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  • KeV_oklm
    a répondu
    Bonjour, je viens de m'inscrire pour vous demander des avis. Je suis en 1ere et je me pose beacuoup de question sur ce queje veut faire plus tard. Je suis pas mauvais en anglais et j'aime bien ça alors j'ai pensé faire un truc dans se domaine.
    Je ne veux pas faire prof et je préfererai ne pas aller à la fac.J'ai pensé à l'alternance, il parait que ça existe une alternance en anglais. J'ai lu un article sur le sujet qui disait " les débouchés sont multiples dans de nombreux secteurs d’activité et sur de nombreux postes, à conditions de coupler l’anglais avec une autre compétence professionnelle.". Ils parlent de tourisme, d'hôtellerie, des métiers d'accueil.
    Dit comme ça, ça a l'air interessant mais comment faire pour trouver une alternance pour apprendre l'anglais ? Tout ce que je lis sur le sujet montre que les gens trouvent pas d'entreprise pour faire un apprentissage "classique" et moi je voudrai faire un apprentissage double (une compétence pro + anglais). Sur le site qui en parlait, ils disent juste d'aller voir les chambres consulaires et pole emploi (je mets le lien de l'article pour que vous puissiez me donner votre avis dessus)

    J'ai l'impression que c'est un projet irrealisable... vous en pensez quoi ? Est-ce que quelqu'un a fait ça ?
    La formation en alternance est une solution pour apprendre l'anglais à un niveau professionnel qui permet la mise en pratique en entreprise. En contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, il existe différents types de formation en anglais en alternance qui permettent aux candidats à la fois de pratiquer la langue et d'acquérir de l'expérience professionnelle. Peut on se former en anglais en alternance? Quels sont les niveaux de formation et les diplômes accessibles? Comment trouver une formation en alternance en anglais ?

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  • Upe
    a répondu
    Ok! Si besoin en tous cas, envoie un MP.

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  • Miss-OL-Juni
    a répondu
    Merci pour ta réponse, entre temps ils se sont rendu compte que ça allait être compliqué...
    Ce qui ne joue pas en ma faveur pour une RC.

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  • Upe
    a répondu
    Dommage, je suis juriste, mais je choisis pas mes dates de ban..! Donc réponse tardive peut être.

    Ceci étant comme dirait l'autre, la force majeure c'est un cas pratiquement inexistant en droit du travail.
    Le motif économique n'existe pas non plus s'agissant des CDD.

    Reste donc une éventuelle rupture à l'amiable et effectivement, le paiement des salaires dûs jusqu'à l'échéance, ou du moins une partie, peut faire partie de la négo. L'indemnité de préca est dûe aussi.

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  • Miss-OL-Juni
    a répondu
    Oui j'ai lu le même type d'article.
    Le truc c'est qu'on parle d'une entreprise de plus de 10 000 personnes, certes en difficulté économique, qui va bientôt lancer un plan de rupture conventionnelle collective, mais je ne vois pas ça rentrer dans la case "cas de force majeur".
    ça serait juste le moyen de supprimer un "ETP" (équivalent temps plein).

    A l'amiable, du coup le CDD avait eu des indemnité de départ correspondant au reste de son contrat ?
    Dernière modification par Miss-OL-Juni, 06/03/2019, 16h17.

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  • CelticGone
    a répondu
    Miss-OL-Juni
    Tout va dépendre de la raison de la suppression du poste. Si c'est un cas de force majeure ou non. Un article qui explique plutôt bien tout ça https://www.juritravail.com/Actualit...loyeurs/Id/196

    On a eu un cas comme ça dans mon ancienne boîte (ou j'étais DP) et ça a fini par s'arranger à l'amiable. Mais l'employeur était clairement dans son tort, la force majeure étant loin d'être avérée (pour information l'employeur avait tenté de justifier ça par la baisse d'activité générale du secteur).

    Après je suis pas juriste, donc je me base uniquement sur mon expérience perso. Y a surement des gens plus calés que moi :)

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  • Miss-OL-Juni
    a répondu
    Question s'il y a des gens calés en droit du travail.

    Est-il possible pour un employeur de rompre un CDD (hors période d'essai), sous prétexte que le poste sur lequel est cette personne est supprimé ?
    Sans parler de faute, ni d'inaptitude. Totalement à l'initiative de l'employeur.

    Merci pour vos éventuelles réponses.

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  • Casper17
    a répondu
    Après une rupture conventionnelle on touche les allocations chômage?
    Avec cette même rupture mais en reprise d'études par la suite, on touche rien?

    C'est bien ça?

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  • Nono Red Devils
    a répondu
    Envoyé par Upe
    Je suis d'accord et pourtant j'ai presque toujours occupé des fonctions "employeur" (même en fédération patronale).

    L'impossibilité de licencier soi-disant frein à l'embauche, c'est du pipeau.

    Tu en avais parlé je m'en rappelle. Déçu que ça se soit terminé comme ça :-( et je comprends que ça soit difficile à vivre.

    Sinon, quand t'es employeur, si t'as les moyens, tu peux faire n'importe quoi pour virer quelqu'un coûte que coûte (et perso ça m'est arrivé; un bon licenciement économique déguisé, pour lequel je "lutte" toujours).
    tu en es où avec cette histoire?
    ma femme a eu un nouveau collègue, un parisien qui a débarqué dans le coin, le mec est payé 50ke annuels, alors qu'en moyenne ses collègues sont à 35,
    il fait le strict minimum, il pipote pour partir plus tard, quand il fait du télétravail (1 jours par semaine), c'est pour garder ses gosses (car sa femme bosse ce jour là)
    et là il est en arrêt car il s'est fait mal au dos, le matin de sa radio, ma femme l'a vu en bagnole se diriger vers lyon...alors que sa radio était à villefranche
    si j'avais un collègue comme ça (car ça impacte le travail d'équipe), je le buterais :lov:

    @ilovetokyo : et l'histoire que tu citais s'est finie comment?

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  • pendoRa
    a répondu
    Bonjour a tous,


    mon frère (32 ans), formation Compagnon du devoir du Tour de France plomberie, recherche un job dans la plomberie/ chauffagerie sur Lyon et ses alentours, suite à la fin de son CDD chez Veolia/Eaux de Lyon.

    Si vous avez des contacts/ou réseau ou plus d'informations n'hesitez pas à me MP.


    Bonne journée a tous.

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  • Cadole
    a répondu
    Bonjour à tous,

    Suite à un concours écrit, je dois passer bientôt un entretien dont la teneur m'a déjà été dévoilée dans les grandes lignes (connaissance générale de la structure, comment gérer un éventuel conflit avec un collègue etc.) et j'aimerais préparer ça proprement avec un sorte de "coach". Car si l'écrit ne me pose pas trop de problème, l'oral est mon point faible et j'ai déjà raté 2-3 opportunités dans le passé à ce stade (dans mon job, il y a toujours d'abord un test écrit (voir plusieurs), puis un entretien). Je crois surtout que je ne suis pas "commercial" pour deux sous et donc, quand j'en fais des caisses ou que je raconte un bobard, ça doit se voir comme le nez au milieu de la figure. :grn:
    Voilà, voilà, vos idées ou adresses de "coach" sont les bienvenues. Mon entretien est fin novembre.:ang:
    Merci.

    PS : j'imagine qu'ils ne proposent pas ce genre de chose à Pôle Emploi ? Ou bien il doit falloir être chômeur ?

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  • Gorba
    a répondu
    J'avais commencé à rentrer dans la discussion entreprise vs salarié, mais finalement je crois que je vais profiter de la visibilité de haut de page pour poster une petite offre de stage :grn: D'habitude j'évite de mélanger les genres, mais si je poste ici c'est qu'il y a des connaisseurs/fans de sport dans les parages et que ça fait partie des critères importants pour nous. Il y a peut-être une chance de tomber sur la perle rare.

    En gros, on est à la recherche d'un Community Manager pour l'aider à gérer la communauté grandissante d'un jeu de gestion de carrière tennis sur mobile (puis d'autres projets en développement). Polyglotte, à l'aise à l'écrit, bon esprit et fan de sport ce serait "pas mal" :joue:

    A noter que si vous avez dans votre entourage des personnes qui correspondent à l'annonce et pourraient être intéressé(e)s, n'hésitez pas à faire tourner !

    Tout est indiqué ici :


    Dernière modification par Gorba, 03/08/2017, 10h42.

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  • Upe
    a répondu
    Envoyé par Nono Red Devils
    je rebondis aussi sur le licenciement,
    y'a toujours moyen de faire partir quelqu'un, la pression psychologique, ou si la boite de la tune par la nouvelle mesure d'arrangement à l'amiable, permettant au salarié de touché ses indemnités de chomage
    Je suis d'accord et pourtant j'ai presque toujours occupé des fonctions "employeur" (même en fédération patronale).

    L'impossibilité de licencier soi-disant frein à l'embauche, c'est du pipeau.


    Envoyé par ilovetokyo
    Ben ça justement , c'est complètement interdit il me semble et ça doit mener droit aux prud'hommes . Idem pour la contrainte/pression pour une négociation d'une rupture conventionnelle .

    J'ai une connaissance qui actuellement est aux prud'hommes : sa boîte (SSII) modifiait sans cesse sa rémunération , payait son variable quand elle le souhaitait et ce qu'elle souhaitait . Il a essayé de régler le problème seul , puis avec l'aide d'un avocat , son employeur est clairement entré dans une guerre psychologique pour le contraindre à accepter une rupture conventionnelle ( lui payer juste ses indemnités de licenciement ) . Par ex il était subitement envoyé 3 jours sur 5 sur des interventions à la frontière du Luxembourg ( depuis sud alsace! ) alors que sa femme pouvait accoucher d'un instant à l'autre ou il a été remis à ses conditions contractuelles d'embauche donc salaire d'embauche .
    Il n'a pas cédé , y a laissé sa santé et a fini par se faire virer pour faute grave sur un dossier bidon .
    Le problème c'est qu'entre temps son avocat avait initié une procédure ( dont je ne me souviens pas du nom ) qui demandait en gros au conseil des prud'hommes d'annuler le contrat de travail aux torts de l'employeur mais il restait en poste tant que le jugement n'était pas prononcé ou s'il lui était défavorable .
    L'employeur est poursuivi entre autres pour harcèlement moral .

    Je suis certainement naif , je n'ai jamais bossé en entreprise , mais il me semble qu'il faudrait y avoir des motifs légitimes ou économiqueq ( faute, insuffisance au poste... ) uniquement pour procéder à un licenciement . A première vue , je trouve très dangereux les projets d'"assouplissements" offerts pour les patrons alors que certains font déjà visiblement absolument ce qu'ils veulent . Alors si on supprime l’épouvantail que peut représenter le CPH ...
    Tu en avais parlé je m'en rappelle. Déçu que ça se soit terminé comme ça :-( et je comprends que ça soit difficile à vivre.

    Sinon, quand t'es employeur, si t'as les moyens, tu peux faire n'importe quoi pour virer quelqu'un coûte que coûte (et perso ça m'est arrivé; un bon licenciement économique déguisé, pour lequel je "lutte" toujours).

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  • fvl
    a répondu
    Envoyé par ilovetokyo
    Ben ça justement , c'est complètement interdit il me semble et ça doit mener droit aux prud'hommes . Idem pour la contrainte/pression pour une négociation d'une rupture conventionnelle .

    J'ai une connaissance qui actuellement est aux prud'hommes : sa boîte (SSII) modifiait sans cesse sa rémunération , payait son variable quand elle le souhaitait et ce qu'elle souhaitait . Il a essayé de régler le problème seul , puis avec l'aide d'un avocat , son employeur est clairement entré dans une guerre psychologique pour le contraindre à accepter une rupture conventionnelle ( lui payer juste ses indemnités de licenciement ) . Par ex il était subitement envoyé 3 jours sur 5 sur des interventions à la frontière du Luxembourg ( depuis sud alsace! ) alors que sa femme pouvait accoucher d'un instant à l'autre ou il a été remis à ses conditions contractuelles d'embauche donc salaire d'embauche .
    Il n'a pas cédé , y a laissé sa santé et a fini par se faire virer pour faute grave sur un dossier bidon .
    Le problème c'est qu'entre temps son avocat avait initié une procédure ( dont je ne me souviens pas du nom ) qui demandait en gros au conseil des prud'hommes d'annuler le contrat de travail aux torts de l'employeur mais il restait en poste tant que le jugement n'était pas prononcé ou s'il lui était défavorable .
    L'employeur est poursuivi entre autres pour harcèlement moral .

    Je suis certainement naif , je n'ai jamais bossé en entreprise , mais il me semble qu'il faudrait y avoir des motifs légitimes ou économiqueq ( faute, insuffisance au poste... ) uniquement pour procéder à un licenciement . A première vue , je trouve très dangereux les projets d'"assouplissements" offerts pour les patrons alors que certains font déjà visiblement absolument ce qu'ils veulent . Alors si on supprime l’épouvantail que peut représenter le CPH ...
    Ce qu'il a demandé au CPH c'est une résiliation judiciaire du contrat de travail.

    Si tu veux te barrer sans attendre le jugement tu peux aussi faire une prise d'acte de la rupture du contrat de travail. Il s'agit de se barrer et de faire constater au tribunal que le comportement de l'employeur est fautif et rend impossible la poursuite de l'exécution du contrat de travail.

    Dans les 2 cas, si c'est validé par le CPH les sanctions sont les mêmes qu'un licenciement sans cause réelle et sérieuse.
    Dernière modification par fvl, 19/06/2017, 19h05.

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  • ilovetokyo
    a répondu
    Envoyé par Nono Red Devils
    je rebondis aussi sur le licenciement,
    y'a toujours moyen de faire partir quelqu'un, la pression psychologique, ou si la boite de la tune par la nouvelle mesure d'arrangement à l'amiable, permettant au salarié de touché ses indemnités de chomage
    Ben ça justement , c'est complètement interdit il me semble et ça doit mener droit aux prud'hommes . Idem pour la contrainte/pression pour une négociation d'une rupture conventionnelle .

    J'ai une connaissance qui actuellement est aux prud'hommes : sa boîte (SSII) modifiait sans cesse sa rémunération , payait son variable quand elle le souhaitait et ce qu'elle souhaitait . Il a essayé de régler le problème seul , puis avec l'aide d'un avocat , son employeur est clairement entré dans une guerre psychologique pour le contraindre à accepter une rupture conventionnelle ( lui payer juste ses indemnités de licenciement ) . Par ex il était subitement envoyé 3 jours sur 5 sur des interventions à la frontière du Luxembourg ( depuis sud alsace! ) alors que sa femme pouvait accoucher d'un instant à l'autre ou il a été remis à ses conditions contractuelles d'embauche donc salaire d'embauche .
    Il n'a pas cédé , y a laissé sa santé et a fini par se faire virer pour faute grave sur un dossier bidon .
    Le problème c'est qu'entre temps son avocat avait initié une procédure ( dont je ne me souviens pas du nom ) qui demandait en gros au conseil des prud'hommes d'annuler le contrat de travail aux torts de l'employeur mais il restait en poste tant que le jugement n'était pas prononcé ou s'il lui était défavorable .
    L'employeur est poursuivi entre autres pour harcèlement moral .

    Je suis certainement naif , je n'ai jamais bossé en entreprise , mais il me semble qu'il faudrait y avoir des motifs légitimes ou économiqueq ( faute, insuffisance au poste... ) uniquement pour procéder à un licenciement . A première vue , je trouve très dangereux les projets d'"assouplissements" offerts pour les patrons alors que certains font déjà visiblement absolument ce qu'ils veulent . Alors si on supprime l’épouvantail que peut représenter le CPH ...

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  • jopopmk
    a répondu
    Etonnant, pas mal de petites SSII fonctionnent ainsi : on prend des jeunes vraiment pas cher, on les presse comme des citrons, on le jète pour en prendre des nouveaux moins fatigués. Perso j'ai qu'un bac+2 (je vais pas raconter ma vie mais j'avais pas le temps pour niaiser encore 3 ans, l'IUT était déjà une belle perte de temps niveau connaissances) : aucun souci pour trouver un job, et pas de reprise de données (*) ou de maintenance.

    (*) pour une stupide histoire de gros sous et d'honneur mal placé, j'ai quand même dû faire une fois une reprise de données comptables (sur 3 mois). Se taper des requêtes de 15 pages, pour faire coller les deux modèles c'était juste super suant. J'ai démissionné dans la foulée.

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  • Nono Red Devils
    a répondu
    Envoyé par jopopmk
    Dans le monde du dev y'a deux écoles :
    - celle des employeurs qui ne veulent que des bac+5 mini, quand bien même ce serait pour faire de la reprise de données,
    - celle des employeurs qui veulent avant tout des compétences, et se rabattent sur les bac+2 qui coûtent 2x moins cher, même si ceux-ci devront apprendre sur le tas.
    je n'ai jamais vu le second cas, ou du moins un seul mec que j'ai croisé à l'école, qui a commencé à taffé apres son dut, et est resté bloqué avec son bac+2, à un poste assez chi.ant.
    on oublie aussi trop souvent, des postes à moindres compétences, comme la gestion des parcs, la maintenance,
    ou les boites n'ont pas besoin d'un bac+5
    d'ailleurs pour ceux que ça interesse, j'ai un collegue qui cherche desesperement un bac+2 pour faire de la maintenance info réseau et imprimante sur villefranche...

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  • Nono Red Devils
    a répondu
    je rebondis aussi sur le licenciement,
    y'a toujours moyen de faire partir quelqu'un, la pression psychologique, ou si la boite de la tune par la nouvelle mesure d'arrangement à l'amiable, permettant au salarié de touché ses indemnités de chomage

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  • Vann
    a répondu
    Envoyé par Earls court
    Bac +5 malheureusement, ça ne veut pas/plus dire grand chose tant les disparités de niveau sont parfois immenses entre deux individus d'une meme promo. Et je ne parle pas même pas du fait que tu recrutes d'abord une personne avant de recruter un diplôme.

    Si tu recrutes un jeune qui vient de finir ses études, tu peux tout aussi bien avoir un type droit et carré qu'un gamin immature qui ne sait pas ce qu'il veut. Or quand tu recrutes, tu n'as quasiment pas le droit de te tromper car tu sais à quel point ça peut devenir difficile de te débarasser d'un mauvais element, et par extension, à quel point ça peut miner tes résultats voire la pérennité de ta boite lorsqu'on parle de TPE. La difficulté à licencier est également l'une des raisons qui entrainent une certaine frilosité à embaucher. Et quand tu paries sur un jeune qui n'a jamais bossé en-dehors de petits boulots d'étudiants et stages (parfois aussi instructif qu'une année en Erasmus), la variable pour contrôler ton risque, c'est un petit salaire (encore faut il voir ce qu'on entend par petit salaire).

    Commencer à un petit salaire n'est pas un problème en soit, si tu sais que tu peux être augmenté une fois avoir fait tes preuves en interne et démontré que tu rapportais plus que ce que tu coutais.
    3 mois de période d'essai + 3 mois renouvelables, ça suffit normalement largement pour te faire une idée sur un bonhomme. C'est l'argument du patronat de dire que c'est compliqué d'embaucher parce que c'est compliqué de licencier, mais c'est bancal. Ca peut être compliqué de virer un mauvais élément qui est là depuis trois plombes (et encore, y a des moyens, croyez moi), mais ça ne tient pas vraiment pour le recrutement de jeunes diplômés.

    Tu as beaucoup d'entreprises qui ont bien profité de la crise et du chômage pour foutre la pression sur les salaires, et notamment les salaires d'entrée (avec un chômage des jeunes encore plus violent).

    C'est tellement rentré dans les têtes que le marché du travail est rigide en France, que c'est difficile pour les entreprises, etc., mais le rapport de force reste encore largement à l'avantage des entreprises vis-à-vis des débutants. Il n'y a qu'à partir de quelques années d'expérience que tu peux inverser le rapport de force, et encore sur des métiers jugés à forte valeur ajoutée, comme dans ton cas.

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  • alain_suit_cris
    a répondu
    Envoyé par ilovetokyo
    Ce qui est encore plus scandaleux , c'est de ne pas avoir de (premier )job avec un bac +5 et des employeurs qui refusent les candidatures des +5 quand ils ne veulent "que" des +2 ...

    Je discutais hier avec un copain responsable d'une agence interim qui racontait qu'il avait une floppée de jeunes bac+5 en chimie inscrits ( école réputée chez nous , quand ils ne la font pas sauter ...) prêts à tout accepter en France et en Suisse, sur un marché où il y a de la demande, mais toutes les entreprises concernées ne voulaient plus que des +2 et en étaient arrivées à catégoriquement refuser les candidatures de niveau supérieure .
    Si les bac+5 acceptent d'etre remuneres comme des bac+2, et de ne pas reclamer d'evolution plus dans leurs cordes, pourquoi pas, mais est-ce le cas? C'est pas absurde non plus. J'imagine qu'on ne veut pas se retrouver avec quelqu'un dans les pattes qui n'est pas heureux dans son statut et passe son temps a esperer une evolution.

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  • Earls court
    a répondu
    Envoyé par Lyo__
    C'est d'ailleurs assez aberrant d'être employé en bac + 5 premier Job à petit salaire.

    J'avais des potes qui avait été pris à 27k c'est vraiment scandaleux.
    Bac +5 malheureusement, ça ne veut pas/plus dire grand chose tant les disparités de niveau sont parfois immenses entre deux individus d'une meme promo. Et je ne parle pas même pas du fait que tu recrutes d'abord une personne avant de recruter un diplôme.

    Si tu recrutes un jeune qui vient de finir ses études, tu peux tout aussi bien avoir un type droit et carré qu'un gamin immature qui ne sait pas ce qu'il veut. Or quand tu recrutes, tu n'as quasiment pas le droit de te tromper car tu sais à quel point ça peut devenir difficile de te débarasser d'un mauvais element, et par extension, à quel point ça peut miner tes résultats voire la pérennité de ta boite lorsqu'on parle de TPE. La difficulté à licencier est également l'une des raisons qui entrainent une certaine frilosité à embaucher. Et quand tu paries sur un jeune qui n'a jamais bossé en-dehors de petits boulots d'étudiants et stages (parfois aussi instructif qu'une année en Erasmus), la variable pour contrôler ton risque, c'est un petit salaire (encore faut il voir ce qu'on entend par petit salaire).

    Commencer à un petit salaire n'est pas un problème en soit, si tu sais que tu peux être augmenté une fois avoir fait tes preuves en interne et démontré que tu rapportais plus que ce que tu coutais.

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  • jopopmk
    a répondu
    Envoyé par ilovetokyo
    Ce qui est encore plus scandaleux , c'est de ne pas avoir de (premier )job avec un bac +5 et des employeurs qui refusent les candidatures des +5 quand ils ne veulent "que" des +2 ...

    Je discutais hier avec un copain responsable d'une agence interim qui racontait qu'il avait une floppée de jeunes bac+5 en chimie inscrits ( école réputée chez nous , quand ils ne la font pas sauter ...) prêts à tout accepter en France et en Suisse, sur un marché où il y a de la demande, mais toutes les entreprises concernées ne voulaient plus que des +2 et en étaient arrivées à catégoriquement refuser les candidatures de niveau supérieure .
    Dans le monde du dev y'a deux écoles :
    - celle des employeurs qui ne veulent que des bac+5 mini, quand bien même ce serait pour faire de la reprise de données,
    - celle des employeurs qui veulent avant tout des compétences, et se rabattent sur les bac+2 qui coûtent 2x moins cher, même si ceux-ci devront apprendre sur le tas.

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  • ilovetokyo
    a répondu
    Envoyé par Lyo__
    C'est d'ailleurs assez aberrant d'être employé en bac + 5 premier Job à petit salaire.

    J'avais des potes qui avait été pris à 27k c'est vraiment scandaleux.
    Ce qui est encore plus scandaleux , c'est de ne pas avoir de (premier )job avec un bac +5 et des employeurs qui refusent les candidatures des +5 quand ils ne veulent "que" des +2 ...

    Je discutais hier avec un copain responsable d'une agence interim qui racontait qu'il avait une floppée de jeunes bac+5 en chimie inscrits ( école réputée chez nous , quand ils ne la font pas sauter ...) prêts à tout accepter en France et en Suisse, sur un marché où il y a de la demande, mais toutes les entreprises concernées ne voulaient plus que des +2 et en étaient arrivées à catégoriquement refuser les candidatures de niveau supérieure .

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  • alain_suit_cris
    a répondu
    Envoyé par Chiligoal
    Mais si c'est un prof, ces feignasses, ça passe non ? :D
    Oh p.tain! :D:D :fier::fier::fier:

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  • Earls court
    a répondu
    Dans ma branche, tu as 7 categories : 1 à 4 = non-cadres, 5 à 7 cadres. Au-dessus, c'est la direction et le board.
    La première offre que j'ai finalement declinée, c'était pour une catégorie 7. Le poste que je viens d'accepter, c'est un cat. 6.
    Et pour le 0.77, c'est après deduction des tickets restos aussi.

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