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Good night, and good luck : Un sujet intéressant, une vision du monde des médias filmé de l'intérieur qui captive, un message politique (qui se veut) fort, mais malgrè toutes ces ambitions, le film manque de souffle, est parfois simplistement moralisateur et laisse un arrière goût de frustration qq peu désagréable.
[...] King-Kong : Un vrai bon film d'action. Fidèle à la 1ère version, tout en créeant son propre univers, on accepte sans problème les trucs "énooooormes" des scènes d'actions, pour se laisser emmener avec grand plaisir durant 3 heures de grand spectacle.
+1 sur les deux.
Même si j'aurais été plus critique sur le film de Clooney... mask
Un jour en septembre: Le documentaire sur les JO de Munich. C'est pas mal. Un peu trop spectaculaire et démonstratif par moments, dans le montage ou la musique, mais ça démontre bien le rôle Allemand dans le dénouement catastrophique. Les organisateurs ont pêché par naiveté, et ça a couté très cher. L'ensemble est très impressionnant. Après avoir vu Munich, ça donne un bon panorama de l'événement (d'autant que j'ai enchainé sur l'émission Secrets d'actualité sur le même thème, c'est l'overdose là). En attendant les bronzés, mecredi...
J'irai le voir demain, je pense que ça me fera rire vu que je suis bon public, mais de là à penser que ce sera aussi bon que les 2 premiers...les gags ont l'air lourds et reprennent ceux déjà faits, au vu de la bande annonce. J'espère juste que ce sera pas du niveau des visiteurs 2. Les 3 critiques qui ont parlé du film l'ont démoli pour le moment, pas de scénario est le reproche qui revient le plus souvent.
Mais y a pas grand chose d'autre qui sort la semaine prochaine...ni la semaine d'après argggghhh
J'ai vu hier soir en avant-première "Toute la beauté du monde" de Marc Esposito au Ciné Cité.
Etaient présent, en plus du réalisateur, Zoé Félix, Marc Lavoine, et Albane Duterc.
Sans être trop cassant, je retiendrais surtout la gentillesse des acteurs et leur disponibilité, mais pour le film... Désolé, j'ai pas accroché. Pas d'émotion, tout simplement. Mais pour l'image, ca valait le détour. L'histoire se déroulant à Bali...
Le Pitch:
L'histoire d'un couple : Franck et Tina. Il l'aime, mais elle ne peut pas l'aimer : l'homme de sa vie vient de mourir, elle est en pleine dépression. Lors d'un voyage en Asie où Tina tente de reprendre goût à la vie, Franck s'impose en douceur comme un guide, un compagnon de voyage, bientôt comme un ami... Tina finira-t-elle par aimer Franck ?
J'ai vu hier soir en avant-première "Toute la beauté du monde" de Marc Esposito au Ciné Cité.
Etaient présent, en plus du réalisateur, Zoé Félix, Marc Lavoine, et Albane Duterc.
Sans être trop cassant, je retiendrais surtout la gentillesse des acteurs et leur disponibilité, mais pour le film... Désolé, j'ai pas accroché. Pas d'émotion, tout simplement. Mais pour l'image, ca valait le détour. L'histoire se déroulant à Bali...
Le Pitch:
L'histoire d'un couple : Franck et Tina. Il l'aime, mais elle ne peut pas l'aimer : l'homme de sa vie vient de mourir, elle est en pleine dépression. Lors d'un voyage en Asie où Tina tente de reprendre goût à la vie, Franck s'impose en douceur comme un guide, un compagnon de voyage, bientôt comme un ami... Tina finira-t-elle par aimer Franck ?
Bref, vive la carte UGC Illimité.
J'y étais aussi. J'ai pas accroché, pourtant le coeur des hommes m'avait bien plu. Mais là c'était un peu bienvenue dans le monde merveilleux des Bisounours. Ceci dit belles images et beau couple d'acteur.
Le reproche que je faisais au coeur des hommes c'était de vraiment trop vouloir pomper le concept de "nous irons tous au paradis" et "un éléphant..." qui sont pour moi des films cultes. Là c'est pareil, les 4 copains qui se voient tout le temps, leurs emmerdes, etc. Et puis des gens comme Lavoine, Darmon, ils ont une tête trop particulière je trouve, j'ai du mal à voir le personnage qu'ils jouent, je vois juste marc lavoine...alors le scénar était pas trop mal, le film se tenait, mais c'était pas génial quand même. Heureusement que j'étais invitée à une projection gratuite mask
J'y étais aussi. J'ai pas accroché, pourtant le coeur des hommes m'avait bien plu. Mais là c'était un peu bienvenue dans le monde merveilleux des Bisounours. Ceci dit belles images et beau couple d'acteur.
Ben mince, le monde est petit ;o))))
En tout cas, moi, j'ai pas applaudi à la fin du film...bisque
Et une nénette en école de journalisme m'a alpagué à la sortie, me demandant mes impressions sur le film.. J'ai pas été tendre... "Carte postale... Promotion pour Bali... Mais aucun sentiments... Ca sonne Creux... Et arrêter la musique, quellle BO lamentable."pffuu
quelqu'un est alle voire la veritable histoire du petit chaperon rouge?
Oui moi et j'ai adoré, c'est très bien ficelé, très marrant, non vraiment j'ai beaucoup aimé::)
Sinon, j'attends vivement le nouvel opus de Quentin Tarantino "Inglorious Bastards" avec Michael Madsen, Adam Sandler, Eddie Murphy... en 2006 !
Une exclu peut-être pour vous, il y aura un nouveau volet de KILL BILL, et oui ! et c'est tant mieux ! il s'intitulera "Kill Bill : l'Intégrale" et se sera un montage de toutes les scènes coupées ades 2 précédents épisodes apparemment, date de sortie inconnue.
Et Impitoyable ! Et Honkytonk Man ! Et Pale Rider ! Et mystic river ! J'adoooooooore. Trop de talent, trop bon acteur, trop sexy, trop bien !
Et trop froid et trop de présence, trop de gueule, trop bon !!
Alors-là Impitoyable c'est fabuleux. Pale Rider on dirait son brouillon toute proportions gardées.
Il y aussi en acteur : Et pour quelques dollars de plus, Pendez-les haut et court, l'évadé d'Alcatraz, quand les Aigles attaquent ; en réalisateur : Bird.
Clint EASTWOOD
Réalisateur, Producteur, Acteur, Compositeur américain
Né le 31 Mai 1930 à San-Francisco, Californie (Etats-Unis)
Né d'un père comptable, le jeune Clinton mène avec ses parents une vie de nomade. Il passe son adolescence à Oakland et ne pense pas du tout à devenir acteur. Il fait des petits boulots sans grande conviction. Puis il part à l'armée où il fait des rencontres décisives et obtient du travail chez Universal. Il fait sa première apparition en 1955 dans La Revanche de la creature puis enchaîne les petits rôles dans cinq films où personne ne le remarque véritablement.
Il commence son ascension grâce à un rôle de cow-boy dans un feuilleton, Rawhide. Entre 1956 et 1958, il apparaît successivement dans Ne dites jamais adieu, , La Corde est prête, Escapade au Japon, et C'est la guerre. Mais, il deviendra véritablement populaire grâce à Sergio Leone et la trilogie Pour une poignee de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la brute et le truand. Mais Hollywood ne croit toujours pas en lui et Eastwood va devoir s'imposer. Il crée sa propre maison de production, Malpaso, et devient ainsi plus indépendant. De sa rencontre avec Don Siegel naît une belle amitié et une longue collaboration (cinq films dont Les Proies, Un sherif a New York ou L' Evade d'Alcatraz).
Il tourne avec Vittorio De Sica un film à sketch Les Sorcieres puis Pendez-les haut et court. En 1969, il est enfin reconnu avec Quand les aigles attaquent. Eastwood profite de cette notoriété naissance pour réaliser en 1971 Un frisson dans la nuit. Ce premier long métrage n'est pas couronné de succès, contrairement à L'Inspecteur Harry de Don Siegel. Son rôle de flic violent ne lui attire pas que des sympathies. Il est accusé de fascisme, de machisme... Conséquence : ses rôles ou ses films suivants sont méprisés par une grande partie de la critique, qui réserve un mauvais accueil à la comédie dramatique Breezy. Le film est un échec au box-office, qui affecte Clint Eastwood. L'acteur attendra quinze ans, et Bird, avant de réaliser un autre film dont il n'est pas l'acteur principal. En 1974, on le verra dans Pendez-les haut et court.
Il revient au film d'action avec une suite de L'Inspecteur Harry qui est un véritable succès et continue de réaliser et de jouer dans ses films : L' Homme des hautes plaines (1972), Josey Wales hors la loi (1976). Honkytonk man qu'il réalise en 1982 marque un tournant dans sa carrière : Eastwood devient un réalisateur à part entière. Confirmation : Pale Rider est projeté à Cannes en 1985 et Jean-Luc Godard lui dédie son film Detective.
Ayant d'autres intérêts que le cinéma, il est élu maire de sa ville Carmel en Californie en 1986 pour deux ans, période durant laquelle il ne réalise que deux films dont Bird. Ce film sur la vie de Charlie Parker qui confirme la passion du réalisateur pour le jazz, se retrouve en compétition pour la palme d'or au Festival de Cannes. En 1992, c'est la consécration avec Impitoyable, un western crépusculaire qui remporte quatre Oscars dont ceux du Meilleur film et du Meilleur réalisateur. A 65 ans, Eastwood joue son premier rôle romantique dans son film Sur la route de Madison. Les critiques applaudissent et le public suit. Il enchaîne avec Minuit dans le jardin du bien et du mal (dans lequel il fait jouer sa fille Alison Eastwood), puis retrouve les casquettes de réalisateur et d'acteur dans ses films suivants : Juge coupable, Space Cowboys et Créance de sang.
En 2003, Clint Eastwood signe le drame Mystic river, porté par Sean Penn, Tim Robbins et Kevin Bacon, et gagne sa quatrième invitation pour le Festival de Cannes après Pale Rider en 1985, Bird en 1988 et Chasseur blanc, coeur noir en 1990. Deux ans plus tard, avec le drame Million dollar baby, le cinéaste obtient une nouvelle consécration en remportant, douze ans après Impitoyable, l'Oscar du Meilleur film et du Meilleur réalisateur, ses comédiens Hilary Swank et Morgan Freeman repartant avec les statuettes de La Meilleure actrice et du Meilleur second rôle masculin.
En acteur et réalisateur français : Albert DUPONTEL.
Bernie, La maladie de Sachs, Irréversible (phénoménal mais très cru), Le convoyeur (fantastique), un long dimanche de fiancaille ("petit" rôle mais fabuleuse présence).
Albert DUPONTEL
Réalisateur, Scénariste, Acteur, Dialoguiste français
Né le 11 Janvier 1964
Biographie
A la fin des années 80, Albert Dupontel se forme à la comédie au prestigieux Théâtre National de Chaillot. C'est à cette période qu'il débute sur grand écran dans La Bande des quatre de Jacques Rivette et Encore de Paul Vecchiali. Mais c'est sur scène que le comédien se fait véritablement connaître du grand public avec un one man show révèlant un humour féroce et original.
Fort de sa popularité scénique, Albert Dupontel revient en force sur grand écran, s'illustre en 1995 dans Un héros très discret de Jacques Audiard. Nommé aux César pour ce film dans la catégorie meilleur second rôle masculin, il s'attire le respect de la profession. Un an plus tard, il réalise son premier long métrage, Bernie, dans lequel il s'offre également le rôle-titre. Le ton unique du film, décapant et provocateur, ne fait pas l'unanimité, mais impose la personnalité de son auteur.
Après avoir tenu l'affiche de Serial lover, Albert Dupontel emprunte une voie plus assagie. En 1998, sa seconde réalisation, Le Createur, réflexion sur le statut d'artiste, marque déjà un tournant chez le comédien. En 1999, il tient la vedette de La Maladie de Sachs de Michel Deville et montre sa capacité à incarner des personnages torturés et complexes.
Albert Dupontel, comédien rare et exigeant, confirme ensuite son désir d'éclectisme dans le paysage cinématographique français, passant du film-choc (Irréversible) au drame de facture classique (Du bleu jusqu'en Amerique) ou à la comédie (Petites misères, Monique). En 2004, il figure au casting du drame historique Un long dimanche de fiançailles, réalisé par Jean-Pierre Jeunet.
2006 est sans aucun doute une année faste pour Dupontel. Il apparaît ainsi dans des films de prestige (Fauteuils d'orchestre, Jacquou Le Croquant), et tient le rôle du Président pour Lionel Delplanque. Il revient aussi à la réalisation avec Enfermés dehors, son troisième film, qu'il dirige et interprète.
Et tous ses skectches : Le bac philo, l'appart, les pourris d'or, l'éducation sexuelle, Rambo, la pause syndicale...
En tout cas, moi, j'ai pas applaudi à la fin du film...bisque
Et une nénette en école de journalisme m'a alpagué à la sortie, me demandant mes impressions sur le film.. J'ai pas été tendre... "Carte postale... Promotion pour Bali... Mais aucun sentiments... Ca sonne Creux... Et arrêter la musique, quellle BO lamentable."pffuu
Je m'attendais à voir défiler un bandeau : ce film vous a été présenté par l'office de tourisme de Bali.mask
C'est vrai que la chanson d'Angor et je ne sais plus qui est assez insupportable -ding- , sinon le reste de la BO, ça va.
Après avoir vu Zoé Felix, hier soir, j'ai un peu de mal à être totalement négatif sur le film.
Je viens de voir à l'instant sur France 2, la bande annonce du film du dimanche soir : Jackie Brown, et en gros j'ai vu TARENTINO... et après en petit Quentin Tarentino... bordelllllll c'est TARANTINO !!!
C'est incroyable quand même...
M'enfin bon, c'est juste le coup de gueule avant le dodo...:x
Ca va faire un peu provoc' gratuite mais bon je tente quand même ;)
J'ai du mal à comprendre le mix 'j"aime le cinéma et Carte UGC (ou autres) illimité".
Me concernant c'est tt à fait incompatible.
J'aime bien la provoc
Moi, c'est plutot un mix j'adore le cinéma, et la carte UGC me permet de voir tout les films que je veux sans me ruiner tous les mois parce que j'ai un loyer et des charges à payer.
Et bien j'aime le cinéma c'est pour ça que j'ai pas la carte UGC. Ils passent vraiment de merdes ! Par contre j'ai la carte gaumont-mk2-salles indépendantes, ce qui me permet de voir 2 films par semaine, dont des vieux films, des documentaires, des grosses productions, etc.
Et bien j'aime le cinéma c'est pour ça que j'ai pas la carte UGC. Ils passent vraiment de merdes ! Par contre j'ai la carte gaumont-mk2-salles indépendantes, ce qui me permet de voir 2 films par semaine, dont des vieux films, des documentaires, des grosses productions, etc.
C'est vrai qu'à Lyon, elle me serait très utile, cette carte....
c'est un peu le problème en effet...ils abusent gaumont, quand je reviens à lyon, je peux même pas l'utiliser
C'te WebAnim qui veut admettre que j'ai raison....
Sur Lyon, je ne vois pas quelle est l'insulte faite au Ciné que d'avoir la carte UGC Illimité.... Le Pathé et le Ciné Cité ont excatement la même programmation pour les blockbusters, pour le reste, le complexe est 1000 fois plus agréable à la Cité Internationale, et pour les programmations en VO, au Pathé, passe ton chemin...
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