille qui évolue sous ses ordres des messages sans rapport avec le football : « Je me sens bien quand tu es là »… Selon l’'avocat, l’'entraîneur procédait de la même manière avec d’'autres joueuses.
L’'avocat explique que lors du tournoi international de Colmar, du 18 au 20 mai 2018, l’'éducateur se débrouille pour que sa chambre se situe à côté de celle de Myriam et de sa meilleure amie. L'’entraîneur demande aux deux joueuses de le rejoindre dans sa chambre pour parler du match du lendemain. Elles y restent jusqu’à 1 h 30 du matin.
Selon le récit de Myriam, le soir suivant, Yohan D. se rend cette fois dans la chambre des jeunes filles, « se glisse sous la couette, y fait circuler sa main ». Le lendemain, Myriam prévient une joueuse professionnelle et sa famille.
Myriam explique par ailleurs que pendant l'année, l'entraîneur lui a proposé de la promouvoir capitaine si elle lui transférait des vidéos de son amie."
L'article insiste aussi sur la précarité des jeunes joueuses mineures qui ne disposeraient pas de contrats et de conventions équivalentes aux garçons et qui seraient donc plus facilement congédiables qu'eux. C'est dans ce cadre que l'avocat de la victime attaque en référé l'OL pour qu'il remette des documents tendant à prouver cette discrimination.
Ces accusations sont examinées par la justice depuis septembre 2018 contre un entraîneur des U16 féminines, "Yohan D". Il a démissionné, l'OL a saisi le procureur de la République en juin 2018, mais est à son tour actionné par une des victimes qui a quitté le club "pour des raisons sportives" selon le club, plus ou moins en en rapport avec cette affaire selon la famille de la victime.
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"En effet, l'’entraîneur envoie à la jeune fille qui évolue sous ses ordres des messages sans rapport avec le football : « Je me sens bien quand tu es là »… Selon l’'avocat, l’'entraîneur procédait de la même manière avec d’'autres joueuses.
L’'avocat explique que lors du tournoi international de Colmar, du 18 au 20 mai 2018, l’'éducateur se débrouille pour que sa chambre se situe à côté de celle de Myriam et de sa meilleure amie. L'’entraîneur demande aux deux joueuses de le rejoindre dans sa chambre pour parler du match du lendemain. Elles y restent jusqu’à 1 h 30 du matin.
Selon le récit de Myriam, le soir suivant, Yohan D. se rend cette fois dans la chambre des jeunes filles, « se glisse sous la couette, y fait circuler sa main ». Le lendemain, Myriam prévient une joueuse professionnelle et sa famille.
Myriam explique par ailleurs que pendant l'année, l'entraîneur lui a proposé de la promouvoir capitaine si elle lui transférait des vidéos de son amie."
L'article insiste aussi sur la précarité des jeunes joueuses mineures qui ne disposeraient pas de contrats et de conventions équivalentes aux garçons et qui seraient donc plus facilement congédiables qu'eux. C'est dans ce cadre que l'avocat de la victime attaque en référé l'OL pour qu'il remette des documents tendant à prouver cette discrimination.
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