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En même temps il a pris Mélanie Laurent dans Inglourious Basterds, je pense qu'il peut aller loin dans le délire "c'est français alors c'est forcément bien".
Je vois bien Clovis Cornillac en tueur dans Kill Bill 3...
Ahahah ! l'enfoiré ! :grn:
Mélanie Laurent est pas tip-top dans Inglorious Basterd p'tete, mais j'l'ai adoré dans Je vais bien ne t'en fais pas et j'ai encore ce film en tête... :-)
nan mais par contre, Johnny dans un Tarantino, c'est forcément une rumeur... hien les gars !? :grn:
Tralala, tu radotes mon petit :dead:
Discuter sur des éléments et de la pertinence d'éléments filmiques, ça ne t'intéresse pas.
Je réagis juste sur le fait que pas mal de monde se branle sur des films soit disant cultes, et que ça m'énerve; tu dois les sans doute les connaitre ces films:
- Memento - Pulp Fiction
- Fight Club (même si tout n'est pas à jeter, bien au contraire...)
etc, etc...
Rien que pour toi je vais faire ma petite critique :fier:
Au fait lit la critique des cahiers du cinéma, je ne suis pas loin de penser comme eux (c'est en + la meilleure revue de cinéma).
Ps: J'ai 18 ans, et l'âge n'a rien à faire dans ce débat.
Si l'âge a forcément à voir là-dedans.
Mais je t'accorde que je ne suis pas d'accord pour Pulp Fiction avec l'ensemble des critiques.
Ma foi, tu peux avoir détesté Memento et Darkdevil l'avoir adoré. Lire des critiques n'y changera rien, les gouts sont personnels.
Du coup votre débat n'est pas très utile.
QUOI ?!
toi aussi pauv'tâche. :rolleye:
En fait c'est fait exprès hein... :grn:
Nan je déconne le sgars, j'viens lire a quel point c'était tendu du string ici, un peu d'humour allez.
Bon eh bien moi j'vais sûrement aller voir Twilight, me faire inviter quoi, et dans la semaine je matte Slumdog Millionaire. :fier:
"Quentin Tarantino est en train d'écrire un scénario pour moi"
Ok, peut-être, mais ça ne concerne que le scénario, donc d'un côté, si Johnny joue dans un film, dont le scénario est écrit par Tarantino, et donc pas forcément réalisé par ce dernier, c'est juste pour qu'une fois dans sa vie Johnny ait une bonne prestation. Je ne vois que ça. :(
toi aussi pauv'tâche. :rolleye:
En fait c'est fait exprès hein... :grn:
Nan je déconne le sgars, j'viens lire a quel point c'était tendu du string ici, un peu d'humour allez. Bon eh bien moi j'vais sûrement aller voir Twilight, me faire inviter quoi, et dans la semaine je matte Slumdog Millionaire. :fier:
J'ai pas aimé non plus. Mou du genou, mis en scène trop lente et ennuyeuse. L'atmosphère qui s'en dégage est limite étouffante avec ces chambres d'hôtels où rien ne se passent... Les acteurs (Bill Murray en tête) sont par contre à la hauteur de leur personnage teinté de mélancolie. Le genre de film qui me donne des envies de suicide...:((
En fait, en y repensant j'ai trouvé que c'était un peu une copie ratée de In the mood for love.
Que je n'avais que modérément apprécié mais qui avait un intérêt, là c'est bien moins réussi, même si je reconnais le talent des acteurs principaux.
En fait, en y repensant j'ai trouvé que c'était un peu une copie ratée de In the mood for love.
Que je n'avais que modérément apprécié mais qui avait un intérêt, là c'est bien moins réussi, même si je reconnais le talent des acteurs principaux.
J'ai pas le souvenir que dans Lost in Translation, la relation entre Scarlett et Bill soit de nature amoureuse... ? :dt:
En fait, en y repensant j'ai trouvé que c'était un peu une copie ratée de In the mood for love.
Que je n'avais que modérément apprécié mais qui avait un intérêt, là c'est bien moins réussi, même si je reconnais le talent des acteurs principaux.
Tu vas loin là, ça n'a pas grand chose à voir.
A ce moment là tu peux comparer tous les films avec des histoires d'amour difficiles.
J'avais adoré In The Mood For Love d'ailleurs. Très touchant. Et la musique...
Bon vous m'avez énervé les loulous hier :grn: Donc hier soir, j'ai pris une heure pour écrire un petit truc sur les souvenirs qui me restaient sur L'incroyable Memento :grn: C'est un peu foireux, par endroit, mais j'avais pas trop le temps. J'aborde un petit peu la technique, pas le fond, faudrait que je revois le film, et ça fait chier :grn:
Memento, chef-d’œuvre culte. Il est bon de se cacher derrière le terme «*culte*» pour désigner toute une panoplie de films mêlant faiblesse technique et faiblesse scénaristique. Memento est de ceux là. Immersion dans la vie sans buts d’un homme torturé par une amnésie qui le prive de mémoire immédiate. Sa femme est tuée. Le long périple de Leonard Shelby peut alors commencer à travers une traque sans répit.
Memento est un long métrage 2+2=5 (Hum…Radiohead). Le type même qui essaye d’accrocher son nom au panthéon du cinéma en s’appuyant sur une idée de départ pompeuse mais qui se voudra «*culte*» pour beaucoup de personnes. Le scénario de Memento, qu’on se le dise est médiocre. Il ne suffit pas de déplacer, mélanger et même inverser les séquences d’un scénario pour révolutionner une industrie cinématographique en manque cruel de chef-d’œuvres. Voilà donc une originalité faussement originale finalement. A chercher à tout prix la différence, l’essentiel est oublié, à savoir ici la cohérence et l’imbrication des séquences écrites. Il aurait été intéressant de construire un univers autour du personnage de Leonard Shelby, et non de broder autour du scénario, le film étant un point de vue interne au personnage principal. Au lieu de cela, Christopher Nolan se méprend en mélangeant point de vue interne/externe de son personnage. Le décor d’une grande pauvreté, et les deuxièmes rôles qui errent comme des âmes en peine dans l’existence de Leonard Shelby ne participent en rien à la création d’une ambiance mais mettent en avant le manque de travail scénaristique. Le scénario bien léger au départ, souffre de toutes les critiques avec notamment des dialogues d’une naïveté effarante, et la phase d’écriture est bâclée au détriment d’une idée se voulant faussement originale.
En quoi le procédé visant à inverser le cours du film est-il indispensable ? En rien. Un montage agressif et un déroulement de l’histoire particulier ne servent qu’a se tailler cette fameuse réputation de film culte (Voir Irreversible), et c’est là la seule lucidité de Nolan. Il comprend également que pour entrer dans le cercle fermé des longs métrages adulés et «*branlettes*», l’ensemble de son intrigue se doit de reposer sur une chute, délaissant ainsi toute forme de raison et se payant le luxe de se forger une réputation de film commercial tant dans sa substance que dans la gratuité du traitement de la forme (Et Fight Club entre dans cette catégorie bien entendu) . Pari réussi. Bijou du septième art. Toujours est-il que Memento est un objet dangereux éclipsant toute idée de morale. Certains films peuvent se permettre un tel écart moral, pas Memento. La cause en est évidente, à savoir le point de vue outrancier et cérébral de son personnage principal. Il aurait donc été judicieux de se placer autrement face au sujet traité, car ici, le message devient clair, œil pour œil, dent pour dent. Vendetta puérile… Comprenez qu’un point de vue externe tue la fameuse fausse bonne idée et enlève tout espoir de film «*culte*» (au même titre que Fight Club). Nolan préfère ainsi assurer le coup, et ne remet pas en cause le traitement «*génial*» de son œuvre plutôt que d’inventer un thriller qui aurait pu être brillant en exploitant ce point de vue externe. Mais c’est trop risqué, jugé trop «*classique*» sans doute (et pourtant…). David Fincher a compris en évoluant petit à petit de Fight Club et Seven à Zodiac ou toute forme de gratuité filmique est réduite à néant jusqu’à épuration parfaite. Nolan est sur la bonne voie avec son dernier Batman, n’égalant toute fois pas le génie d’un Burton ou d’un Fincher.
Nolan ne semble pas comprendre qu’une image n’est pas un simple reflet, mais qu’elle possède bel et bien un pouvoir qui peut nous dépasser chacun de nous.
Memento est un film qui se veut pompeux et qui l’assume du début à la fin. L’intrigue pouvait se révéler intéressante bien que difficilement articulée autour d’un montage capricieux et abruti, mais la mise en scène plombe littéralement toute forme d’histoire, tout semblant d’intrigue. Il ne suffit pas d’user de plans caméra épaule pour créer une quelconque immersion, comme il ne suffit pas de plans séquences pour illustrer un point de vue externe. Il faut aller au-delà. La vraie originalité de Memento aurait pu être la mise en image de la cérébralité de Leonard Shelby en utilisant notamment la déformation, l’illusion, la mise en question de la réalité tout en jouant sur la neutralité du personnage, le maître dans ce domaine étant David Lynch. Chrisopher Nolan ne veut perdre son spectateur dans l’esprit de son personnage principal, et c’est un choix très discutable . Discutable car les partis pris ne sont foncièrement pas les bons. Il n’y a pas de mise en place d’univers, seulement une succession de souvenirs et de faits limpides comme le verre, et qui là aussi ne fonctionne pas dans l’esprit d’intériorité. Guy Pearce, belle gueule sans charisme n’aide pas à créer ce sentiment de torture qui pourrait habiter son personnage. Piètre prestation qui égale les meilleures apparitions de l’acteur de la série Largo Winch.
L’image, faussement travaillée, met en exergue le pitoyable jeu de lumière d’un plan à l’autre, alternant entre le ton sépia et l’ambiance grisâtre (peut-être le semblant du traitement du temps ?).
Le temps, justement, est un thème abandonné dans Memento, alors que l’enjeu même du film reste le mélange entre l’oubli et le temps. Ainsi, pour justifier l’imbrication originale du scénario, Nolan est obligé d’inventer de toutes pièces des séquences pouvant raccorder le temps et la mémoire de Leonard Shelby. Certaines scènes en deviennent ridicules, puisque évidemment, Nolan est foncièrement obligé de quitter momentanément le point de vue interne de son personnage pour faire comprendre aux spectateurs la psychologie torturée des seconds rôles. Ainsi, au lieu de miser sur le doute ou les indices au sein d’un plan travaillé, Nolan souligne tout de son gros feutre noir pour ne pas que l’on passe à côté, passant d’un point de vue interne à un point de vue externe (scène ou Leonard quitte la maison de la serveuse, point de vue de la serveuse).
Volontairement décousue, la réalisation devient vomitive et complique un brin ce qui se voulait déjà compliqué pour pas grand-chose, à savoir une intrigue tout ce qu’il y a de plus triviale, mais inversée (Quelle idée de génie !). Il faudra expliquer à Nolan que les gros plans ne sont pas faits pour exprimer une quelconque oppression, ni filmer au plus près une émotion. Idées reçues. Le cinéma, c’est de pouvoir émouvoir en filmant une émotion en plan large, là est la marque des grands films (ah…Cris et Chuchotements de Bergman…). Ainsi, la succession de plans ahurissante de bêtise, violent règles sur règles, pourtant indispensables aux amateurs comme Nolan, à savoir la règle des 180° et la règle des 30°. N’est pas Godard ou Wong Kar Wai qui veut. S’affranchir de ces règles sans linéarité filmique exemplaire, c’est vouer son film à un violent désordre ou trônent les faux raccords grotesques et la gratuité de l’enchaînement des plans. Les champs contre champs sont ainsi maladroitement exploités, et Nolan ne laisse aucun répit à sa caméra. Les films doivent prendre leur temps, au risque de finir hors d’haleine (ou A bout de Souffle ahaha…). Alors, les images sont des patchworks de n’importe quoi sans réflexion. Si chaque plan ne signifie rien, alors c’est du Plus belle la vie…
Reste quelques réussites dans cet océan nombriliste, prétentieux et baclé, comme la Bande originale bien qu’utilisée à tort et à travers (on ne va pas en vouloir à Nolan, c’est le défaut majeur de TOUS les réalisateurs actuels !), ainsi que la séquence concernant la personne âgée piquant sa femme car sans mémoire. Il y a ici une réflexion intéressante qui agit en parallèle avec l’intrigue principale. Ici, on laisse le spectateur avoir sa libre interprétation sur la chose, et cela lui permet enfin de respirer car tout ne lui est plus imposé avec de gros panneaux de signalisation.
Memento, par sa dangerosité maladroite, sa grossièreté esthétique et son côté prétentieux énervant est à fortement déconseiller, ou si vu… à oublier.:grn:
"Quentin Tarantino est en train d'écrire un scénario pour moi"
Ok, peut-être, mais ça ne concerne que le scénario, donc d'un côté, si Johnny joue dans un film, dont le scénario est écrit par Tarantino, et donc pas forcément réalisé par ce dernier, c'est juste pour qu'une fois dans sa vie Johnny ait une bonne prestation. Je ne vois que ça. :(
il l'a deja eu sa bonne performance, il etait quand meme a cannes cette année!
En fait, en y repensant j'ai trouvé que c'était un peu une copie ratée de In the mood for love.
Que je n'avais que modérément apprécié mais qui avait un intérêt, là c'est bien moins réussi, même si je reconnais le talent des acteurs principaux.
In the mood for love par contre j'avais bien apprécié. Je le trouve sensiblement différent des deux autres pré-cités à tous points de vue (rythme, atmosphère, ...)
Sonnybut81, bon perso' j'ai pas vu Memento, ou j'm'en souviens pas mais ce passage...
"Le type même qui essaye d’accrocher son nom au panthéon du cinéma en s’appuyant sur une idée de départ pompeuse mais qui se voudra «*culte*» pour beaucoup de personnes. Le scénario de Memento, qu’on se le dise est médiocre. Il ne suffit pas de déplacer, mélanger et même inverser les séquences d’un scénario pour révolutionner une industrie cinématographique en manque cruel de chef-d’œuvres. Voilà donc une originalité faussement originale finalement. A chercher à tout prix la différence, l’essentiel est oublié, à savoir ici la cohérence et l’imbrication des séquences écrites."
... C'est la même critique que tu faisais pour Inglorious Basterds, à peu de choses près... Si cette critique est de toi. J'ai vraiment l'impression que tu te répètes ! et parce qu'en une heure, et en ayant partiellement oublié ce film, t'arrives à me pondre un pavé comme ca ? pas de doute, t'es l'Afi' du topic Cinéma. :grn:
Tabarnak, ce pavé de Sonnybut....:dead: Sérieux, tu te relis un peu ?...tu te perds dans tes explications :crazy:
Comme je l'ai dit, on est pas des pros sur ce topic, de simples amateurs. J'ai l'impression que tu cherches surtout à nous impressionner. Mais franchement, un pavé comme ça, dont certaines parties semblent être des copier-collers de je ne sais quel critique foireuse, ça fait pas très crédible tout ça ... :non:
Je juge la forme pas le fond car je n'ais aucun souvenir de ce film. Et j'ai jamais entendu qui que ce soit affirmer que c'est un film culte. :rolleye:
entre les murs ne vallait pas la palme mais j'ai quand meme beaucoup aimé, vengeance et la perf de johnny ont été plutot bien accueuillis par les critiques presse et public^^
entre les murs ne vallait pas la palme mais j'ai quand meme beaucoup aimé, vengeance et la perf de johnny ont été plutot bien accueuillis par les critiques presse et public^^
Sonnybut81, a dit : "gnagnagna les critiques presses et du public." :proud:
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