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Topic du jogging, trail & course à pied

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  • Y avait le marathon de Paris ce matin a la teloche
    J'ai regarde une 20 taine de minutes, pinaize ils m'ont saoulé france3 a nous filmer et nous commenter paris sous toutes ses coutures.....
    "et la c'est l'eglise saint-truc renovée en 1985 et la c'est la tour saint-machin qui a brulée 1258....... ah mais dites moi il y a des coureurs dans rues de paris"

    Alors ok je veux bien comprendre qu'un marathon c'est long a retransmettre et que ca peut etre ennuyeux et qu'il faut bien montrer un peu la ville mais bon faut pas abuser non plus.

    Voila c'etait mon post "Ca m'enerve"
    Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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    • « À force d'entraînement, on finit par normaliser cette souffrance » : Jornet-Bardet, rencontre entre deux champions

      Kilian Jornet, roi de l'ultra-trail, et Romain Bardet, triple vainqueur d'étape sur le Tour de France, s'admirent depuis longtemps. Ils conversent sur leur rapport respectif au sport de haut niveau : entraînements, souffrance, pression et écologie au menu d'un échange passionnant.





      Il y a quelques semaines, Kilian Jornet, 35 ans et Romain Bardet, 32 ans, ont longuement échangé par visio-conférence. (Etienne Garnier/L'Equipe)


      Pierre Menjot et Gaétan Scherrer mis à jour le 16 avril 2023 à 17h45

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      « On ne vient pas de la même planète : Kilian est un demi-dieu, moi je ne suis qu'un simple mortel », dit Romain Bardet, 32 ans. Pourtant, le cycliste professionnel de l'équipe néerlandaise DSM et l'ultra trailer star Kilian Jornet, 35 ans, partagent beaucoup. Sur les réseaux sociaux, où le Français republie les séances d'entraînement du Catalan espagnol. Les deux hommes se vouent un énorme respect (« Romain est un athlète et un homme exceptionnels, sa passion et sa constance sont une inspiration », dit Jornet ; « Il est l'athlète que j'admire le plus », répond Bardet).




      Nous les avons réunis il y a quelques semaines pour une discussion par visio-conférence. Un riche échange interdisciplinaire nourri de passion, d'intelligence, de recul et de mise en perspective de la pratique du sport de haut niveau.


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      L'entraînement

      JORNET : « Le vélo sert de référence aux sports d'endurance »


      « Romain Bardet : Kilian est un autodidacte qui partage tous ses entraînements, toutes ses données. Pour les passionnés de physiologie comme moi, c'est hyper-intéressant. J'aimerais être aussi transparent sur mes activités, mais les équipes nous freinent un peu, ils veulent que tout ça reste en interne.
      Kilian Jornet : Pourtant, le travail scientifique effectué dans le cyclisme ces dernières années sert de référence à tous les sports d'endurance moins structurés, comme l'ultra-running ou l'alpinisme : le travail du lactate, la recherche des zones d'intensité, la métabolisation des glucides, tout ça vient du vélo.
      R. B. : L'évolution des connaissances est phénoménale depuis cinq-six ans, surtout en termes de nutrition. Avant, tu mangeais quand tu avais faim. Maintenant, on a des plans à la calorie près.
      K. J. : On a connu le même changement que vous. Avant, on se disait : « Je prends un gel toutes les demi-heures ». Aujourd'hui, tout le monde sait que ce n'est plus au moment où on commence à manquer d'énergie qu'il faut se nourrir.




      « En trail, il y a encore beaucoup de place pour l'improvisation et les sensations. C'est peut-être moins le cas en cyclisme... »
      Kilian Jornet







      R. B. : Dans le vélo moderne, les entraîneurs sont tellement à la base des projets que certains coureurs s'entraînent sans connaître le but à moyen et long terme... Ils ne savent même pas ce qu'ils font. Moi, j'ai toujours essayé d'être acteur de ma performance. Bien sûr, se forcer parfois à manger, ou être à cheval sur les rations, ça enlève un peu le plaisir. Mais sur certaines périodes ciblées comme les Grands Tours, ça peut faire la différence. C'est la loi du haut niveau qui tend vers ça.
      K. J. : Il y a quelques années, le focus était sur le matériel et les méthodes d'entraînement ; désormais, c'est sur la nutrition. Heureusement, en trail, il y a encore beaucoup de place pour l'improvisation et les sensations. C'est peut-être moins le cas en cyclisme...
      R. B. : Oui, tout est pensé en amont. Avant, le coureur le plus complet était aussi le plus intelligent, celui qui arrivait le mieux à se gérer. Aujourd'hui, un jeune talent ne va pas éclore de la même manière selon la structure qu'il rejoint et les outils qui seront à sa disposition. En ultra-trail, vous êtes davantage responsables de votre performance, en maîtrise de votre trajectoire.


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      Kilian Jornet (ici sur la Zegama-Aizkorri, que l'Espagnol a remportée pour la dixième fois en mai 2022) avoue ne plus avoir de moment de détresse psychologique en course : « Je sais ce qui va m'arriver, je peux le gérer », dit-il. (Alexis Berg/L'Equipe)


      La compétition

      BARDET : « Une course à l'armement »



      K. J. : Le cyclisme est un sport d'équipe, tu as des informations en temps réel sur ce que font les autres grâce aux oreillettes. En trail, il n'y a pas cette communication permanente. Les décisions, tu les prends seul. Tu réfléchis la stratégie en amont mais ça ne passe jamais comme tu l'imagines. Chez vous, les informations des équipes doivent beaucoup dicter votre course...
      R. B. : Oui, le coureur reste décisionnaire mais on a toujours des plans établis. L'autre grande différence, c'est que nous, on se bat contre des adversaires. Seule compte la bataille contre les autres. En trail, c'est d'abord une course contre soi-même. Si tu bats ton temps, il peut y avoir une vraie satisfaction, peu importe le classement. Moi, je ne peux pas me satisfaire d'avoir monté l'Alpe d'Huez plus vite en 2022 qu'en 2018 sur le Tour. Et puis, c'est une autre catégorie sur le plan de la difficulté. En trail, il faut faire sauter des barrières psychologiques et physiologiques bien plus importantes que sur une étape de vélo de six heures. Vos courses sont tellement exigeantes...



      K. J. : Ce qui doit être super dur sur une course de trois semaines comme le Tour, c'est de garder des forces, savoir où et quand tu vas être le plus fort pour attaquer. Comment gérez-vous cela ?
      R. B. : Chaque collectif, selon sa force intrinsèque, a un plan prédéfini qu'on dégrossit au fil des étapes. Chez DSM par exemple, on a de la qualité mais pas la force pour contrôler la course sur trois semaines. On doit donc la jouer plus finement, avoir des plans tactiques élaborés face aux deux-trois équipes qui peuvent contrôler la course et nous éparpiller si elles le veulent.


      K. J. : La différence de budget entre les équipes cyclistes dicte aussi la course. Certains coureurs ont beaucoup de talent mais ne gagnent pas. En athlétisme, le talent et le travail sont plus déterminants.
      R. B. : Quand Jumbo-Visma réussit son coup de force sur l'étape du Granon l'an passé (victoire de Jonas Vingegaard qui a, ce jour-là, pris le Maillot Jaune à Tadej Pogacar), ils avaient deux assistants tous les deux kilomètres dans les cols, avec un bidon isotonique et une poche de glace. Les mecs sont restés frais et hydratés : nous, avec une personne à chaque sommet, on s'est retrouvés en manque d'eau. À ce niveau-là, ça fait des différences énormes. Les équipes les plus riches amènent trente personnes hors-course, ils utilisent 300 ou 400 bidons par jour. On se dirige vers un modèle où chaque espace d'optimisation de la performance compte. C'est une course à l'armement.


      lire aussi Le programme 2023 de Kilian Jornet




      Contrairement à Kilian Jornet, en course, Romain Bardet (ici sur Paris-Nice 2023) suit des plans établis et se bat directement contre des adversaires. (Bernard Papon/L'Equipe)


      Souffrance et pression

      JORNET : « J'ai mis des années à trouver un équilibre »


      K. J. : À force d'entraînement, on finit par normaliser cette souffrance en course. On s'y habitue.
      R. B. : En fait, on s'entraîne à souffrir. Grâce aux endorphines produites, on éprouve une forme de plaisir, au-delà du résultat. Quand tu sens que tu as tout donné, il y a de l'autosatisfaction. Kilian, je me demandais : est-ce que ça t'arrive de simuler des efforts de vingt heures à l'entraînement? K. J. : Avant, oui ; moins ces dernières années. En revanche, avant un ultra-trail où je sais que la course va se disputer au 130e kilomètre, j'essaye de m'entraîner en simulant l'état dans lequel je serai à ce moment-là. Je fais une journée sans manger, déshydraté, puis je fais une séance d'intensité.
      R. B. : Le vélo est tellement plus facile sur le plan psychologique... Bien sûr, on passe par des phases où on doute, mais sur vingt heures de trail, quand tu es seul la nuit dans la pampa, ce n'est pas comparable. Nous, on se donne à fond sur trente-quarante minutes dans un col : soit on est dans le coup, soit on est lâché, mais on n'a pas trop à penser. Vous, vous êtes face à vos démons en permanence.



      K. J. : Sur les longues distances, il y a beaucoup de lutte interne, tu te demandes : « J'arrête ? Je fais demi-tour ? » L'alpinisme et la gestion du risque en haute montagne m'ont appris à gérer cela. Ça met en perspective l'ultra-trail. Tu te dis que ce n'est pas si grave... Aujourd'hui, je n'ai plus de moment de détresse psychologique en course. Je sais ce qui va m'arriver, je peux le gérer. Il n'y a plus de surprise. Il n'y a que dans la montagne extrême où je peux vivre des moments chaotiques.
      R. B. : Vivre des moments de détresse en course, moi, ça m'est déjà arrivé. Quand je me mettais beaucoup de pression pour répondre aux attentes, je m'auto-persuadais que tout allait bien, et quand le moment arrive et que tu es tout en bas, tout lâche. Maintenant, je suis plus en paix avec ça.


      « En 2018, j'avais peur d'aller au supermarché car je savais qu'on allait me parler du Tour et c'était insupportable. »
      Romain Bardet






      K. J. : Comment as-tu travaillé cette gestion de la pression ?
      R. B. : J'ai surtout beaucoup réfléchi aux raisons pour lesquelles je faisais ça, pour qui, d'où je venais. C'est difficile d'anticiper le moment où tu te retrouveras face à tes faiblesses. Quand d'un coup, tout se brise et qu'il faut trouver des ressorts mentaux. Je pense désormais avoir trouvé une voie où je reste animé par l'envie de bien faire et le désir de performance, mais où je n'ai plus peur de l'échec.
      K. J. : Pour moi, la pression du résultat n'a jamais été écrasante. Le problème, c'est que je suis quelqu'un de très introverti, or le sport de haut niveau exige le contraire. J'ai mis des années à trouver un équilibre. Avant, je gagnais mais je n'étais pas bien. C'est pour cela que je suis parti vivre en Norvège. La gestion de ma carrière a été plus difficile que la compétition en elle-même.
      R. B. : J'ai entendu que tu n'appréciais pas trop ta vie à Chamonix car beaucoup de monde venait toquer à ta porte... Je fais ce parallèle parce que pour moi aussi, ça a été compliqué. Maintenant, c'est apaisé, tout le monde sait que je ne gagnerai jamais le Tour, mais en 2018, je n'arrivais plus à avoir de vie privée. J'avais peur d'aller au supermarché car je savais qu'on allait me parler du Tour et c'était insupportable. J'ai fait une vraie crise d'identité sur qui j'étais vraiment.


      lire aussi Qu'est-ce qui fait encore courir Bardet ?




      Avec l'expérience, Romain Bardet a appris à ne plus avoir peur de l'échec : « Je me mettais beaucoup de pression, maintenant, je suis plus en paix avec ça, » (Etienne Garnier/L'Equipe)


      L'écologie

      BARDET : « Je suis sensible aux enjeux mais mon pouvoir décisionnel est trop limité »


      R. B. : Dans le vélo, on est dans une démarche consumériste de la montagne. On s'en sert comme support, on la détériore. Les cyclistes sont aux balbutiements de la prise de conscience écologique car on court sur des itinéraires moins sujets à la détérioration que les hauts sommets ou les glaciers, que Kilian, en étant l'un des rares êtres humains à pouvoir y accéder, voit diminuer au fil des années.
      K. J. : On est à un tournant, il faut agir. D'abord, il faut se demander comment réduire son empreinte individuelle. Moi, j'ai décidé de participer à moins de courses pour faire moins de voyages. Je m'entraîne chez moi. D'un point de vue collectif, ensuite, comment faire la promotion du sport tout en faisant celle de la nature ? Déplacer des vedettes afin de faire le spectacle, c'est un modèle qui marche bien d'un point de vue économique mais on sait qu'il n'est pas soutenable. Il faut donc en imaginer de nouveaux. Envisager des compétitions plus locales. Le marché du sport repose aujourd'hui sur la surconsommation, les athlètes et les équipes n'existent pas sans des sponsors. Il faut changer cela.


      « Ne doit-on pas penser le sport en s'engageant de manière plus locale ? »
      Kilian Jornet







      R. B. : Nous, on nous dit : « Allez faire du vélo en Arabie saoudite, le sport doit devenir plus global. » D'accord, les intérêts économiques sont importants, mais je trouve qu'on ne prend pas assez conscience du coût environnemental de cette démarche. Bien sûr que c'est vertueux d'inspirer des gens partout dans le monde, de créer une dynamique globale autour du sport. Mais doit-on vraiment continuer cette expansion comme ça, en trimballant les vedettes aux quatre coins de la planète ? Ne doit-on pas penser le sport en s'engageant de manière plus locale ?
      K. J. : Ça, c'est aussi la responsabilité de ton équipe, ce n'est pas seulement toi qui décides...
      R. B. : Oui mais c'est trop facile de se cacher derrière ça. Je suis un peu navré de dire que j'appartiens au système. J'ai conscience que ce n'est pas du tout pensé de la bonne manière et je ne veux pas l'encourager mais je le tolère, c'est comme ça que ça marche. J'aimerais montrer que je suis sensible à ces enjeux mais mon pouvoir décisionnel est trop limité. Et si je le fais, demain, on va me dire de rentrer chez moi. Je ne suis pas autant maître de ton projet que toi, Kilian. Mais je veux voir les choses évoluer afin d'envisager le sport de manière durable, pérenne. »





      Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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      • Merci Eomer
        Envoyé par stadier
        - Upe : ça tiendrait qu'à moi tu serais responsable des Sports sur Canal ...

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        • Reprise hier, dur dur mais un temps magnifique, le temps idéal pour moi. j'ai cassé mon GPS donc je sais pas trop ce que j'ai fait mais au bout d'une demi heure mon chien est venu me voir avec un bâton, donc je suppose qu'il se faisait chier
          40 mn, pas mal pour une reprise surtout que j'ai la plus grosse surcharge pondérale de ma vie. Deja des courbatures le lendemain donc je vais souffrir, repos jusqu'a ce weekend, juste un peu de rameur pour gainer ce put1 de dos qui me lâche pas.
          Envoyé par Eomer

          T'aimes ca hein petite trainée

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          • Envoyé par Ewanoahlucasino
            Reprise hier, dur dur mais un temps magnifique, le temps idéal pour moi. j'ai cassé mon GPS donc je sais pas trop ce que j'ai fait mais au bout d'une demi heure mon chien est venu me voir avec un bâton, donc je suppose qu'il se faisait chier
            40 mn, pas mal pour une reprise surtout que j'ai la plus grosse surcharge pondérale de ma vie. Deja des courbatures le lendemain donc je vais souffrir, repos jusqu'a ce weekend, juste un peu de rameur pour gainer ce put1 de dos qui me lâche pas.
            Tiens quelle coïncidence, j'ai couru hier aprem aussi.

            9,4 km en 51 minutes pour ma part ça va c'est dans mes temps normaux.
            Par contre il est très loin le temps où je faisais 12,5 km/h de moyenne sur 10 km : la vieillesse.

            P.S. : bon à ma décharge l'Amiénoise c'est peut-être plus plat que les chemins dans ma cambrousse.

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            • Il y a 3 mois, c’était un parfait inconnu.
              En 1 week-end, il est devenu la star du trail running français.

              Voici l'histoire incroyable d'Aurelien Sanchez.

              Alors qu’il a 25 ans, Aurélien emménage aux USA.
              Il est paumé, pas très heureux.
              Et ne fais presque plus de sport.

              Il tombe alors sur un reportage. Sur la Barkley.

              Une course folle dans laquelle, seuls 40 participants sont sélectionnés chaque année. 200 km, 20 000m de dénivelé.
              Sans balisage et en autonomie.
              À faire en moins de 60h.

              C’est sur-humain.
              Seulement 1% termine.
              Cette course est considérée comme la + dure du monde.

              Aurélien en devient fanatique.
              Il lit tous les "Race Report".
              Il contacte les participants.
              Il en rêve la nuit.
              Il va sur le lieu mythique.

              Aurélien a candidaté tous les ans depuis 2019.
              En 2022, il n’y croyait plus.

              Mais il reçoit le Graal : sa lettre de doléance
              tant recherchée synonyme d'inscription validée à La Barkley.

              Après cette course folle de 58h, durant laquelle :
              - il ne dort qu’une heure,
              - il abandonne son ami
              - il a de multiples hallucinations

              Il décroche son rêve.

              Mais surtout il est rentré dans l’histoire.
              En devenant le premier français à terminer cette course.

              Aurélien c’est un mec comme toi.
              Comme moi.
              Un mec qui rêve, comme tout le monde.

              Mais qui ose passer du rêve à la réalité.



              Pour les passionnés, voici un longue entrevue sur son parcours avec une foule d'anecdotes ...




              IF YOU FAIL TO PREPARE, BE PREPARED TO FAIL !

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              • C'est une course de fous, dans un cadre super, avec un peu de folklore, mais ce que je trouve dommage c'est que c'est un circuit à faire plusieurs fois.
                Envoyé par stadier
                - Upe : ça tiendrait qu'à moi tu serais responsable des Sports sur Canal ...

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                • Envoyé par Upe
                  C'est une course de fous, dans un cadre super, avec un peu de folklore, mais ce que je trouve dommage c'est que c'est un circuit à faire plusieurs fois.
                  Pour avoir vu plusieurs reportages, la Barkley c'est un cadre super hostile, ça fait vraiment pas rêver comme endroit.

                  Je trouve qu'il y a largement mieux en la matière (Hardrock 100, UTMB, Diagonale des fous, ...). Même la Terminorun, version française de la Barkley, qui se situe en Maurienne, offre un meilleur cadre.
                  IF YOU FAIL TO PREPARE, BE PREPARED TO FAIL !

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                  • Non mais ce que je veux dire, c'est que c'est la vraie nature, profonde, et que ce cadre participe bien au mythe de la course.
                    Mais ils gagneraient je trouve à faire un parcours où tu ne repasses pas sur tes pas!
                    Envoyé par stadier
                    - Upe : ça tiendrait qu'à moi tu serais responsable des Sports sur Canal ...

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                    • Ca court un peu les gones ???
                      Perso je suis en pleine saison velo, je me contente de 2 ou 3 fois 30 minutes de footing a allure douce.
                      Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                      • Envoyé par Eomer
                        Ca court un peu les gones ???
                        Perso je suis en pleine saison velo, je me contente de 2 ou 3 fois 30 minutes de footing a allure douce.
                        Dimanche matin 10 km, au canal donc ultra-plat : mini-crampe au mollet sur le retour mais j'ai fait ce qu'il faut pour la faire partir (eau avec beaucoup de magnésium (hépar), étirements et homéopathie : et oui on est jamais trop prudent ).

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                        • Envoyé par Bastossssboss60
                          Dimanche matin 10 km, au canal donc ultra-plat : mini-crampe au mollet sur le retour mais j'ai fait ce qu'il faut pour la faire partir (eau avec beaucoup de magnésium (hépar), étirements et homéopathie : et oui on est jamais trop prudent ).
                          Au canal ??? vers le grands large ???
                          J'aime bien passé par la l'hiver en vtt quand je vais au parc de miribel
                          Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                          • Envoyé par Eomer

                            Au canal ??? vers le grands large ???
                            J'aime bien passé par la l'hiver en vtt quand je vais au parc de miribel
                            Dans l'Oise...

                            Parc de miribel ? Je ne connais pas ton coin...

                            Commentaire


                            • Envoyé par Bastossssboss60
                              Dans l'Oise...

                              Parc de miribel ? Je ne connais pas ton coin...
                              dans l'oise... ah bah oui bastossssboss......60 c'est pas l'age c'est le departement
                              Je pensais que t'etais sur Lyon
                              Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                              • Envoyé par Eomer
                                Ca court un peu les gones ???
                                Perso je suis en pleine saison velo, je me contente de 2 ou 3 fois 30 minutes de footing a allure douce.
                                J'avais repris un bon rythme en a peine 3 semaines, bien content mais j'ai choppé une espèce de crève à la con, surement l'excès de clim qui m'a stoppé net depuis 2 semaines.
                                Je pense reprendre cette semaine, une petite heure sur les bord du Rhône avec mon chien et moscato dans les oreilles, le bonheur quoi.
                                Envoyé par Eomer

                                T'aimes ca hein petite trainée

                                Commentaire


                                • Envoyé par Eomer
                                  Ca court un peu les gones ???
                                  Perso je suis en pleine saison velo, je me contente de 2 ou 3 fois 30 minutes de footing a allure douce.
                                  18 km tous les dimanches. avec le dénivelé qui va avec.
                                  Qu'il pleuve, neige, vente, grêle .... Torché ou en pleine forme (Ça c'est de plus en plus rare ) c'est quasi un sacerdoce
                                  IF YOU FAIL TO PREPARE, BE PREPARED TO FAIL !

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                                  • Envoyé par Eomer
                                    Ca court un peu les gones ???
                                    Perso je suis en pleine saison velo, je me contente de 2 ou 3 fois 30 minutes de footing a allure douce.
                                    Par jour ? C’est pas mal


                                    Envoyé par stadier
                                    - Upe : ça tiendrait qu'à moi tu serais responsable des Sports sur Canal ...

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                                    • Envoyé par Upe

                                      Par jour ? C’est pas mal


                                      Claude Puel c'st mon idole
                                      Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                                      • Envoyé par Torpedo

                                        18 km tous les dimanches. avec le dénivelé qui va avec.
                                        Qu'il pleuve, neige, vente, grêle .... Torché ou en pleine forme (Ça c'est de plus en plus rare ) c'est quasi un sacerdoce
                                        Ca fait une eternité que j'ai pas fait une sortie longue
                                        Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                                        • Envoyé par Ewanoahlucasino

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                                          Je pense reprendre cette semaine, une petite heure sur les bord du Rhône avec mon chien et moscato dans les oreilles, le bonheur quoi.
                                          J'ai essayé une ou deux fois de courir avec la musique dans les oreilles mais j'ai detesté
                                          J'aime pas du tout, tu t'entends pas respirer, les oreillettes c'est super desagreable en plus pendant que ej ours j'aime bien laisser vagabonder mon esprit (certains diront "pas QUE quand tu cours)
                                          et avec la musique c'est pas possible je toruve
                                          Bref j'aime pas
                                          Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                                          • Envoyé par Eomer

                                            J'ai essayé une ou deux fois de courir avec la musique dans les oreilles mais j'ai detesté
                                            J'aime pas du tout, tu t'entends pas respirer, les oreillettes c'est super desagreable en plus pendant que ej ours j'aime bien laisser vagabonder mon esprit (certains diront "pas QUE quand tu cours)
                                            et avec la musique c'est pas possible je toruve
                                            Bref j'aime pas
                                            la musique j'aime pas non plus, j'arrive pas trouvé mon rythme, je pense qu'inconsciemment je m'adapte au tempo.
                                            je n'ecoute que moscato, en direct ou en podcast, je rigole et bien souvent je me souvient meme plus des debat, donc mon esprit doit etre ailleurs comme mickeal scofield
                                            Envoyé par Eomer

                                            T'aimes ca hein petite trainée

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                                            • Envoyé par Ewanoahlucasino

                                              la musique j'aime pas non plus, j'arrive pas trouvé mon rythme, je pense qu'inconsciemment je m'adapte au tempo.
                                              je n'ecoute que moscato, en direct ou en podcast, je rigole et bien souvent je me souvient meme plus des debat, donc mon esprit doit etre ailleurs comme mickeal scofield
                                              J'aime pas du tout rmc mais l'emission de Moscato ca me fait bien marrer
                                              Ete 2023 : Huez, Madeleine, Cormet de Roselend, Iseran, Ventoux... Ca claque

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                                              • Moi aussi je suis toujours à mes 18/20kms (avec dénivelés) les samedis ou dimanches matin chaque semaine.

                                                Je suis aussi de la team "Super Moscato Show" mais au boulot dans mes vignes .
                                                Quand je cours j'adore écouter de la sic, le kiff.

                                                Par contre j'ai été supris d'un truc.
                                                Je me tâte à participer au "Beaujolais runners Trail 2023" au 18kms et 835m de D+ (Trail Jeroboam) qui a lieu le 8 juillet à Fleurie.
                                                Mais je suis très surpris de l'heure du départ: 16h30, le 8 juillet . En plein caniar.
                                                Et à 15h c'est le départ du 31kms et 1315m de D+ (Trail Mathusalem).
                                                Ils sont dingue non?
                                                J'ai pas l'habitude des courses mais ces horaires là en plein après-midi et en plein été c'est courant?
                                                Quand on entend les médecins d'éviter de faire du sport pendant les grandes chaleurs ça va à contre sens...

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                                                • Envoyé par Torpedo

                                                  18 km tous les dimanches. avec le dénivelé qui va avec.
                                                  Qu'il pleuve, neige, vente, grêle .... Torché ou en pleine forme (Ça c'est de plus en plus rare ) c'est quasi un sacerdoce
                                                  Ah frais ça respect 18 km c'est top ; en plus quand il pleut moi je pratique pas t'as du courage.

                                                  Dans le même nombre de km (20km), j'avais fait la course aux Maroilles.
                                                  J'essaie de faire court :y'avait des niveaux pour démarrer la course et être avec des personnes de même performance, j'ai fait le mariole à vouloir aller dans les premiers y'avait 5 niveaux je suis parti dans le 2ème (donc tu vois très fort déjà) et du coup pas loupé j'ai galéré, eux tranquille il prenait des Snap ou des photos avec leur perche en courant moi je galérais beaucoup à partir du 10ème km ou du 12ème je sais plus bien, ça allait beaucoup trop vite pour moi et vers le 18ème km j'avais plus rien dans le sac, j'étais pas loin de finir (18,6 km j'avais fait), je me suis écroulé sur le côté en perdant connaissance un peu y'avait mon ex beau-père qui se demandait quoi, il a appelait une ambulance pour qu'on vienne me chercher, (trop d'acides lactiques dans les jambes je pouvais plus bouger mes jambes), on a été me porter à l'hôpital j'avais 6 de tension quand j'étais dans l'ambulance...

                                                  ça m'apprendra à partir avec des mecs d'un niveau de ouf , j'étais parti avec des kenyans blancs je te jure...

                                                  Sinon pour un autre truc de meilleure performance, j'avais fait l'Amiénoise dans la somme c'était 10 km en 2014 je l'ai fait en 48 mn 56 sec donc ça va.

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                                                  • Envoyé par Bastossssboss60
                                                    Ah frais ça respect 18 km c'est top ; en plus quand il pleut moi je pratique pas t'as du courage.
                                                    Tu vas me prendre pour un masochiste mais c'est lorsque les conditions sont dantesques que j'ai le plus de plaisir (et le plus de souvenirs)

                                                    Je me souviens d'une sortie mémorable avec le forumeur Gm69 où un orage d'une rare violence s'était abattu sur les Monts d'Or avec la foudre qui étaient tombée pas très loin de nous. Ma femme flippait un max, on était plus que trempé, un truc de dingue ... (Gm si tu me lis ...)

                                                    Une autre sortie extrême que j'ai effectué était en montagne. J'étais seul, j'y voyais pas à 5 m (Froid,neige, brouillard, vent violent, bref la totale) et en plus je ne retrouvais pas mon chemin de retour ... J'ai crû que j'allais y rester.


                                                    IF YOU FAIL TO PREPARE, BE PREPARED TO FAIL !

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