les partisans du système libéral-capitaliste mettent souvent en avant les mêmes arguments. ainsi : certes, les patrons sont riches mais c'est qu'ils le méritent par l'importance/l'intensité/productivité de leur travail.
si ce sont des branleurs ou de mauvais gestionnaires, la sanction économique est immédiate : c'est la faillite.
Les Libéraux du XIX° siècle ont toujours admis une certaine légitimité aux crises cycliques : elles faisaient disparaitre les "canards boiteux", les entreprises mal gérées, sans investissements, obsolètes, etc. ..
Voici qu’aujourd’hui, le capitalisme, les capitalismes traversent une crise majeure.
Aux USA ceux qui ont fichus tout le monde dans la mouise, des spéculateurs éhontés, sont « pardonnés ».
Georges double v Bush annoncent 700 milliards de $ pour renflouer le système, somme énorme qui sera payée par les contribuables.
Pas de sanction économique.
Alors, vive l’Etat quand il renfloue les capitalistes !
Moins d’Etat, surtout moins d’Etat, quand il faut faire du pognon.
Un prix Nobel d’économie américain, Joseph Stiglitz, a qualifié de « monstrueux » cette décision.
Elle n’est pas simplement monstrueuse, elle est amorale, et va provoquer un dénigrement de la politique qui peut mener à tous les dangers.
j'allais oublier : vive le Tibet et la Georgie ! c'est le plus important.
si ce sont des branleurs ou de mauvais gestionnaires, la sanction économique est immédiate : c'est la faillite.
Les Libéraux du XIX° siècle ont toujours admis une certaine légitimité aux crises cycliques : elles faisaient disparaitre les "canards boiteux", les entreprises mal gérées, sans investissements, obsolètes, etc. ..
Voici qu’aujourd’hui, le capitalisme, les capitalismes traversent une crise majeure.
Aux USA ceux qui ont fichus tout le monde dans la mouise, des spéculateurs éhontés, sont « pardonnés ».
Georges double v Bush annoncent 700 milliards de $ pour renflouer le système, somme énorme qui sera payée par les contribuables.
Pas de sanction économique.
Alors, vive l’Etat quand il renfloue les capitalistes !
Moins d’Etat, surtout moins d’Etat, quand il faut faire du pognon.
Un prix Nobel d’économie américain, Joseph Stiglitz, a qualifié de « monstrueux » cette décision.
Elle n’est pas simplement monstrueuse, elle est amorale, et va provoquer un dénigrement de la politique qui peut mener à tous les dangers.
j'allais oublier : vive le Tibet et la Georgie ! c'est le plus important.
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