imah06 ah excellent !
j'apprécie tes gouts en matière d'album de metallica
pourquoi tu trouve ça déplacer la reprise de JH, je trouve ça sympa, ils se mettent "au niveau" du pays qu'ils visitent, et puis même si je n'aimais pas l'homme, l'artiste je le supporte un peu, c'est quand même une icône de la culture française moderne
sinon, moi aussi ça me gonfle les gens qui passent leur temps sur leur tel à un concert,
tu te déplace, tu paye, pour passer un moment, donc en prendre plein la tronche et les oreilles, avoir la tête bourrée de souvenir, ça n'a pas de prix
c'est sur que c'est mieux de pouvoir faire défiler les clichés ou mater des vidéos, mais je préfère vivre l'instant présent au risque de ne pas en profiter après
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Bonjour , je viens de m'apercevoir avec horreur que je n'ai pas fait de cr du concert de Metallica au Stade de France .
Je ne ferrais pas de commentaire sur les 2 premières partie , ce n'étais pas franchement mon style .
A part le fais que mon mari et moi on s'est gelé les fesses , j'ai trouvé le concert bon , set list d'enfer , bien jouer , j'ai trouvé le band en forme , mais aillant pris en coup de vieux . . Par contre comme j'étais dans les gradins derrière la fosse , décalage entre les images et le son qui nous parvenait , et , quel son de merde , saturé au possible , heureusement que j'avais mes bouchons ( plus de concert sans ) pour filtrer tout ça .
Et puis chanter du JH , euh comment dire , j'ai trouvé cela " déplacer " du Trust j'aurais compris mais là
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Niveau ambiance dans les gradins plutôt bonne .Alors gros bémol au 2 gugus a côté de moi qui connaissaient les chansons qu'a partir de l'album "noir ". Sérieusement ne pas connaitre les 2 meilleurs album que sont Ride the lightning et Master of puppets ( a mon gout bien sur , même si ma chanson préférer reste One ) , quand même , bref .
A l'opposer des 2 guignols , il y avait les 2 femmes a côté de mon mari , bien habiller ,maquiller , pouponner , envoyant des texto régulièrement à un groupe se trouvant quelque part dans le stade , bougeant la tête même pour la première partie , des fans de métal quoi , sauf qu'elles avaient au moins 65 ans . J'étais là wouaaaaaaaaaah , trop cool .Laisser un commentaire:
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hs : je ne sais pas si c'est fait exprès, une erreur ou une confusion, mais creeping death c'est leur second album ride the lightning (la chaise electrique),
Printemps 1983 : Je découvre avec stupeur Kill' Em' All, le premier album de Metallica. Comme tous mes potes, je suis surpris par ce son et ces riffs incisifs qui sortent de ce vinyl. On était seulement une poignée à écouter cet album grâce aux critiques d'Enfer Magazine, la première revue française de métal.
J'étais loin de m'imaginer que 35 ans plus tard, un morceau aussi violent que Creeping Death allait faire l'unanimité devant 80 000 spectateurs au Stade de France ...
et qu'il est nettement plus speed que kill 'em all, master, voir le plus rapide de toutes les discographies (fight fire with fire, escape)
cet album est bourré de tubes for whom, the call of ktulu, notamment creaping death (leur hit peut etre le plus rapide), et leur première balade fade to black,
et le public de metallica aime bien les anciens hits, faut voir les vidéos aussi d'anesthesia ou de call of ktulu joué par robert trujillo
edit :
c'est fou la qualité de leur video, outre le flux hd, le son est juste waouh...
la balance est magnifique, sur le solo de kirk on entend bien tous les instruments très distinctement (hs : d'ailleurs on distingue bien toutes les notes de son solo, contrairement à mustaine où actuellement ça ressemble plus à une bouillie sonore).
Niveau performance, lars ulrich se bonnifie vraiment avec le temps (un bon gros son à sur sa double caisse ça aide énormement), comme hietsfield, le temps leur a fait du bien, hammet aussi remarque
Pour la chanson en elle même, en lisant wikipedia :
c'est vrai que cette chanson s'y prête bien, hietsfield peut bien faire participer le public notamment sur le break avant le second refrain, et les riffs sont facilement reprenables par le public.Arrive ensuite Creeping Death, une des chansons les plus jouées en live par Metallica. Tout au long de la chanson, on retrouve des allusions aux Dix plaies d'Égypte, par exemple le Nil rougi par le sang, trois jours d’obscurité, une pluie de feu et d’autres images épiques. Le texte parle à la première personne en place de la « Mort rampante ». Le titre aurait été trouvé par Cliff Burton, lors du visionnage du film Les Dix Commandements. En voyant l'ange de la mort illustré sous forme de brouillard, Cliff Burton se serait écrié : « Whoa, that's like creeping death! » ; James Hetfield lui aurait alors répondu : « Whoa, man, that's fucking poetry! »5.
Aussi quand j'ai commencé à faire de musique, et que l'on s'amusait à reprendre des chansons, celle-ci arrivait en tête, un riff principale tout kon, et facile, idem pour le refrain, idéal pour débuter le heavy
merci pour ce partage !Dernière modification par Nono Red Devils, 19/06/2019, 09h16.Laisser un commentaire:
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Dire que mon n+2, DRH, était à ce concert :) et quand j'étais en stage y a 9 ans, mon tuteur (juriste) était aussi allé les voir à la Halle :)
Sinon Hetfield a pris un petit coup de vieux niveau visage je trouve. Par contre niveau performance ça a l'air toujours bon!Laisser un commentaire:
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Printemps 1983 : Je découvre avec stupeur Kill' Em' All, le premier album de Metallica. Comme tous mes potes, je suis surpris par ce son et ces riffs incisifs qui sortent de ce vinyl. On était seulement une poignée à écouter cet album grâce aux critiques d'Enfer Magazine, la première revue française de métal.
J'étais loin de m'imaginer que 35 ans plus tard, un morceau aussi violent que Creeping Death allait faire l'unanimité devant 80 000 spectateurs au Stade de France ...Laisser un commentaire:
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Lu à la suite deux bouquins rock :
Bon Scott, The Last Highway de Jesse Fink.
Il s'agit d'un livre-documentaire retraçant les trois dernières années de sa vie à travers une multitude de témoignages de son entourage. C'est extrêmement détaillé (un peu trop même). Tout au long de ce bouquin, l'auteur cherchait à savoir comment est véritablement mort le chanteur, rejetant la version officielle. Plusieurs thèses sont avancées et comparées en fonction des récits des uns et des autres.
On apprend pas mal de choses intéressantes notamment ses rapports avec les frangins Young qui régissent tout. Sa vie de débauche sur la route est bien décrite et son alcoolisme était particulièrement sévère. Fink conclue sur une thèse qui semble la plus plausible (que je ne spolierais pas).
Bref, bouquin très instructif pour tous les fans du chanteur surtout lorsque l'auteur tente de prouver que les paroles de Back In Black (50 millions d'albums vendus dans le monde, classé N°2 dans l'histoire de la musique derrière Thriller de Michael Jackson) ont été écrites par lui et non Brian Johnson. Tout son entourage en est persuadé car il y a beaucoup de références personnelles du chanteur qui apparaissent notamment sur le morceau You Show Me All Night Long qui sont évidentes lorsque Fink les expliquent.
J'avais toujours eu un doute à ce sujet. Il est désormais levé surtout lorsque l'on apprend que la "Succession Bon Scott", un fond spécifique créé pour la famille du chanteur touche discrètement depuis de nombreuses années, des droits d'auteur sur l'album en question (Les frères Young ont toujours été très discrets à ce sujet, se contentant de rejeter ce point).
Enfin tout n'était pas rose du côté du band' australien. On apprend également qu'un autre musicien du groupe - non nommé - était accroc à l'héroïne au début des années 80 (Ceux qui connaissent bien l'histoire du groupe feront immédiatement le lien avec le musicien en question ...)
Roger Daltrey, My Generation (Autobiographie)
Je n'ai jamais été un grand fan des The Who malgré quelques titres cultes. Il faut dire que lorsque j'étais plus jeune, le band' était catalogué groupe mods et les rockers détestaient cette frange musicale en raison de l'apparence de leurs fans (Scotters, parkas, cheveux en brosse). C'était con comme attitude mais c'était comme ça à l'époque. C'est clair qu'aujourd'hui, il y a quand même plus de tolérance en la matière.
Cette autobiographie est de bonne facture, sans être véritablement exceptionnelle. Roger Daltrey est un artiste plutôt sage qui passait son temps à tempérer ce chien fou qu'était le défunt batteur Keith Moon (un sacré numéro celui-là) ainsi que son alter-go, le gratteux Pete Townsend, un personnage à l'esprit véritablement torturé et principal architecte de la musique du groupe.
Daltrey retrace 50 années de carrière avec la part belle aux débuts difficiles du groupe et aux années 70 (les plus intéressantes) jusqu'à la mort de Keith Moon. Les 30 dernières années sont vite parcourues car il n'y a pas grand chose d'intéressant (groupe culte, tournées dans les stades, maximum de cash, peu de conflits contrairement à leurs débuts ...). Le gars semble authentique et droit dans ses bottes, sans compromis. Sa vie de famille est équilibrée depuis des dizaines d'années (un point très rare chez les artistes-rockers).
Dans l'ensemble, ça se lit bien mais ce n'est pas véritablement transcendant. On est à l'opposé de "The Dirt" de Motley Crue par exemple. Un livre pour les passionnés de rock et ceux qui veulent en savoir plus sur les années 60 et 70.
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Je viens de commencer le bouquin Sandinista consacré à The Clash de Vincent Brunner
En 1980, The Clash choisit l’'aventure et l’'exploration.
Alors que son dernier disque, London Calling, est considéré comme l’'équivalent du Blonde on Blonde de Dylan ou du White Album des Beatles, il se lance dans un pari fou : un triple album, riche de 36 morceaux qui vont lui permettre de fondre toutes ses influences, passées, présentes et mêmes futures. Rockabilly, funk, gospel, disco, rap, dub et même electro se télescopent. Le Studio 54 et la révolution au Nicaraguas. Mouvementée et pleine d’imprévus, la conception du disque ressemble à un roman.
Sorti à la fin de l’année 1980, Sandinista ! déconcerte. Vincent Brunner est journaliste et auteur. Collaborateur des Inrockuptibles, de Libération, de Topo ou encore de Télérama, il écrit sur la musique. Il a interviewé à deux reprises Joe Strummer et a croisé Paul Simonon au sein de The Good The Bad and The Ugly, le groupe de Damon Albarn.
J'ai lu les 50 première pages. C'est très instructif pour tous ceux qui apprécient ce groupe.
P.S : Salut Earls ! Fait un bail ...
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Dans un tout autre registre, j'ai vu Bad Religion la semaine dernière au Trianon et:
- j'adore le Trianon, cette salle est juste top, à taille humaine, bien foutue, le bar est facilement accessible, il y a une vrai proximité avec la scène (comme au Divan du Monde, au Petit Bain ou au Bataclan d'ailleurs).
- le groupe n'est plus tout jeune, et son public non plus ! :D Ils en ont d'ailleurs plaisanté : This might be the last time you see us in Paris... you never know when you'll see Grandma next
- MAIS, il ont encore la pêche et font le boulot plus que correctement !
- un peu plus d'une heure et demie de concert avec les grands classiques (Them & Us, Fuck You, This is just a Punk Rock Song, Conquer the World, American Jesus, Generator, etc.) puis un mini break, avant de se lancer dans la reprise de l'album No Control (que j'ai, à titre perso, moins apprécié). mais ça reste un bon moment.
Prochaine étape, Machine Fuck'ng Head dans ce même Trianon à l'automne, où peut-être Duff McKagan d'ici-là (et certainement la Paris Punk Rock Summer)Laisser un commentaire:
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Salut Torp',
pareil, j'ai trouvé l'ensemble correct, qui retranscrivait assez bien l'ambiance de Sunset Strip dans les années 80. Par contre, c'est pas non plus incroyable. Le film dure 1h40 alors qu'il aurait pu/du en faire 3, avec une trame un peu "Agence tous Risques" : on les voit qui arrivent au sommet, puis la descente aux enfers et l'heure de la rédemption. Dommage qu'ils n'aient pas plus insisté sur les discographies du groupe, car au final, on n'a pas tant de morceaux que ça qui passent.Laisser un commentaire:
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oui, pour l'époque...
c'te claque !
ils ont essayé un truc plus electro avec iconoclast, et truc plus "hard fm" avec underworld, limite il me ferait penser parfois a du rock-blues, et puis y'a un slow digne des années 90
twilight c'est plus métal je trouve, l'intro est rigolote, avec une petite musique douce qui suit avec une grosse intro à la batterie,
quand j'ai découvert le truc avec mon voisin on est resté scotché
en fait y'a plein de hits dans cet album, orion, dragon's den, lady of the snow, smoke and mirrors
ils avaient réussi à faire un album ultra technique, mais hyper accessible, on était loin des solos à la chaine façon yngwie malmsteen
ce que j'aime avec ce groupe, c'est qu'ils arrivent à faire des chansons avec un quasiment le même style (sauf les modifs genre un peu d'electro, ou de truc plus hard fm) mais en se renouvellant sans que ça soit chiant, comme par exemple avec du maiden
ou c'est peut etre moi qui suis trop une groupie
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De tous les albums que j'ai, Twilight In Olympus est mon préféré (de loin). Qu'est-ce que j'ai pu l'écouter ...
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Romeo c'est un monstre de la guitare métal néo classique, je ne savait pas qu'il exerçait encore, il était déjà comme ça il y a 30 ans, il a du passer la barre du demi siécle :)
Sur la photo il ressemble bien à yngwie, un peu grassouillet dont il s'est beaucoup inspiré depuis ses débuts!
Si j'étais encore sur Lyon je me serais bien déplacé, zut.Laisser un commentaire:
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Cool ton résumé. Il me semble que Lepond sort un album solo prochainement (à moins qu'il ne soit déjà sorti)
Sinon, sur les photos, je distingue sans problèmes Michael Roméo qui ne change pas d'année en année. Mais Russel Allen s'est rasé la tête ... ça fait tout drôle.Laisser un commentaire:
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ah ben heureusement que j'y suis allé! ;)
pour faire court, j'ai pris mon pieds comme jamais, oh bor***
Pour l'organisation, il fallait faire la queue dehors pour valider son ticket, j'ai eu peur de poireauter trop longtemps, mais en fait non. Par contre gros bémol aux organisateurs, ils n'avaient plus de bouchons pour les oreilles, et s'en branlaient complètement quand je leur ai demandé.
La première partie, Savage Messiah un jeune groupe de métal anglais, il y a du métallica dans leur riff, une voix clair, et des solos bien posés. Je trouve que ça manque de risque, c'est un peu trop conventionnel, y'a pas de chanson qui a une structure différente de ce que l'on entends généralement.
C'est bien mais ça manque d'originalité, par contre ils sont super sympa, j'ai eu la chance de les croiser à la fin du concert.
Symphony X :
un show déroulé au millimètre, bon comme d'habitude, les mecs sont techniquement impressionnant, ils jouent tous les morceaux à la note près, un spectateur me disait qu'ils s'étaient planté à un moment donné, je n'ai pas fait gaffe (j'ai surement trop bu....).
Comme à leur d'habitude, ils ont commencé avec une grosse intro, le temps que le chanteur arrive, il a toujours une aussi grosse présence.
Seules les trois premières chansons étaient tirées du dernier album (si je ne trompe pas), ils ont finis avec odissey (24 min), on va dire que c'était osé, mais ça a rendu super bien.
Les chansons se sont enchainées sans que j'ai pu vraiment m'en rendre compte, j'ai profité un max (d'ailleurs je comprends pas les mecs qui passent leur temps sur leur tel au lieu de profiter du moment).
Déçu qu'ils n'aient pas joué Eve of Seduction, ma chanson préférée.
Au niveau du son, je pensais qu'ils allaient monter le volume juste après Savage Messiah, mais non ils ont été soft, j'ai pu profiter du show sans mes bouchons et sans me reveiller avec un accouphène. On entend évidemment bien romeo et le batteur, un peu moins le chanteur, au détriment du bassiste et du clavier, bien dommage.
D'un point de vue globale, c'était un bon show, surtout parce que les mecs sont tres forts techniquement,
par contre ça manquait de prise de risque, de changement d'un truc qui faisait que ça changeait des versions studios. Y'a pas réellement eu d'interactions avec le public, quelques messages du chanteur, mais de réelle cohésion avec le public, ça expliquait aussi pourquoi on bloquait tous en les regardant.
Je les avais vu lors de leur dernière visite au ninkasi kao, j'ai trouvé le show de 2011 plus sympa, le chanteur qui faisait plus le con avec le public.
Peut etre est ce du au fait que lyon était leur première date de leur tournée, ils n'étaient peut etre pas dans le mood....
Grosse cerise, j'étais sortie pour aller retirer de la tune pour acheter un tee shirt de savage messiah, et là je tombe sur un attroupement, en fait les mecs de symphony x étaient en train de discuter tranquillement dehors avec des fans. J'étais comme une groupie hier ! j'ai réussi à discuter avec Michael Lepond le bassiste, j'ai réussi à avoir des fotos (merci aux fans qui m'ont pris en foto et me les ont transmises), c'était carrément un rêve éveillé. Ils ont du me prendre pour un taré, un vrai gosse.
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Tu me l'apprends !
C'est dire comment je suis l'actualité ces temps-ci.
Il y a une période, j'aurai couru jusqu'au Ninkasi pour voir ce show avec Michael Romeo et Russel Allen. Mais ça c'était avant ...
Enfin bref, bon show. Fais-nous un compte-rendu si tu y vas ...Laisser un commentaire:
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hey! !!!
les gars ce soir, concert de symphony x au ninkasi kaooooooooo
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Je viens de le voir. C'est correct, sans être extraordinaire non plus.
J'ai largement préféré le bouquin, beaucoup plus complet avec de nombreuses anecdotes.
Le problème avec ce genre de biopic c'est qu'il y a tant de choses à traiter qu'il faut faire des choix. .
Les acteurs s'en sortent convenablement. Mention à ceux qui campent le chanteur Vince Neil et le batteur Tommy Lee.
Sinon, un petit moment émouvant dans cet océan de folie avec la mort de Skyler, la petite fille de Vince Neil. Dur ce qu'il a vécu ...
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Netflix vient de sortir le trailer attendu de The Dirt, bio dédiée aux ravagés de Motley Crue.
Le peu que l'on voit reprend les points essentiels du bouquin. Sortie prévue le 22 mars
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Je viens de terminer la biographie du boss ... Très longue mais ô combien intéressante.
Son parcours est incroyable, dur, incroyablement dur... J'échangerai pas ma vie pour la sienne malgré le succès*.
Springsteen a été marqué par une enfance difficile et surtout des rapports extrêmes avec son père qui l'ont marqué pour la vie et dont il a eu un héritage : une maladie mentale l'amenant fréquemment à tomber en dépression. À travers ce parcours, on comprend beaucoup mieux ses textes, sa vision de la vie, ses croyances et le fait qu'il se soit accroché là où tous les autres auraient abandonné.
C'est un gars simple, du New Jersey, qui avait ses idoles et qui savait ce qu'il voulait. Il y est parvenu à force de volonté et de sacrifices mais on ressent toujours ce malaise au fil des pages. La reconnaissance, les paillettes, l'argent, les drogues n'ont pas de place dans ce bouquin. Ça a été une très grande surprise pour moi. Je l'avoue, je ne m'attendais pas du tout à cela et j'ai pris une belle claque Respect !
Je suis très heureux de l'avoir vu avec le fameux E Street Band en 1995. Super show de 3h avec ses compères Steve Van Zandt (guitare / acteur dans les Sopranos) et Clarence Clemence alias Big man (Saxo). Chaque page de ce bouquin m'a fait replonger 23 ans en arrière.
Bref, sacré personnage, sacré carrière. Une belle leçon de vie pour un mec droit dans ses bottes et apprécié par tous ses pairs
*Le mec a rencontré tous mes héros, a vu Jimmy Hendrix, Jim Morisson, Janis Joplin, ... Il a jammé avec les Stones et une partie des Beatles. Alors bien sûr que j'échangerai sa vie contre la mienne, malgré ses aliénations. Comme il le dit lui-même : Des mec comme moi, y'en a des millions et j'ai été l'heureux élu. j'ai accédé et réalisé mes rêves les plus fous ...Dernière modification par Torpedo, 30/01/2019, 18h38.Laisser un commentaire:
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Apparemment il n'y a DEJA plus de places pour Knopfler à Lyon b.ordel. Ailleurs oui mais pas à Lyon. Fatigue.
Et Phil Collins, ça commence à 100 EUR*, 133 pour la pelouse. Quand même...
* (Le forum ne reconnaît pas le signe du E barré pour l'euro, décidément c'est une merveille cet hébergeur)
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Le club de Hockey des Corsaires de Nantes ont un sponsor principal de tout premier plan, en l'occurence le HellFest !
Le festival s'est associé avec une discipline qui rock et dont les publics et les valeurs sont proches.
Le maillot a été repensé en fonction de ce partenariat et le club croule sous les demandes dans la France entière mais aussi à l'étranger : Suisse, Italie, USA et Canada entre autres.
Prochaine étape de cette collaboration originale, la mise en place d'un concours ouvert à tous les groupes, afin de proposer un hymne officiel au club. Le jury sera composé d'un des fondateurs du Hellfest ainsi que Derrick Green, chanteur de Sepultura. Une initiative bien pensée, qui pourrait faire des émules ...
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Attention à tous ceux qui comptent aller voir Tears For Fears sur leur prochaine tournée estivale française (Entre autres les Vieilles Charrues, Nîmes et pour nous les Nuits de Fourvière le 18 juillet prochain). Le groupe est au bord de l'implosion, miné par de sérieux conflits entre ses deux membres fondateurs Curt Smith et Roland Orzabal ...
Voici un lien expliquant la situation.
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