Lyonnais921 . Bonjour.
La souveraineté Grecque en mer Egée a été renforcée politiquement par l'UE quand le ton est monté avec le Vizir, renforcée matériellement par un membre de l'UE (RF) quand des navires et des avions ont présenté le pavillon pour montrer la fraternité. Situation similaire à Chypre, où des exercices militaires ont mitigé l'appétence Turque sur la ZEE Chypriote, voire plus quand on regarde une carte.
La notion d'abandon de souveraineté est un attrape-nigauds facile si on généralise l'argument. Je peux parfaitement comprendre le souci lorsque des décisions continentales sont contraires à long terme aux intérêts d'une nation membre. Je regrette qu'on exclue systématiquement tout apport européen à l'intégrité économique d'une nation membre, sans démontrer "correctement" que cette nation gagnerait plus "toute seule".
On peut discuter monnaie (dévaluations ?), taxes douanières (réciprocités?), débouchés économiques (accès libre à un marché commun ?), sécurité extérieure (partage de renseignements, rapports de forces envisageables, mitigations diplomatiques alliées pour calmer le jeu). Je constate souvent que les considérations des pro-frexit se résument souvent à des arguments en contradiction complète avec les faits économiques et géopolitiques historiques d'un passé pas si lointain.
La souveraineté Grecque en mer Egée a été renforcée politiquement par l'UE quand le ton est monté avec le Vizir, renforcée matériellement par un membre de l'UE (RF) quand des navires et des avions ont présenté le pavillon pour montrer la fraternité. Situation similaire à Chypre, où des exercices militaires ont mitigé l'appétence Turque sur la ZEE Chypriote, voire plus quand on regarde une carte.
La notion d'abandon de souveraineté est un attrape-nigauds facile si on généralise l'argument. Je peux parfaitement comprendre le souci lorsque des décisions continentales sont contraires à long terme aux intérêts d'une nation membre. Je regrette qu'on exclue systématiquement tout apport européen à l'intégrité économique d'une nation membre, sans démontrer "correctement" que cette nation gagnerait plus "toute seule".
On peut discuter monnaie (dévaluations ?), taxes douanières (réciprocités?), débouchés économiques (accès libre à un marché commun ?), sécurité extérieure (partage de renseignements, rapports de forces envisageables, mitigations diplomatiques alliées pour calmer le jeu). Je constate souvent que les considérations des pro-frexit se résument souvent à des arguments en contradiction complète avec les faits économiques et géopolitiques historiques d'un passé pas si lointain.
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