Envoyé par nihare44
Le PS fustige les «exigences» de Sarkozy
Après l’entrée en fonction du nouveau président de la République, le parti socialiste a affirmé ne croire à aucune des exigences - changement, justice, morale, résultats - affichées par Nicolas Sarkozy.
Le Parti socialiste ne croit à aucune des exigences - changement, justice, morale, résultats - affichées par Nicolas Sarkozy parce qu'elles "sonnent faux", a déclaré mercredi Benoît Hamon lors d'un point de presse organisé après l'entrée en fonction du nouveau président de la République. Le chef de l'Etat semble poser "sa présidence sur un champ de ruines, tant il insiste sur cette exigence de résultats comme si hier, le ministre de l'Intérieur n'avait pu obtenir aucun résultat", a estimé le député européen au nom du PS.
Avec un gouvernement annoncé dans lequel pourraient siéger Alain Juppé ou Michèle Alliot-Marie, "on est mal" parti pour le changement, a-t-il poursuivi. Nicolas Sarkozy parle d'exigence morale mais il compte dans son entourage plusieurs personnalités condamnées par la justice, comme Patrick Balkany, son ami de trente ans, Alain Carignon ou, depuis cette campagne présidentielle, Bernard Tapie, a souligné Benoît Hamon. "Avec une équipe de cadors pareils, on est en droit de se poser des questions sérieuses", a-t-il ironisé.
De plus, "les premiers pas" de la présidence Sarkozy ont été marqués par "son goût de l'argent, ses amitiés tapageuses et un entourage qui appartient à la France du fric". "On voit mal en quoi cette nouvelle présidence pourra être marquée sous le sceau des sacrifices équitablement répartis" et donc de l'exigence de justice sociale, a jugé le responsable socialiste. Au total, les "exigences" affichées par Nicolas Sarkozy dans son discours d'entrée en fonction "sonnent faux pour nous tous et nous craignons qu'elles sonnent faux très tôt pour les Français". "Elles sont en décalage avec ce qu'est le projet véritable de Nicolas Sarkozy, peut-être relativement habilement emballé aujourd'hui, mais qui reste un projet très marqué à droite" au service des "plus puissants de ce pays", a-t-il encore déclaré.
Libération
Visiblement, la stratégie qui consiste à tapper sur Sarko continue, alors qu'on a vu les résultats du PC et du PS en tentant cette stratégie.
N'ont ils vraiment aucun programme ou sont ils tous simplement cons?
Après l’entrée en fonction du nouveau président de la République, le parti socialiste a affirmé ne croire à aucune des exigences - changement, justice, morale, résultats - affichées par Nicolas Sarkozy.
Le Parti socialiste ne croit à aucune des exigences - changement, justice, morale, résultats - affichées par Nicolas Sarkozy parce qu'elles "sonnent faux", a déclaré mercredi Benoît Hamon lors d'un point de presse organisé après l'entrée en fonction du nouveau président de la République. Le chef de l'Etat semble poser "sa présidence sur un champ de ruines, tant il insiste sur cette exigence de résultats comme si hier, le ministre de l'Intérieur n'avait pu obtenir aucun résultat", a estimé le député européen au nom du PS.
Avec un gouvernement annoncé dans lequel pourraient siéger Alain Juppé ou Michèle Alliot-Marie, "on est mal" parti pour le changement, a-t-il poursuivi. Nicolas Sarkozy parle d'exigence morale mais il compte dans son entourage plusieurs personnalités condamnées par la justice, comme Patrick Balkany, son ami de trente ans, Alain Carignon ou, depuis cette campagne présidentielle, Bernard Tapie, a souligné Benoît Hamon. "Avec une équipe de cadors pareils, on est en droit de se poser des questions sérieuses", a-t-il ironisé.
De plus, "les premiers pas" de la présidence Sarkozy ont été marqués par "son goût de l'argent, ses amitiés tapageuses et un entourage qui appartient à la France du fric". "On voit mal en quoi cette nouvelle présidence pourra être marquée sous le sceau des sacrifices équitablement répartis" et donc de l'exigence de justice sociale, a jugé le responsable socialiste. Au total, les "exigences" affichées par Nicolas Sarkozy dans son discours d'entrée en fonction "sonnent faux pour nous tous et nous craignons qu'elles sonnent faux très tôt pour les Français". "Elles sont en décalage avec ce qu'est le projet véritable de Nicolas Sarkozy, peut-être relativement habilement emballé aujourd'hui, mais qui reste un projet très marqué à droite" au service des "plus puissants de ce pays", a-t-il encore déclaré.
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Visiblement, la stratégie qui consiste à tapper sur Sarko continue, alors qu'on a vu les résultats du PC et du PS en tentant cette stratégie.
N'ont ils vraiment aucun programme ou sont ils tous simplement cons?
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