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Sauf que le débat porte surtout sur le fait que certains ici comme Pykou estiment qu'un film avec des effets spéciaux ne peut pas être un bon film, ni un film innovant.
Pike s'la joue intello-bobo. Laisse-le se vanter de son monopole du bon goût.
Sauf que le débat porte surtout sur le fait que certains ici comme Pykou estiment qu'un film avec des effets spéciaux ne peut pas être un bon film, ni un film innovant.
Alors qu'avec Jérome Caquelon on est plus ou moins arrivé au même avis.
C'est presque intime... :grn:
Ca ne sert à rien de discuter avec lui, si ce n'est de s'évertuer à le convaincre... Chose impossible, car il sera (presque) toujours à l'opposé de chacun.
C'est presque intime... :grn:
Ca ne sert à rien de discuter avec lui, si ce n'est de s'évertuer à le convaincre... Chose impossible, car il sera (presque) toujours à l'opposé de chacun.
Je pense qu'en vieillissant il commencera à en avoir marre de se faire passer pour un personnage qu'il n'est pas et que seul lui semble apprécier.
Je ne sais pas quel age il a précisement (14, 15 ans ?) mais il doit se chercher une personnalité.
Je pense qu'en vieillissant il commencera à en avoir marre de se faire passer pour un personnage qu'il n'est pas et que seul lui semble apprécier.
Je ne sais pas quel age il a précisement (14, 15 ans ?) mais il doit se chercher une personnalité.
Ouais... bref.
Si on parlait de cinéma ?! :fier:
Qui a vu The Servant ?
On me l'a conseillé, j'vais me l'offrir incessamment sous peu.
Film noir,très noir ou l'espoir n'apparait a aucun moment,pas désagréable a voir mais j'ai vraiment pas compris ou voulait en venir l'auteur....mystère,on reste un peu sur sa fin!!!10/20 mais vraiment pas plus en fait.:grn:
Synopsis : Basé sur l'histoire vraie de John Dillinger, un braqueur de banque hors pair qui a sévi à de nombreuses reprises dans l'Amérique des années 30. Avancé comme "l'ennemi public numéro 1" par le patron du FBI, John Edgar Hoover, Dillinger sera traqué sans relache par Melvin Purvis, l'un des agents fédéraux des plus efficaces.
un peu long par moment , mais on se laisse transporter par l histoire de John Dilinger et surtout grace au talent de Johnny Deep , qui sait parfaitement fondu dans son personnage , mention speciale aussi a notre petite frenchie Marion Cotillard , qui depuis son role d Edith Piaf a varier son registre , exit la periode taxi !
Synopsis : Basé sur l'histoire vraie de John Dillinger, un braqueur de banque hors pair qui a sévi à de nombreuses reprises dans l'Amérique des années 30. Avancé comme "l'ennemi public numéro 1" par le patron du FBI, John Edgar Hoover, Dillinger sera traqué sans relache par Melvin Purvis, l'un des agents fédéraux des plus efficaces.
un peu long par moment , mais on se laisse transporter par l histoire de John Dilinger et surtout grace au talent de Johnny Deep , qui sait parfaitement fondu dans son personnage , mention speciale aussi a notre petite frenchie Marion Cotillard , qui depuis son role d Edith Piaf a varier son registre , exit la periode taxi !
Depp ^^
Je me suis pas mal fait chier devant ce film moi, pourtant je suis un grand fan de Michael Mann. Et j'ai trouvé Cotillard détestable.
Mais il y a certains bons moments et Depp y est effectivement excellent.
Le casting pour trouver la distribution du film The Hobbit commence cette semaine. Tous les rôles seront comblés grâce à des auditions à l'exception de celui de Gandalf, réservé à Ian McKellen qui campait le magicien dans la trilogie du Seigneur des anneaux.
«On passe des auditions pour chaque rôle», a déclaré le producteur délégué Peter Jackson qui croit d'ailleurs que ce processus permet de mieux associer les acteurs aux personnages. «Au fil des ans, nous avons découvert plusieurs comédiens intéressants comme Orlando Bloom ("Lord of the Rings"); Kate Winslet ("Heavenly Creatures") ou Saoirse Ronan («"he Lovely Bones"). Si vous partez à la recherche et faites passer des auditions de façon sérieuse, vous trouverez des talents incroyables».
Jackson a toutefois nié avoir embauché d'autres acteurs que McKellen sans auditions. Il a aussi démenti certaines rumeurs qui circulaient sur le Net et qui voulaient qu'il ait approché James McAvoy pour un rôle important. Le producteur a aussi fait savoir que le réalisateur Guillermo del Toro et lui auraient le dernier mot quant à la distribution des deux films de la saga The Hobbit. Jackson ne ressent toutefois aucune pression à l'idée d'avoir recours à des stars.
«Les stars n'ont jamais été la force motrice de ces films. La vedette, c'est J.R.R. Tolkien et le monde qu'il a créé. On ne ressent aucune pression. On désire trouver les bonnes personnes. Recruter quelqu'un pour jouer un hobbit n'est pas si facile. Ils doivent avoir un look particulier et une sensibilité qui leur est propre. C'est la même chose avec un elfe ou un lutin. Ce sont des personnages fantastiques et on doit trouver les bonnes personnes, les bons humains, pour les interpréter», affirme Jackson.
Ce dernier a aussi nié ces histoires voulant que la production de «The Hobbit» ait été retardée. Le scénario du premier film est complété. Le deuxième est en cours d'écriture. On espère en fournir les premiers jets aux studios Warner et MGM, qui cofinancent les longs-métrages, d'ici Noël.
Les séances de casting se dérouleront à Los Angeles et à Londres. Jackson souhaite débuter le tournage l'année prochaine. Il aimerait bien pouvoir aller de l'avant au printemps sauf que les studios devront au préalable donner le feu vert.
Seul le rôle de Gandalf, réservé à Ian McKellen, ne fera pas l'objet d'auditions.
Le casting pour trouver la distribution du film The Hobbit commence cette semaine. Tous les rôles seront comblés grâce à des auditions à l'exception de celui de Gandalf, réservé à Ian McKellen qui campait le magicien dans la trilogie du Seigneur des anneaux.
«On passe des auditions pour chaque rôle», a déclaré le producteur délégué Peter Jackson qui croit d'ailleurs que ce processus permet de mieux associer les acteurs aux personnages. «Au fil des ans, nous avons découvert plusieurs comédiens intéressants comme Orlando Bloom ("Lord of the Rings"); Kate Winslet ("Heavenly Creatures") ou Saoirse Ronan («"he Lovely Bones"). Si vous partez à la recherche et faites passer des auditions de façon sérieuse, vous trouverez des talents incroyables».
Jackson a toutefois nié avoir embauché d'autres acteurs que McKellen sans auditions. Il a aussi démenti certaines rumeurs qui circulaient sur le Net et qui voulaient qu'il ait approché James McAvoy pour un rôle important. Le producteur a aussi fait savoir que le réalisateur Guillermo del Toro et lui auraient le dernier mot quant à la distribution des deux films de la saga The Hobbit. Jackson ne ressent toutefois aucune pression à l'idée d'avoir recours à des stars.
«Les stars n'ont jamais été la force motrice de ces films. La vedette, c'est J.R.R. Tolkien et le monde qu'il a créé. On ne ressent aucune pression. On désire trouver les bonnes personnes. Recruter quelqu'un pour jouer un hobbit n'est pas si facile. Ils doivent avoir un look particulier et une sensibilité qui leur est propre. C'est la même chose avec un elfe ou un lutin. Ce sont des personnages fantastiques et on doit trouver les bonnes personnes, les bons humains, pour les interpréter», affirme Jackson.
Ce dernier a aussi nié ces histoires voulant que la production de «The Hobbit» ait été retardée. Le scénario du premier film est complété. Le deuxième est en cours d'écriture. On espère en fournir les premiers jets aux studios Warner et MGM, qui cofinancent les longs-métrages, d'ici Noël.
Les séances de casting se dérouleront à Los Angeles et à Londres. Jackson souhaite débuter le tournage l'année prochaine. Il aimerait bien pouvoir aller de l'avant au printemps sauf que les studios devront au préalable donner le feu vert.
Seul le rôle de Gandalf, réservé à Ian McKellen, ne fera pas l'objet d'auditions.
Source : Hollywood Reporter
Le livre "The Hobbit" est quand même moins bien que la trilogie du seigneur des anneaux. C'était d'ailleurs plus un livre d'essai avant le chef "le seigneur des anneaux". Vu que Jackson s'inspire beaucoup des livres pas sûres que les 2 films soient aussi bien que les 3 précédents volets.
Le livre "The Hobbit" est quand même moins bien que la trilogie du seigneur des anneaux. C'était d'ailleurs plus un livre d'essai avant le chef "le seigneur des anneaux". Vu que Jackson s'inspire beaucoup des livres pas sûres que les 2 films soient aussi bien que les 3 précédents volets.
J'avais adoré aussi personnellement. Certains passages sont énormes, j'ai hâte de les voir en film.
Le livre "The Hobbit" est quand même moins bien que la trilogie du seigneur des anneaux. C'était d'ailleurs plus un livre d'essai avant le chef "le seigneur des anneaux". Vu que Jackson s'inspire beaucoup des livres pas sûres que les 2 films soient aussi bien que les 3 précédents volets.
Pas tout à fait le même "esprit" tout de même: the hobbit c'est un conte là où le seigneur des anneaux est une épopée.
Du coup, the hobbit me semble plus adaptable au cinéma. LSDA était pas mauvais bien sûr mais les bouquins sont tellement riches que Jackson a dû simplifié pas mal de trucs pour coller au format ciné.
Pas tout à fait le même "esprit" tout de même: the hobbit c'est un conte là où le seigneur des anneaux est une épopée.
Du coup, the hobbit me semble plus adaptable au cinéma. LSDA était pas mauvais bien sûr mais les bouquins sont tellement riches que Jackson a dû simplifié pas mal de trucs pour coller au format ciné.
Je trouve que Jackson a quand même merveilleusement adapté la trilogie malgré la richesse des livres qui compliquait la tâche. The Hobbit je trouve que l'histoire est moins fantaisiste, moins incroyable donc au final j'ai peur que ça donne un film fantastique assez banal.
Je trouve que Jackson a quand même merveilleusement adapté la trilogie malgré la richesse des livres qui compliquait la tâche. The Hobbit je trouve que l'histoire est moins fantaisiste, moins incroyable donc au final j'ai peur que ça donne un film fantastique assez banal.
Peur légitime: c'est vrai qu'LSDA, quoi qu'on en pense, aura marqué son époque. En tant que puriste, j'ai regretté les simplifications à l'extrême de certaines situations et des caractères de certains personnages (Gimli qui devient un clown par exemple) et que Jackson donne trop d'importance aux scènes spectaculaires. Mais il faut admettre que le boulot de reconstitution qu'il a fait a été collossal.
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